• Chapitre 5 : Hum... No Idea...

    /!\ Ce texte n'as pas encore été corrigé, mon frère prends son temps, il sera corriger quand il en aura envie. /!\

    Je sais ce que vous vous dîtes... Moi aussi, j'ai relu toute mon histoire, et je me suis rendu compte d'un truc, j'écris vraiment mal ! Bon Dieu ! Je ne pensais pas que mes histoires serait aussi légère, sans appuis. Bref, je vais faire de mon mieux pour arranger le style de l'histoire, mais je ne promet rien !

    Je remercie tout ceux qui suivent mon histoire (16Amour16, Aiiwa, AkazukinXIII, Baleful, Ciel Saynen, Denshitoakuma, Ecarlates, Ekana, Elrika, Fiane-Fiamma, HarukaN, Heyli13, Kyuremblanco7, LOORELAI13, Llamas del cielo, MaelysMarro, Minimiste, Naheo, Nastume1111, Parax, Stona13, Tia Nana, Zeyra K, addaline, amelieprosper, anastasia172, erikadu19, fuonhicali, kuroyukihime28, inukag9, misa2, mukutsuna93, neko-chan200, neko-chan L, roxiyaoi, shinonema, tahury, yukiko-yu).

    Je remercie de même toutes les personnes qui ont mis mon histoire en favoris (Catlyn-Cat987, Denshitoakuma, Fiane-Fiamma, Izanami97, Kurotsuki R, Kyuremblanco7, LOORELAI3, Llamas del cielo, Minimiste, Miss green rabbit, Neko kawai 8D, Parax, Stona13, Syt the Evil Angel, Tia Nana, amelieprosper, erikadu19, lupine13, neko-chan200, roxiyaoi, shinonema, yukiko-yu).

    Voici maintenant les réponses aux reviews des anonymes :

    Karo : Je suis navrée pour la longueur, je vais essayer de rallonger mes textes, mais je préfère ne rien promettre... J'espère que la taille de ce chapitre te plaît (10.438 mots pour l'histoire et 11.901 mots en tout), j'espère que la taille sera à peut près la même pour les autres (L'espoir fait vivre dit-on... et bien c'est vrai.).

    Notes : Je voulais vous prévenir de quelque chose. Du chapitre 1 à 13 ce seront les parties les moins sérieuses et du chapitre 13 à 39 ce sera beaucoup plus sérieux.

    De plus, j'ai eue une idée de génie, je compte mettre des citations tout le long de l'histoire, je voudrais avoir votre avis. (Elles seront en italiques)

    Je remercie encore mon frère que j'embête et qui me corrige. Et je remercie de même Graad, l'un de mes amis, qui m'a permis de trouver les phrases un peu philosophique sur les vêtements de la première générations. (P.S. : Je remercie de même, l'auteur de "Ces rencontres qui font grandir" (Izanami97), qui m'as donné des idées avec son histoire, ce qui me permet de mettre un peu d'idée de cet auteure, qui est génial, allez voir sa fic ! J'espère qu'elle ne prendra pas ça comme du plagiat, ce qui n'est absolument pas mon intention, je m'inspire simplement de quelques détails de son histoire, ceux que je juge non-important.)

    Dernièrement, je compte poster des chapitres avec énormément de décalages, comme vous avez du vous en douter. Le fait, de ne plus utiliser le support papier, pour cette fiction, est assez perturbant. Comme, je compte, faire au "feeling", lorsque l'inspiration me viens au fur et à mesure, et lorsque j'ai le temps. Donc, ne vous attendez pas à un chapitre toutes les semaines ou tous les un mois. Les décalages vont varier, des fois ils seront tard, d'autres plus tôt.

    Bon, on le commence ce nouveau chapitre ?


    Chapitre 5 : Hum... No Idea...


    - Héhé, Giotto, je crois que les gamins nous on fait une mauvaise blague...

    Giotto ne savais pas quoi dire, G, devait avoir raison, la logique étant ce qu'elle était. C'était impossible qu'un gamin, tel que Tsunayoshi, puisse être le Decimo, surtout si lui était encore le Primo. Mais, alors, pourquoi son intuition, lui disait que c'était la vérité ? Elle devait être détraquée, ou un truc du genre, il ne voyait pas d'autres explications. Peut-être qu'une des vis avait été enlevée...

    - Moi aussi, j'ai n'y a pas cru au moment où m'avait annoncé que je serai le Decimo de la famille... Mais là, je ne pense pas être en position, pour sortir des blagues de ce genre... Et surtout lors d'un moment comme celui-ci...

    - Attends, attends, gamin. Peut importe ce que tu dis, ce n'est pas logique.

    - Si vous pensez que je mens, demandez au Primo, lui dois savoir que je ne ment pas.

    - Giotto... Dis-moi que c'est juste un rêve, même un cauchemar, j'accepte, tout mais pas la réalité ! Supplia G, d'un regard perdu.

    Pourtant, le blond, ne dis rien. Personne ne savait quoi dire... Ce ne pouvait pas être possible, c'était hors des logique de ce monde... Mais si on n'y réfléchissait la Mafia avait son propre monde. La logique des Hommes, n'existait pas dans ce monde, les Flammes de la Dernière Volontés, le Vendicare, les Arcobalenos, et peut-être même un voyage dans le temps !

    Si on réfléchissait avec la logique des Hommes, c'était impossible d'aller dans le futur ou dans le passé, car se serait une question de molécules et d'atomes, qui doivent accélérer, plus vite que la vitesse de la lumière elle-même, pour avancer dans le temps. Et dans l'autre cas, ce serait de ralentir les molécule, pour qu'elle aillent dans "l'autre-sens", pour revenir dans le temps.

    Mais si on réfléchissait avec la logique de la Mafia, alors peut-être que les flammes de la Dernière Volonté pouvait le permettre, même si c'était toujours aussi fou, c'était une possibilité à prendre en compte. Ces dernières sont un véritables mystère même pour ceux qui l'utilisent, peut-être que leurs pouvoirs sont aussi puissant qu'elles peuvent permettre à leurs utilisateurs de remonter le temps.

    - Je sais que ça peut paraître incroyable, nous sommes aussi surpris de nous retrouver ici. Mais s'il vous faut une preuve, je pense que l'on a ce qu'il faut. Déclara Tsuna, après ce petit moment de blanc.

    Giotto se réveilla à ce moment là.

    - Une preuve ? Tsuna hocha la tête. Pouvez-vous nous montrez cela ?

    - Je ne pense pas que ce soit un problème. Tsuna regarda ses amis, pour savoir leur avis, ceux-ci hochèrent la tête, prouvant leurs accords.

    Alors, à ce moment-là, chacun sortit leur nouvelles bagues Vongolas, et les enflammèrent, c'était une preuve suffisante pour la première famille, car dans leur époque, seul eux et les Cozato possédaient des flammes de dernière volonté.

    - Je pense que cette preuve suffira, déclara Tsuna, après avoir arrêté ses flammes.

    Ses gardiens en firent de même, jugeant qu'il fallait mieux suivre leur boss, sans parler, il pouvait tout faire rater à cause d'un mot mal prononcé et donc devenir des ennemis de la première famille... Non, décidément ce n'était pas possible, pour leur sécurité à eux, et au prochain futur qu'ils auront inventés.

    Les "Primos" gardiens étaient choqués, soit ces enfants disaient la vérité, soit c'était la plus grosse blague au monde, même si ils savaient que la deuxième option était inenvisageable. G, essaya de rester rationnel, malgré que l'évidence même était devant ses yeux.

    - Où ? Où, avez-vous eu ceci ?!

    - Comme nous sommes la dixième génération de la famille Vongola, nous les avons reçu en héritage de mon prédécesseur.

    - Mais un voyage dans le temps, c'est scientifiquement impossible, peut importe vos arguments. Déclara Deamon Spade, avec un regard suspicieux dans les yeux.

    - Malheureusement pour vous contre-dire, nous avons déjà fait un voyage dans le temps, mais nous étions aller dans le futur, et ce n'était que dix ans, dans l'avenir, pas 400 ans dans le passé. Rationna Gokudera. Dans notre époque, nous avons réussi à dépasser la science en inventant une machine qui permet de nous envoyer dans le futur, mais nous n'avons jamais réussi à crée une machine nous envoyant dans le passé.

    - C'est pour cela que nous ne comprenons pas vraiment ce qui ce passe... Déclara timidement Chrome.

    - Comment ça ? Demanda doucement Asari.

    - Nous étions à une soirée de mafieux, lorsque Tsuna s'est évanoui devant nous, puis moi personnellement, tout ce dont je me souviens, c'est qu'il y a une fumée de couleur sombre, voir noire. Ensuite nous sommes arrivés ici, et voilà ce qui s'est passé.

    Il y eut un silence inconfortable après cette simple phrase... Le fait que même eux ne savaient pas ce qu'il faisait ici et comment c'était arrivé laissait la première génération perplexe.

    - Peut... Peut-être que si vous êtes vraiment là, c'est à cause d'une autre... autre famille ? Proposa Lampo, qui ne savait pas trop où se placer.

    - C'est une possibilité, en effet. Qu'en pense-tu Tsunayoshi ?

    - Hum... je n'en sais rien, tout ce que je sais, c'est que nous sommes coincés ici, et que nous n'avons, pour l'instant, aucun moyen de revenir. Donc, jusqu'à ce que nous trouvions une solution, on va rester ici. Bien sûr, seulement si, les Primos sont d'accord, obtempéra t-il en regardant la première génération.

    C'est à ce moment-là que Giotto se réveilla de sa torpeur. Il réalisa que tout le monde le regardait, attendant sa réponse. Bien évidemment, il avait écouté toute la conversation, mais ce qui le choquait restait le voyage dans le temps... Il avait beaucoup de mal à y croire... Mais la réalité le frappait de plein fouet. Il ne pouvait qu'être d'accord avec elle. Il pesa le pour et le contre... Pour une question de sécurité, ils fallait mieux que la dixième génération (ça lui fait tout drôle de dire ça) reste ici. C'était effectivement la meilleure solution, et puis, pour une raison qu'il croyait inconnue, il voulait mieux connaître ses successeurs et, en particulier, le nouveau boss, qui lui ressemblait trop pour son propre bien.

    - Je pense que c'est bon, et puis comme ça, on pourra vous surveiller.

    - Hé ! S'exclama Gokudera.

    - Sans vouloir vous vexer, je ne vous connais pas suffisamment pour vous faire confiance.

    - C'est bon, Gokudera. Ce dernier se calma en grognant quelque peu. Je comprends, j'aurais sûrement réagi pareil. Je vous remercie pour le toit que vous nous donner.

    Asari clapa des mains, bien forts pour que tout le monde puisse l'entendre.

    - Je pense que cette histoire à été réglée, maintenant que nous savons qui vous êtes, nous pouvons peut-être profiter de la journée qui s'offre à nous pour faire plus ample connaissance, n'est-ce pas ? Mais, en premier, un petit déjeuner ne serait-il pas le bienvenue ?

    Pour confirmer ses dires, plusieurs ventres gargouillèrent, provoquant l'hilarité générale, avec quelques rictus pour certains. La tension qui était tendu jusque là se relâcha d'un coup.


    La matinée se passa plutôt bien, malgré encore le fait qu'il y avait de l'animosité entre certaines personnes.

    Après avoir réglé l'histoire du voyage dans le temps. Il avait pris un copieux repas, alors que ce n'était que le déjeuner, mais bon, ne disait-on pas que les bourgeois du temps aimaient la nourriture de haute qualité peu importe l'heure ?

    Par contre, ce n'était pas la qualité, mais la quantité, qui avait surpris les plus jeunes. Eux avaient l'habitude du petit-déjeuner rapide mais convivial, pas à autant de nourriture sur la table, on pourrait presque se croire au déjeuner ou au dîner.

    Vous voulez une description de ce qu'il y avait sur la table ? Sérieusement ? Bon, c'est vous qui l'aurez voulu, soyez pas jaloux ou jalouse après.

    Quand ils sont arrivés, la table était remplie de nourriture, abondamment. Chacun avait sa propre nourriture à sa place, et fait surprenant, les femmes et les hommes qui s'occupaient du repas, avaient eu le temps de mettre d'autres places pour la dixième génération.

    Mais d'abord, commençons par la nourriture qui avait été placée sur le milieu de l'immense table.

    Du jambon, de très haute qualité. A quelques centimètres de ce dernier, du pâté, oui. Du pâté, et pas n'importe lequel, du pâté de sanglier, chassé de ce matin. Un peu plus loin, on voyait du poulet fricassés à... la sauce blanche...

    Du pain, du vin pur, des corbeilles de fruits entourait le tout.

    Passons maintenant au plat que chacun possédait.

    Chacun possédait deux tisanes ou parfois un bouillon pour certains membres de la première génération. De l'autre côté une tasse de chocolat.

    La première génération avait soit un repas japonais, soit un repas italien. Mais pour la dixième génération, comme les serveuses et les serveurs ne savaient pas ce qu'ils aimaient les deux plats étaient disponibles.

    Pour le repas italien, rien de bien compliqué. Seulement une boisson chaude, que ce soit du lait, du thé ou du café. Ces derniers étaient accompagnés d'éléments sucrés, tel que des biscuits, du pain beurré ou avec de la confiture, plus quelques viennoiseries fraîches. Le tout était accompagné de Cornetto à la crème, ou bien à la confiture ou encore au chocolat.

    Le café, lui n'était pas encore servi, seules les tasses étaient présentes. Les serveurs, eux, attendaient avec chacun leurs services dans les mains.

    L'une portait du decaffeinato, l'autre du caffè macchiato, un autre encore avait du cappucino, le quatrième c'était du caffè lungo, une autre servait du caffè ristretto, celui posté à la droite d'Alaude avait du marocchino, et celle qui se tenait droite à côté de la porte, elle avait du caffè corretto, l'avant-dernier portait du latte macchiato et enfin la dernière servait du caffè d'orzo. (1)

    Mais à côté de ce plat traditionnel italien, il y avait un plateau avec un petit déjeuner traditionnel japonais.

    Sur ce plateau, il y avait du tamago kake gohan (Oeuf cru battu du bout des baguettes, avec comme base du riz) pour certains, et pour d'autres c'était du tamago onsen (Oeuf poché, cuit dans une source d'eau chaude, avec du nori (algues séchées) et du nattô). A côté une généreuse omelette japonaise, appelée dashi maki tamago, avec du saumon grillé (yakijake) ou de l'éperlan grillé (shishamo), accompagné d'une salade de petits poissons (shirasu), en plus du tofu. Un peu plus loin, il y a avait du tsukemono (légumes marinés et saumurés, avec des concombres, des aubergines, des prunes et des radis blanc, appelé daikon). Le tout accompagné de son célèbre thé qu'il soit chaud ou froid.

    Voilà, c'est tout ! Je vous l'avais dit, maintenant ne m'en voulez pas.

    Face à tout cela, la dixième génération, ne savait plus où donner de la tête et ne se faisait pas prier pour manger, jusqu'à ce que leur ventre n'en puisse plus. Ce qui amusa particulièrement certains de la première génération.

    - Vous ne mangez pas dans votre é-époque ? Giotto, avait encore du mal, mais ça viendrait avec le temps.

    - Le matin, nous mangeons soit des céréales avec du lait, ou quelques fois, la plupart du temps le week-end, nous mangeons un petit déjeuner japonais, mais jamais tout en même temps, répondit avec joie Tsuna.

    - C'est peu...

    - Mais ça nous suffit largement, déclara Gokudera. Enfin, pour la plupart, finit-il en regardant Lambo qui mangeait sans faire attention aux éclaboussures qu'il envoyait sur les gens, ce qui lui valut un regard réprobateur de son boss.

    - Mais, je voudrais en savoir plus, sur votre époque. Par exemple, les évolutions qu'il y a eu.

    - Je ne peux pas beaucoup vous en dire... Pour ne pas perturber l'équilibre du temps.

    - Je vois... Même pas un tout petit peu ? Tenta encore une fois Giotto.

    - Peut-être que certaines choses ne changerons pas l'avenir, enfin l'un des avenirs...

    - L'un des avenirs ? Demanda Elena.

    - Oui, vous connaissez surement, les bagues Mare de la famillle Gesso et les Arcobalenos ?

    - Oui, mais quel est le rapport ?

    - Eh bien, les bagues Vongola traversent les générations, ce qui revient à dire, que parmi tous les avenirs qui existent, les bagues traversent une seule ligne du futur. Tandis que les bagues Mare, que possèdent les Gessos, elles traversent tous les avenirs possibles. Et les Arcobalenos, eux n'apparaissent qu'à certains moments clés de plusieurs avenirs.

    - Heu...

    - Ce que veux dire Gokudera, c'est que les bagues Vongolas traversent les âges, dans une ligne verticale les futures générations à venir. Les bagues Mare, elles, traversent les avenirs différents qu'il y a, ce qui veut dire qu'elles traversent dans une ligne horizontale. Tandis, que les Arcobalenos, eux, apparaissent à différents moment de l'histoire... Je ne sais pas si c'est vraiment plus clair...

    - Peut-être un peu, mais tout ceci reste compliqué.

    - En effet. Bon, ce sera plus simple avec un dessin, je pense, déclara Tsuna en regardant celui qui dessinait le mieux de la bande... Ryohei ! Ce dernier soupira en sentant le regard intense de son boss.

    - D'accord... d'accord. Je vais le faire.

    Le gardien du soleil de la dixième génération demanda une feuille de papier et un crayon. Quand on les lui donna, il s'installa sur la table, et commença son chef-d'oeuvre. Ils mirent quelques temps à expliquer certaines technologies, évolutions de leur monde, sur la mafia ou non. La première génération était complètement captivé par leur récit et ce futur qu'ils ne connaîtront jamais. Mais bon, toute bonne chose à une fin. Le soleil était déjà bien haut dans le ciel et Giotto qui détestait plus que tout rester enfermé quelque part, proposa une chose complètement folle aux yeux de certains de ces gardiens.

    - Et si on prenait l'air dans le village le plus proche ?

    - Tu veux que l'on emmène ces gamins à Castelmola ?! S'exclama G.

    - Qui est un gamin ?! Se courrouça Gokudera.

    - Je ne vois personne d'autres à part toi et tes amis !

    - Mais, je t'emmer-

    - Bien, oublions-les pendant un moment... Prononça Tsuna, en regardant les deux gardiens de la tempête se disputer, il eut une grimace.

    Gokudera avait beau être plus mature qu'avant, il était toujours très colérique sur le fait qu'il était encore jeune, et, de plus, cela lui rappelait certaines erreurs passées, que tout le monde préférait oublier, surtout Tsuna. Ce dernier secoua la tête, tentant d'oublier un mauvais souvenir de revenir à la surface. Se reprenant, il demanda quelques explications sur l'idée folle de Giotto.

    - Je ne suis pas sur de bien comprendre, votre idée Primo. Vous, vous souhaiteriez que l'on sorte ? Mais...

    - Exact, Tsuna ! Je commence à en avoir marre de rester cloîtrer ici, même si vos récits sont passionnants, je trouve que rester enfermé alors que le soleil pointe enfin le bout de son nez serait dommage de ne pas en profiter.

    - Heu... Mais, je ne pense pas que ce soit une bon-

    - Tut, tut. Tsuna, je suis le Primo, n'est-ce pas ?

    - Heu... oui, bien sûr, mais je ne vois pas spécialement le rapport entre ça et-

    - Justement, toi, tu es bien le Decimo ?

    - Oui... Mais je ne compre-

    - Et je suis aussi le créateur de la famille Vongola, c'est exact ?

    - ...

    - Et bien, si tu en suis la logique, étant le créateur de la famille et son premier boss, et toi le dixième, je te suis supérieur hiérarchiquement, donc tu dois m'obéir si je prends une décision.

    Tsuna comprenait enfin où son prédécesseur voulait en venir. Il hocha la tête, laissant un rictus parcourir ses lèvres, heureux qu'ils puissent enfin prendre l'air, entre la soirée d'anniversaire, son évanouissement et le fait qu'il devait tout expliquer à la première génération, un bon bol d'air frais n'était pas vraiment de refus. Un regard complice vers son géniteur, et ils décidèrent, aux grand malheur des autres.

    - Je suppose que je n'ai pas le choix, dit-il dans un petit rire.

    - Non, pas vraiment, répondit Giotto, bien amusé par la situation.

    De plus, la réaction des gardiens était exquise. Ils étaient abasourdis, les deux boss avaient pris leur décision sans les consulter. Les deux s'étaient d'ailleurs retournés dans un même élan, pour leur sourire sadiquement, prouvant que personne, et je dis bien personne, ne pouvait échapper à cette sortie. Dans un souffle commun, ils soupirèrent, quelques fois leurs boss étaient irrécupérables, surtout quand ils avaient une idée en tête.

    - Mais est-ce que tout le monde va se balader au même endroit ou l'on se sépare ? Demande Elena.

    - Je pense que c'est plus judicieux de se séparer, pour éviter tous les problèmes, après tout à Castelmola, tout le monde nous connaît. Il faudrait donc que chacun s'habille de manière différente, parce que si on veut passer inaperçu, là on est mal barré, énonça Deamon.

    - En effet c'est une bonne idée, la dixième génération devrait se changer, le seul problème c'est que leur ressemblance avec nous est trop étrange, pour je ne sais quelle raison.

    A cet instant, un groupe de serveurs et de serveuses arrivèrent. L'un d'eux, surement le majordome chargé des directives du manoir, s'avança. Il portait un badge que les autres n'avaient pas, un petit colibri qui avait la tête penché au-dessus de l'eau. Il semblait avoir un certain âge, les rides rieuses le prouvait. Il était plutôt grand, et c'est cheveux ressemblant étrangement à ceux de Gokudera... Encore un fait étrange. Par ailleurs, les yeux, n'échappaient pas à la règle de l'étrangeté, ils étaient jaune doré, tel un serpent. Un serpent fidèle, aux yeux de la première génération.

    - Je suis navré, mais nous avons malencontreusement entendu votre discussion, et je pense que nous pouvons vous aidez pour le problème de vos invités.

    - Que ce veux tu dire, Sebas ? Demanda Knuckles.

    Avant que le fameux Sebas ne puisse répondre, une femme possédant elle aussi le même badge et la même tenue, parla. Elle avait les cheveux bruns plutôt long, attachés en queux de cheval. Elle était un peu plus petite que le majordome. Ses yeux, eux, étaient, de couleurs, turquoise.

    - Laissez-nous faire, dit-elle en un regard complice avec son ami.

    - Evangelista, de quoi-

    Puis les deux demandèrent à leurs subordonnés d'encercler la dixième génération, qui ne comprenait pas ce qu'il se passait. Puis, comme par enchantement, ils furent entraînés dans une salle, à la vitesse de la lumière.

    - Heu... je crois que nous ne devrions pas nous impliqués dans ceci, pour notre survis. Déclara Lampo, après un silence.

    - Tu m'étonne quand Envangelista et Sebas, sont ensemble c'est encore pire que tout, surtout quand ça concerne l'habillage. Approuva Deamon.

    - Je pense que nous devrions prendre au minimum des vêtements qui fassent plus civile et caché nos cheveux pour ne pas être remarqué par les gens, et prié pour leur survis. Fini par dire Giotto.

    Un hochement de tête, et une petite prière mentale pour leur géniture et chacun partit dans sa chambre se changer pour des vêtements plus simples.

    Chacun des deux "clans" avait donc été séparer. Les subordonnés des deux majordomes semblait être des tailleurs, et il semblerait que ça les amusaient grandement de chouchouter la dixième génération... Allez savoir pourquoi, moi, je ne veux pas savoir... Si vous voyez ce que je veux dire.

    La première génération, avait été la première prête.

    Giotto, avait enlevé sa cape, et ses vêtements étaient devenus plus simple. Sur sa tête, il y avait un béret, qui cachait sa grosse tignasse, bien trop voyante. Il portait une simple chemise de couleur noire, et un pantalon blanc avec un griffon qui commence est prêt à s'envoler de son rocher, sur le côté de sa jambe droite. En dessous marqué en une calligraphie ancienne marqué "Il grifone , che illumina il cielo , che spiega le ali e ci fa godere la sua nobiltà e la sua purezza." (2)

    Knuckles, lui avait opté pour une tenue ressemblant un peu à celle qu'il portait presque tout les jours. Seul, un bandana, lui cachait un peu les yeux. Ses vêtements restait les même. Toujours une tenue de prêtre, toujours noire, sauf que dans son dos, on discernait une panthère noire, prête au combat, devant un croix. Et dessous un petit texte, toujours en calligraphie était écrit : "La pantera nera al tempo stesso di una calma tanto profonda che il colore del suo pelame sembrava sul punto esplodere sotto i rovesci affondo del cappa nero della falciatrice." (3) Il avait encore son écharpe rouge, celle dont il ne se sépara jamais.

    G, lui ne s'était pas changé, ce qui lui avait valu un regard noir de ceux qui avaient l'effort de se changé. Il avait pris un fedora de couleur blanc, et... c'est tout. Sur ce dernier, il y avait un Faucon en plein vol, en-dessous du ciel. La même calligraphie était écrite juste au-dessus du ciel. "Magistrale nel cielo gli ali del falco sembravano coprire il mondo di tutto le parole che allontanano i fardelli per il suo sguardo tanto sicuro che acuto." (4)

    Asari, lui pour sa part, c'était complètement changé. Il avait enlevé sa tenue japonaise de joueur de flûte, pour ne prendre qu'une chemise et un bermuda, laissant enfin son corps respirer un peu. Même si il adorait sa tenue, lui rappelant son pays natale, il aimait parfois être découvert. Même ses cheveux, qui était souvent couvert avait été libérés. Sur le bas gauche de sa chemise, il y a avait un dauphin en plein saut, montrant toute sa grâce. Sur son côté droit, il y avait une phrase, de la même écriture que les autres. "Bucando la superficie, la bellezza e la grazia del delfino sembrava essere un riflesso dell'acqua che sovrastava, un spettacolo tanto effimero che ammaliando." (5)

    Deamon, lui avait enlevé sa tenue de noble pour ne mettre qu'une simple tenue. Un t-shirt de couleur indigo, avec un pantalon, de taille différente pour les deux jambes. Une veste couvrait son t-shirt. Sur la partie la plus longue, il y avait un serpent qui observait le ciel. Une phrase était écrite, toujours en calligraphie, entre le ciel et le serpent. "Il suo corpo il costrittivo a restare al suolo gli permetteva solamente di contemplare il cielo sognando lasciando rifletterlo a come andava a strisciare su questa terra, tale il serpente che era." (6)

    Alaude, avait imité G, ou était-ce l'inverse ? Qu'importe. Lui n'ont plus ne s'était pas changé seul son manteau, avait été changé. Il en avait pris un, aussi long, mais plus de couleur blanche. Le changeant complètement, ce qui fait qu'il n'avait pas besoin de porter quelques choses pour cacher ses cheveux. Sur le dos de son manteau, une buse fondant sur sa proie, était représenté, avec une phrase juste en dessous. "La poiana lascia solamente un lampo a forma di serra, quando fa sulla sua preda dal cielo." (7)

    Lampo, lui avait changé de chemise, laissant sa chemise blanche pour une verte-jaune foncé. Ce qui lui permettait de garder son pantalon noir. Une sorte de chapeau-melon sur la tête. Sur le col du son t-shirt, jusqu'à sa poitrine, il y avait un paresseux allonger sur le sol, recouvert d'un ciel noire, dévoilant la nuit. Une phrase était noté juste en-dessous de l'animal. Avec la même calligraphie. "Un essere troppo lento o un mondo troppo veloce? Contrasto di ritmo intrigante per una creatura conforme al suo nome vivente che ha scelto la tranquillità piuttosto che l'esistenza stressante e spossante dei suoi compagni pigri." (8)

    Elena, pour sa part avait mis une magnifique robe pourpre, qui lui arrivait jusqu'au genou. Un tour-de-cou, de la même couleur que la robe, était accroché. Ses cheveux n'était pas caché, non, comme elle laissait toujours ses cheveux détachés, elle avait juste eue besoin de les attaché dans un chignon, faisant un effet décoiffé. Un magnifique paon blanc, dévoilant sa parure était dessiner sur le bas de sa robe droite, contrastant à la perfection avec la couleur de la robe. Au-dessus de la parure était écrit une phrase en calligraphie. "Bello e affascinante , il narcisismo giustificati da chiunque sarebbe un semplice sguardo al suo vestito , una bella gioia velata , in ogni caso , ma cresciuto come un banner, che è ciò che il pavone." (9)

    - Bien, Tsunayoshi et ses amis, devrait bientôt avoir fini. Attendons-les. Déclara Giotto, qui reçu un hochement de tête de ses camarades.

    Au bout d'un moment, la dixième génération arriva complètement changer de leurs vêtements venant du futur. Ils avaient l'air tellement moins imposants, et pourtant même dans les vêtements simples qu'ils avaient, ils dégageaient une aura impressionnante.

    Il était presque tous habillé de la même façon, seuls quelques différences apparaissaient par-ci, par-là. Ils portaient tous une chemise blanche, et un pantalon noir pour Mukuro, Hibari, Gokduera, Yamamoto. Tandis que Ryohei, avait un bermuda, Tsuna et Chrome, eux avaient un short.

    Leur veste, elles étaient de couleurs différentes pour chacune des personnes présentes. Tsuna, portait une veste de couleur orange nacrée, tel un couché de soleil. Gokudera, portait une veste bordeaux, Yamamoto lui bleu foncé. Mukuro et Chrome, indigo. Kyoya, violette foncé. Tandis que Lambo, en avait une vert-jaune, et Ryohei, lui une jaune-brune.

    Et leur chapeau était différent pour chacun, Tsuna, Yamamoto et Kyoya, portait un fedora noir, pour le premier, blanc, pour le deuxième et brun foncé pour le dernier. Gokudera, portait un béret de couleur noir, tandis que celui de Lambo était de couleur violette foncé. Chrome, elle portait un chapeau des femmes nobles, il avait plusieurs plumes de paon blanche. Mukuro et Ryohei, pour leur part, avait un bandana, mauve pour le premier et blanc pour le deuxième.

    Tsuna s'avança vers la première génération.

    - Je crois que nous sommes prêt. Et pour vous ?

    - Pareil. Alors allons-y !

    Les personnes présentes dans la pièce partirent, la dixième génération suivant leur ancêtre ne connaissant pas par cœur le manoir, qui avait été détruit dans leur époque. Ils arrivèrent aux box des cheveux. Quand Giotto, s'arrêta brusquement, se tapa la paume de la main sur le front.

    - J'ai oublié !

    - De quoi, Gio ? Demanda G.

    - Les chevaux pour Tsuna et ses compagnons.

    - Sérieux ?!

    - Désolé...

    - Ce n'est pas grave, on ne peux pas, par exemple, monter sur les même chevaux. Proposa Ryohei.

    - C'est tout ce qu'il reste à faire. Bien, les gars, prenez vos chevaux, ensuite on verra qui ira avec qui.

    - Sérieusement ?! S'exclama le bras-droit du boss.

    Ignorant superbement G, qui s'énervait pour un rien. Chacun de la première génération partirent chercher leur cheval, G, suivit le troupeau peut après, en grommelant dans sa barbe.

    - Nous sommes près, bon, je vais faire les groupes, et pas d'histoire, c'est clair. Pala Giotto, en appuyant particulièrement son regard sur son gardien de la tempête et du nuage. Tsuna, viendra avec moi. Tandis que Gokudera, ira avec G. Yamamoto sera avec Asari. Knuckles avec Ryohei. Deamon, sera lui avec Mukuro. Hibari et Alaude ensemble. Lampo et Lambo vous irez vous baladez tous les deux. Les filles, vous serez ensemble.

    - Je ne ve-

    - J'ai dis pas d'histoire, Alaude, je me fiche de ton avis, c'est un ordre, c'est clair. Déclara t-il, en lançant des éclairs dans les yeux de ce dernier. Nous nous retrouverons à 17 heures devant l'entrée du village, est-ce clair ?

    Un hochement de tête, affirma que tout avait compris.

    - Bien, allons-y !

    Chacun prirent la main, de la personne avec qui il passera l'après-midi, pour le mettre sur son cheval, et se séparèrent. Certains, au galop, d'autres au trop, ou bien encore au pas, profitant des rayons de soleil.

    Arrivant à la ville, chacun des gardiens, pouvaient observés la beauté du village. Surtout la dixième génération, en fait. Parce que, pour eux, Castelmola, était une ville magnifique, en effet, avec leur château, en haut de la falaise, et la ville haute et basse, qui l'entourait, rendait l'atmosphère magique et assez particulière. Mais là, elle avait, une atmosphère plus chaleureuse et convivial. Les petites maisons n'étaient pas luxueuses, seules quelques unes étaient plus grandes que les autres, prouvant que les propriétaires avaient un métier plus aisés que d'autres.


    Gokudera et G, arrivèrent, sur le dos de Tornade, une jument avec une robe "gris" (10) . G, eu un peu de mal à la faire rentrer dans le village. Étrangement le caractère de la jument ressemblait un peu à celui de son propriétaire. Elle était têtue, même, avec son maître, quand elle décidait de faire quelque chose, elle le faisait. Et pourtant elle était fidèle et adorait écoutait avec attention G, quand ce dernier ce sentait mal. Ils formaient une fière équipe.

    G, réussit à sa jument, à une écurie, ils devaient être les premiers à être arrivés, vu que c'était l'une des deux écuries, et qu'il n'y avait encore personne ou aucun cheval de l'un des compagnons du rouge.

    Quand, ce dernier sortit de l'écurie, il remarqua son géniteur qui l'attendait appuyé sur un mur.

    - Bon, qu'est-ce que l'on fait ?

    - Je ne sais pas, la ville est trop différente de notre époque...

    - C'est-à-dire ?

    - Ben, nous, nous avons des immeubles. Devant l'air de G, Gokudera soupira. Ce sont de très très grand bâtiments, pouvant abrités plusieurs personnes dans un espace restreint.

    - Je vois. Hum... Giotto, ne sait vraiment plus quoi faire pour échapper à l'ennuie...

    - Tsuna aussi envie de s'amuser, apparemment.

    - Vous aussi, il a connu l'ennui.

    - Ouais, même qu'une fois, il avait emmené le glaçon, alias Hibari Kyôya, chez les Varia... (Petit clins d'œil à Himustu-chan)

    - La Varia ?

    - Un groupe indépendant, faisant partie de la famille Vongola, un peu comme le CDEF d'Alaude.

    Un silence inconfortable se mit en place entre les deux gardiens de la tempête. Aucun des deux ne savait quoi dire. G, pris alors la décision d'aller montrer à l'autre un endroit bien spécifique. Devant le brusque déplacement de son ancêtre, Gokudera mis un temps avant de se rendre compte que si il ne bougeait pas d'un pouce, G, allait volontiers le laisser en plan.

    Quand le jeune remarqua où son aîné l'avait emmené, il regarda attentivement G, qui leva l'un de ses sourcils dans un air indéchiffrable.

    - Quoi, tu n'en ai jamais allé dans un magasin d'armurerie ?

    - Si, si bien sûr. Mais pourquoi ?

    - Je n'ai aucune idée de comment passer le temps, alors, voilà.

    Gokudera, remercia son "idole" d'un hochement de tête, puis rentra dans le magasin.

    Il fut de suite happé, par les différents types d'armes, malgré l'époque dans lequel il était, elles étaient extrêmement moderne.

    - C'est l'un des meilleurs magasins de tout le pays, leur armes sont d'une qualité incroyable, donc si quelques choses te plaît, prends-le. Et ne t'inquiète pas pour l'argent, je peux bien payer ça. Pour me faire pardonner, de t'avoir traiter de gamin, tout à l'heure. J'ai bien vu que ce ne t'avais pas vraiment plus, et ton boss, avait l'air lui aussi de se sentir mal à ce moment.

    Gokudera baissa la tête, en se remémorant un souvenir, qu'il n'aimait guère.

    - Désolé, je ne voulais pas te faire rappelé un mauvais souvenir.

    - Ce n'est pas grave. Seulement, c'est encore récent dans nos mémoire, et on nous as bien fait comprendre que dans la situation dans lequel on était, on était que des gamins aux yeux des adultes.

    - Je comprends, bien que cela ne me soit pas arriver. Si j'ai bien compris la famille Vongola est devennue très influente, tellement que parfois il y a des conflits intérieurs.

    - C'est cela.

    Puis son regard fut attirer par attirer par un arc, il savait que si il utilisais son arc, où ses dynamites, ils s'attireraient des ennuis. Car ne l'oublions pas seul, quelques personnes peuvent utiliser les flammes de la volonté, dans cette époque. Alors si lui un inconnu les utilisaient, il y aurait surement des conséquences et pas des moindres.

    L'arc était un arc à poulie, il était de couleurs noirs sur les parties supérieurs et inférieurs. Et le repose flèche était de couleur rouge poulie.

    Et Gokudera le pris, pour l'essayer. G, s'avança vers le jeune qui avait l'air d'apprécier l'arc.

    - Vas-y prends-le.

    - Mais, je...

    - C'est pas tout les jours que j'offre des cadeaux, donc vas-y, profite.

    - Merci.

    - Je vais te montrer un endroit où tu vas pouvoir t'entraîner avec.

    - Cool.


    Daemon et Mukuro, Scintilla (cheval/blanc/Fougueux) (Dispute pour un repas)

    - Je te dis que tu en ai incapable. Certifia Deamon.

    - Et moi, je te dis que je suis bien plus doué que toi pour ça ! Regarde comme elle belle ! S'exclama Mukuro.

    - N'importe quoi, tu trouve ça beau toi... Regarde plutôt la mienne.

    Scintilla secoua la tête, son maître était vraiment étrange parfois, surtout depuis que ce deuxième ananas, venait d'arriver. Ils n'arrêtent pas de ce disputés, pour savoir qui cuisine le mieux. Affligeant.

    Scintilla se demandait parfois si il avait fait le bon choix... Est-ce qu'il aurait du prendre comme mettre celui qui monte sur le dos de Ruby ? Peut-être que sa vie n'aurait pas été aussi amusante, mais qu'elle aurait eu le mérite d'être plus calme à certains moment. Mais bon qu'est-ce qu'il pouvait y faire ? Non, mais vraiment, lui le magnifique cheval de couleur blanc neige, aussi fougueux et vivace que son maître, alors peut-être étaient-ils fait l'un pour l'autre ? Qui sait.

    Finalement, au bout de quelques minutes, ils arrêtèrent le cheval, pour le laisser dans l'un des box du village, celui au Sud.

    Les deux hommes, partirent se balader tout en continuant leur dispute qui n'avait aucun sens.

    - Je te dis que mes Amaretti sont les meilleurs, du monde ! Déclara Deamon.

    - Peut-être à ton époque, mais nous avons évolué, tes recettes anciennes ne rivalise pas avec les miennes beaucoup plus récente !

    - C'est faux.

    - Non, c'est vrai.

    - Faux.

    - Vrai.

    - Faux.

    - Vrai.

    - Faux.

    - Vrai.

    - Faux.

    - Vrai.

    - Fa-

    - Excusez-moi, messieurs, mais j'ai cru comprendre que vous étiez cuisinez ? Demanda deux hommes.

    Les gardiens de la brume se regardèrent, avant de diriger leur regard vers ceux qui les avaient interpellés. L'un était un homme plutôt normal, avec un front immense. L'autre était plus rondelet pour sa part.

    - Qui êtes-vous ?

    - Je suis restaurateur ! Dirent en même temps les deux hommes.

    Ils se regardèrent, et commencèrent à se disputer devant les deux hommes.

    - C'est avec moi, qu'ils viennent !

    - Non, moi !

    - Avec m-

    - Excusez-moi, mais de quoi parlez-vous ?

    Les deux hommes se regardèrent entre eux, et parlèrent d'une seule voix, encore une fois.

    - Mais, vous êtes cuisiniez, n'est-ce-pas ? J'ai besoin de vous ! Ma cuisine tourne mal et j'ai besoin d'un cuisiniez, même pendant une journée.

    Deamon et Mukuro, s'observèrent, et tous les deux partirent dans l'un des deux restaurants, prenant un tablier et une toque. Ils rentrèrent dans les cuisines, et prirent les commandent, utilisant leur illusions pour que tous le monde les écoutent. Mais avant de se diriger chacun dans leur coin, Deamon, déclara :

    - Celui qui vend le plus de plats, gagne, ça marche ?

    - Ok, pour moi. Je vais te laminé.

    - Que tu crois.

    Dans chacun des deux clans, les plats allaient et venaient, tel que le risotto, des pizzas, des lasagnes, des ravioles, des saltimbocca, des osso bucco, et bien d'autres encore.

    Au bout de plusieurs heures, les deux hommes sortirent du restaurant avec les directeurs.

    - Deamon : 84

    - Mukuro : 86

    Mukuro, rigola sans se gêner des personnes qui l'entouraient.

    - Tu as perdu, complètement perdu. Je suis bien meilleur que toi. N'espère même pas dépasser mon niveau, je suis bien au dessus !

    Un grognement, lui répondit. Les deux directeurs, les interpella. Ils parlèrent encore une fois, en une seule voix.

    - Je vous remercie ! Vous m'avez particulièrement aidé. Je ne vous serais jamais assez reconnaissant. Revenez autant que vous le souhaitez, en tant que client ou bien en tant que cuisinez. Laissez-moi vous donnez ceci, c'est peu, mais j'espère que cela vous fera plaisir.

    Les deux hommes, leur tendirent chacun une bourse, plutôt grosse. Les gardiens de la brume, partirent alors. Quand, ils arrivèrent devant le box, où Scintilla avait été laissé, Daemon, lança un objet dans les mains de Mukuro. Ce dernier observa la chose qu'il tenait, et remarqua que c'était la bourse, il releva la tête vers son ancêtre.

    - C'est pourquoi ?

    - C'est ta récompense pour avoir gagné, mais la prochaine fois tu ne gagneras pas ! Deamon, se retourna.

    Mukuro regarda ce dernier, et sourit. Vraiment étrange... et complètement différent de son monde, voilà comment était Daemon.


    Ryohei et Knuckles, eux arrivèrent sur une plaine, aux alentours de la ville.

    Ryohei, ne comprenait pas vraiment ce qu'il faisait ici, pourquoi n'allait-il pas dans la ville ? Knuckles remarqua le problème de son prédécesseur.

    - Je n'ai pas vraiment envie d'aller au village. Expliqua-t-il de façon un peu gêné.

    - Il s'est passé quelque chose ?

    - Ouais... Une chose... Que j'ai fait et... Il se tut, et baissa la tête.

    Knuckles, prit son cheval Ameretto. Un magnifique Cheval de Hesse, avec un robe "pie" (11). Ce dernier baissa la tête pour poser son museau sur le front de son maître, lui apportant un peu de réconfort. Le calme et la patience de ce cheval, avait surpris Ryohei, car il ne s'attendait pas à autant de sérénité venant de son ancêtre, parce que si il avait bon souvenir, Knuckles n'était pas connu pour son calme... Mais la rumeur était fausse, enfin aux yeux de Ryohei.

    Enfin, peut-être, qu'il l'était, lorsqu'il n'était pas triste.

    Knuckles se posa sur l'une des pierres qui couronnait la plaine, en soupirant. La peine se lisait sur son regard.

    Ryohei, s'approcha, doucement, et ne sachant pas, encore, comment il devait si prendre, pour comprendre le problème qui rongeait la conscience de son ancêtre. Il s'assit à côté de lui, et observa au loin.

    Ryohei, était devenu beaucoup plus calme, depuis l'Incident, comprenant parfaitement tous les risques de cette vie, et puis il comprenait aussi qu'il ne devait plus faire la même erreur que dans le passé.

    - Je... Est-ce que tu peux me... raconter ?

    Knuckles ne répondit rien, baissant simplement la tête.

    Un silence pesant venait de se mettre en place depuis quelques minutes déjà. Pourtant, Ryohei, compris que ce n'étais pas la bonne solution. Cette expérience, était une horreur à vivre. Ce cacher derrière un masque, ne lui apporterait rien.

    - Tu ne devrais pas te cacher derrière ce masque, cela ne t'apporteras que de la douleur en plus. Je suis désolé, de te demander de me parler de ce qui te tracasse. Mais si tu ne veux pas m'en parler, parle-en à quelqu'un, ton boss ou encore tes camarades...

    - Non, ce... c'est une mauvaise idée...

    - Sache que moi, lorsque j'étais dans le doute, juste avant un combat important, j'ai parler de mes soucis à Tsuna, et lui m'a écouté, et il m'as conseillé, de même qu'il s'est inquiété pour moi. Grâce à cela, j'ai réussi à gagner de la confiance en moi et un poids s'était envolés de mes épaules.

    - Je...

    - Je comprends que tu ne veux pas leur en parler, mais moi, je suis là pour t'écouter. Et tu sais comme l'on se ressemble sur plusieurs points, je pense pouvoir te conseillé.

    Knuckles regarda attentivement son successeur, ne sachant pas quoi faire. Il tritura un peu ses doigts, signe de nervosité.

    - J'ai commis une grave erreur... La dernière fois que je suis allé au village... je...

    Kunckles se tut. Ryohei, lui, ne parla pas, sachant que le gardien, devait prendre son temps pour trouver ses mots.

    - J'ai vu... des enfants se faire enlevés devant moi, je n'ai pas réagi sur le champs, et puis, quand j'ai enfin bougés, les kidnappeurs, s'étaient enfuis, avec des chevaux. Je les ais poursuivis, à dos de Amaretto. Lorsque je réussi enfin à les rattrapés, certains avaient été...

    Il déglutit, retenant presque un sanglot.

    - ... tués. Ils étaient une vingtaines, et pourtant ces bandits en avaient tués la moitié ! La moitié !

    Le ton de Knuckles étaient montés, prouvant qu"il ne sentait pas bien. Ryohei, le laissa reprendre son souffle, écoutant attentivement son histoire.

    Après quelques minutes, Knuckles, qui avait commencé à trembler sans s'en rendre compte, finit par s'arrêter. Pourtant sa voix, elle était devenue plus fébrile.

    - Ces enfants avaient été égorgés, d'autres torturés... Tant d'horreur, à ce moment... Les enfants restants, eux, étaient, terrorisés, ils ne bougeaient pas, trop choqués par la vision du sang qui s'étendait sur le sol... Les kidnappeurs, eux étaient heureux, un sourire ornaient leurs visages, juste comme une euphorie. Le sang, s'étalait sur le corps et leur visage, rendant la vision horrifique. Et pourtant, ce que j'ai commis, était... injustifiable...

    - Que veux-tu dire ?

    - J'ai... tué quelqu'un... un innocent. Finit-il dans un sanglot.

    Ryohei, le regarda, surpris, ne fit aucun mouvement, ne préférant pas le brusquer, le gardien du soleil, invita son supérieur à continuer d'un regard.

    - J'étais choqué, apeuré, même. Mais, je savais que si on laissait ses monstres en vie, ils allaient commettre encore d'autres abominations. Je les ai tués, je n'ai eu aucun remord à le faire. Non, dans ma folie, un enfant que je n'avais pas vu, était sur mon chemin, entre leurs ravisseurs. Je n'ai pas pu m'arrêter, j'avais déjà tués 3 des 4 kidnappeurs, et là l'enfant... je... tué... tout ce sang... sur m...oi...

    Il éclata en sanglot, ne supportant plus le poids du remord. Ryohei, dans un élan de réconfort, même si ce n'était pas son truc, pris Knuckles dans ses bras.

    - Enfants... avaient peur... j'ai... perdus... sang...

    Seuls quelques mots étaient compréhensibles, sur les phrases inaudibles.

    - Chut... Il faut se calmer...

    Ils restèrent longtemps dans cette position, l'un réconfortant l'autre avec douceur, l'autre perdu dans ses souvenirs.

    - Tu sais, l'homme n'est pas tout à fait coupable : il n'as pas commencé l'histoire, ni tout à fait innocent, puisqu'il la continue. (Albert Camus)


    A dos de Ruby, un cheval avec un robe de couleur aussi noire que la nuit, un cheval "frisson" (poils sur le bas des pattes (comme des cheveux de trait, sinon Google !). Ce cheval avait un air noble. Il marchait droit, et avançait avec lenteur, surplombant toute la colline sur laquelle ils étaient.

    Asari regardait la ville avec un sourire paisible. Yamomoto remarqua le sourire nostalgique qui ornait le visage de sont ancêtre.

    - Cette ville a t-elle quelque chose qui vous rappelle un truc ? Demanda Yamamoto.

    - ... Oui. Elle me rappelle m'a ville natale.

    - C'était pas au Japon, par hasard ?

    - Si. J'étais un prêtre dans un temple, j'aimais particulièrement joué de la flûte quand j'avais du temps libre. Le visage des gens, quand ils m'entendaient joués, le sourire qu'ils avaient, la façon dont je pouvait leur procurer de la joie... Je... En fait tout ça me manque un peu... Déclara t-il en un petit soupir nostalgique.

    - C'est pareil pour moi... Murmura t-il.

    - Hum ? Plaît-il ? Dit Asari en relevant la tête.

    - Non, rien. Je pensais à autre chose. Mais, je me demande, quelque chose, où habitiez-vous avant ?

    - A Namimori.

    Yamamoto écarquilla les yeux de stupeur, tant il ne s'attendait pas à cela. Puis il rigola, se tordant le ventre, manquant de tomber de Ruby. Asari le remarqua, et arqua un sourcil, ne comprenant pas la réaction de son descendant.

    - Que ce passe t-il ?

    - Rien, rien... Ahah. En fait, c'est... Pff... On vient nous aussi de Nami... mimori.

    Asari, stoppa son cheval, et observa grandement son descendant. Il rigola, accompagnant ce dernier, cela faisait, d'ailleurs, longtemps qu'il ne s'était pas lâché comme cela. Ce moment de détente, dura un bout de temps. Ils s'arrêtèrent tranquillement sur un pan de la colline. Il s'allongèrent au sol, sur l'herbe fraîche. Une brise apporta un moment de pause sur leur fou rire. Asari prit sa flûte, et joua un air doux. Yamamoto se laissa aller à la musique, replongeant dans certains de ses souvenirs, oubliant l'Incident. Il commença à chantonner l'air de Namimori, la musique ressemblait étrangement à l'air de cette dernière.

    "Midori tanabiku namimori no
    Dai naku shou naku nami ga ii
    Itsumo kawaranu
    Sukoyaka kenage
    Aah, tomo ni utaou
    Namimori chuu

    Asa tsuyu kagayaku namimori no
    Heihei bonbon nami de ii
    Itsumo kiowanu
    Sukoyaka kenage
    Hahaa, tomo ni waraou
    Namimori chuu

    Kimi to boku to de namimori no
    Atarimae taru nami de ii
    Itsumo issho ni
    Sukoyaka kenage
    Aah, tomo ni ayumou
    Namimori chuu"

    Puis avant de sombrer dans les bras de Morphée, il se rappela de l'une de ses phrases.

    " Tu dois choisir entre fuir et te battre. Mais la fuite ne fait que reporter le combat à demain. Choisi bien tes batailles, Yamamoto Takeshi."

    Et sur ces paroles, les deux noiraud s'endormirent, chacun proche de l'autre.


    Les deux regardèrent les sac, remplis de choses pour le moins étrange... Ils s'étaient fait avoir et avait achetés beaucoup trop de choses... Comment est-ce qu'ils allaient expliqués cela aux autres ? Ils se regardèrent... Ils voulaient jetés les objets, mais, en regardant attentivement leurs achats, ils se résignèrent.

    Mais comment est-ce qu'ils en étaient arrivés là ?

    Les deux gardiens de nuages, descendirent de Fury, une magnifique jument, qui avait une robe Louvet (15). Mais, cette femelle, était particulièrement agitée... Quelques fois Alaude avait du mal, a ce faire obéir.

    Quand, il avait réussi à calmer sa jument et à la faire rentrée dans un des box, où la "leader", Sly était en train de manger tranquillement. Elle le regarda et lui tourna le dos, preuve que cette espace lui appartenait, et que Fury, n'avait aucun choix que de prendre le coin sombre de la pièce.

    Alaude ne fit rien, pour cela, malgré le regard de sa jument, il n'avait aucune envie de subir le courroux d'Elena. Rien que d'y penser, il en frissonna.

    Il sortit des box, et se dirigea vers le centre-ville, laissant derrière lui son descendant. Ce dernier le suivit, n'ayant pas spécialement envie de l'attendre pendant un long moment, sans rien faire, et puis si il le suivait peut-être y aurait-il des personnes à "mordre à mort". Il se retrouva rapidement derrière son acolyte. Celui-ci, n'avait pas l'air de s'occuper de ce qui l'entourait, il donnait l'impression de se diriger vers un seul endroit de toute le village.

    - Où allons-nous ? Demanda Hibari, par curiosité.

    - J'ai des affaires réglés. Tu n'est pas obligé de me suivre. Répondit Alaude.

    - Si tu me laisse ici, je te mord à mort.

    - Hm. Alaude sourit, étrangement, il se sentait proche de son descendant, comme si un lien invisible les unissaient. Il le ressentait et ne se le niait pas, acceptant la chose comme elle venait.

    Il remarqua qu'il était toujours dans le centre-ville et qu'il devait bientôt tourné dans un ruelle un peu sombre, à son goût. Il sentit le dixième gardien du nuage, tourner en même temps que lui. Il semblerait que ce dernier ne voulait pas le lâcher, pas trop sûr de vouloir rester seul dans une époque et un lieu inconnu à ses yeux, jugement sage.

    Au bout d'un moment, après être enfin sortit de la ruelle, ils remontèrent à la "lumière". Les deux gardiens, se trouvaient devant un magasin quelconque. Étrangement ce n'était ni une armurerie, ni un magasin que l'on pourrait associer à Alaude, le plus fort des gardiens du nuages, froid, distant et accrocs à la justice. Non, c'était un magasin... qui vendait des peluches...

    Alaude se retourna se rappelant de son compagnons de route, allait-il dire quelque chose ou s'enfuir pour le dire à tout le monde ? Même si cette dernière option, lui paraissait la moins probable. Mais lorsqu'il vu les yeux d'Hibari, il se rassura. Une sorte de petite lueur brillait aux fond de ses pupilles noires, une lueur comme la sienne. Fait encore plus étrange, ils avaient les même goûts pour les choses toutes mignonnes. Il finit par entrer dans le magasin, suivit du jeune homme aux cheveux jais.

    Le magasin était beaucoup plus grand que ce qu'il laissait croire de l'extérieur. Chacun observa les toutes petites peluches, duveteuses, aussi affriolantes qu'attirantes. Et ils se laissèrent aller oubliant complètement le problème de l'argent et de leurs camarades qui les attendraient surement, et qui les observeraient avant de se moquer d'eux, pour leur laisser-aller et leur secret.


    Les deux plus jeunes du groupes, se baladaient dans la ville. Lors de leur arrivé, ils avaient trouvés Tornade, le cheval de G, preuve que les gardiens de la tempête étaient arrivés avant eux.

    Lampo avait posé Blizzard, son cheval possédant une robe de couleur biais (13). Dès que ce dernier se posa à côté de Tornade, il commença alors à manger, tout en piquant la nourriture du cheval du gardien de la tempête. Devant cette scène, Lampo rigola doucement, tandis que Lambo lui rigolait à pleine voix, chacun lui rappelant une scène qu'il avait vécu.

    Lampo, n'avait pas spécialement envie de faire cette balade. De plus, plus il regardait son descendant, plus il le trouvait faible. Cet enfant ne servait surement à rien, dans le groupe du Decimo. Il ne devait qu'être qu'un poids. Il était beaucoup trop jeune et faible pour pouvoir un jour devenir un véritable gardien.

    Le sois-disant jeune enfant, regardait son ancêtre, il ne comprenait pas le regard inquisiteur de ce dernier. Depuis un moment, déjà, l'adolescent le fixait étrangement.

    - Qui as t-il ?

    - Tu es trop jeune, pour être gardien, tu ne peux pas être mis sur le même pied d'égalité que les autres gardiens du Decimo. Lampo, n'était pas connu pour être une personne qui mâchait ses mots avant de parler.

    Et pourtant le regard que possédait Lambo à ce moment-ci était déterminé, comme si un ennemi puissant lui faisait face. Il était prêt à vaincre l'adversité, peut importe laquelle. Cette détermination ébranla quelques peu, Lampo.

    - Tu as tort.

    - Comment ça ? Tu est trop jeune pour être un Vongola.

    - Il y a certains moment que je n'oublierais jamais dans mes souvenirs d'enfant... La gentille Mama, la charmant I-Pin...

    - Qui ? Demanda Lampo, mais le plus jeune ne l'écoutait pas.

    - Le jeune Vongola et les gens uniques plus âgés autour de lui.

    - Le jeune Vongola ? Le Decimo ?

    - J'étais content d'être là et j'ai apprécié ça plus que tout autre chose. Je voulais les rattraper le plus rapidement possible, dans le monde où le jeune Vongola et les autres vivaient, et je le souhaite toujours. J'ai souhaiter qu'il m'emmène partout avec moi, je suis celui qui veut rester avec eux...

    La façon dont son descendant avait parler, l'avait surpris, il avait beau être surement le plus faible du groupe et celui dont on devait protégé, il possédait une grande force qui résidait dans sa volonté. Il se baissa et caressa tendrement la tête de Lambo.

    Lampo, sourit, oui, parfois il lui arrivait de se trompé.


    Elena et Chrome, se baladaient dans le village. Elles avaient laissé la jument d'Elena dans un box, celui à l'entrée Nord, de la ville.

    La jument d'Elena était, fabuleuse; elle possédait une robe souris (16), cette jument d'après les anecdotes qu'avait raconter sa propriétaire à la jeune fille aux cheveux violet, était très courageuse, acceptant les plus grand défis, pour protéger sa maîtresse. Par ailleurs, son nom n'était pas "Courage", se serai étrange... Mais "Sly", représentant sa grande ruse... Il est vrai qu'arriver à faire en sorte que tout le monde puisse s'évader d'une prison sous haute surveillance, grâce à un cheval est plutôt impressionnant. Et par ailleurs, aussi étrange cela soit-il, c'était Sly, qui était le chef de la troupe, c'est souvent elle qui prenait les décisions pour les propriétaires.

    Mais laissons, Sly, tranquille, et retournons voir nos deux demoiselles, qui étaient dans un magasin... d'armes ?! Oui, oui mes chers et mes chères, nos deux magnifiques demoiselles, faisait les boutiques, comme le dirait les féministes, mais, elles étaient à la recherches d'une arme, aillant l'intention de faire quelques choses plutôt hors du commun, pour un manga.

    Elena, avait emmené Chrome dans ce magasin, certifiant que c'était le meilleur de la ville. Chrome, ne savait pas trop quoi faire, et donc avait fait entièrement confiance à Elena pour lui proposé une activité.

    La jeune femme n'était pas comme Kyoko-chan ou Haru, non, elle laissait voir une femme forte, avec une puissance de caractère hors du commun. Elle avait l'air d'une femme de noblesse et pourtant quand elle parlait d'armes, elle avait l'air si passionnée, c'en était impressionnant.

    - Regarde ! Regarde ! Elles sont magnifique, leurs lames en titanes, leurs gardes... Juste magnifique. Dit-elle de façon excitée. D'ailleurs, si tu fais bien partit de la famille, et j'en suis sûre, tu possède une arme ! Dis c'est quoi ? Dis ! Dis !

    - Euh... Chrome la regarda avec des grands yeux... et rigola.

    - Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?!

    - Tu... Tu est com...plètement différent... Pff... e... de-de... Haha ! Chrome avait du mal à s'arrêter de rire.

    Elena se mis à bouder, dans un coin de la pièce, ce qui intensifia le rire de Chrome. Le rire de cette dernière, entraîna le rire d'Elena, elles rigolèrent pendant un moment. Recevant des regards surpris et courroucé de certains clients.

    Quand elles réussirent enfin, à s'arrêter, toujours essoufflée. Elles se regardèrent avec un sourire commun. Un lien venait de se crée et n'était pas près à se détruire.

    Un peu plus tard dans la journée, après avoir acheter une nouvelle rapière pour Elena et une petite armure pour Chrome.

    Elena décida de partir de la ville après avoir acheter ce qu'elle désirait et avoir fait plaisir à la jeune femme qui était avec elle. Cette dernière avait été modeste, sur le choix, elle avait simplement prit une des gantelets en argent avec des jambières.

    Les deux arrivèrent sur une petites plaines alentours du village. Chrome se demandait ce qu'avait en-tête Elena. Elle eue la réponses à ses questions.

    - Ça te dis de tester nos achats ? Demanda Elena, tout en prenant sa nouvelle rapière en titane.

    Chrome la regarda étrangement, puis sourit.

    - Avec plaisir. Répondit-elle en invoquant son trident.

    Et elles se jetèrent chacune l'une sur l'autre.


    Tsuna regarda la ruelle dans lequel il était, observant attentivement les gens malfamés qui y vivaient. Il voulait partir, mais il savait que si il se retournait il était un homme mort, vu les regards sur sa personne. Il pourrait bien, se battre, mais il allait crée des problèmes dans un endroit inconnu et ce n'était pas le plus judicieux.

    Regardant les personnes qui étaient dans la ruelle, il regretta bien vite cette séparation avec son ancêtre...

    Ils étaient sur le dos d'Améthyste, une jument de robe isabelle (14). Son regard était fière, elle avançait comme si elle était au-dessus de tout le monde.

    Giotto, la laissa au repos dans le box où était Ruby. Il la regarda et soupira, elle se disputait déjà pour pouvoir prendre l'endroit où était Ruby... Dispute qui n'était que dans un seul sens...

    Giotto observa attentivement son descendant. De l'extérieur, il était autoritaire, froid et avait un air supérieur. Mais malgré cela, il espérait que ce n'était qu'une façade.

    Il entraîna donc son successeur, dans le village, espérant voir une quelconque expression sur ce visage, où il avait seulement aperçu de la douleur ou de l'autorité.

    - Je-

    - Hum ?

    - ... Non, rien.

    Il avait beau faire des efforts, il n'arrivait pas à sortir un seul mot. Comme si il était effrayé par Tsuna. Que celui-ci ne détruise à jamais son rêve d'une famille Vongola, parfaite, même si il ne savait que ce n'était qu'une utopie.

    Tsuna, quand à lui se posait des question sur son géniteur... En fait, il voulait carrément poser des milliers de questions à cette personne, aussi impressionnante qu'était le Primo... C'était lui qui avait crée les Vongola, famille qui était devenue toute sa vie depuis qu'il en était le boss.

    Giotto, s'arrêta, en plein milieu de la rue où il se baladait, un air déterminé sur le visage.

    - Je sais !

    Tsuna le regarda, crédule, de quoi parlais son ancêtre ? Ce dernier, du lire dans ses pensées, car il lui répond, très rapidement.

    - Tsuna, aimes-tu les glaces ? Si tu veux, on peut en prendre, je connais un endroit en particulier, qui est parfais pour se reposer.

    - Mais, nous somme en octobre.

    - Et alors ?

    Tsuna regarda Giotto interloqué, par sa logique. Et voyant que ce dernier partait déjà, sans l'attendre, il le suivit.

    Quelques pas, plus tard, ils arrivèrent devant une sorte de cabriole, avec une personne ressemblant énormément à quelqu'un qu'il connaissait.

    - Kawahira ?!

    Le jeune homme le regarda d'un air indéchiffrable sur le visage.

    - Excusez-moi. Mais vous devez vous trompé.

    Tsuna, l'observa, encore deux secondes, et il remarqua une petite différence avec Chercker Face, une petite balafre au-dessus du sourcil droit. Ce premier rougit un peu face à son erreur, et s'excusa, toujours de manière froide. Ce qui fit soupirer Giotto.

    Après avoir pris une glace, pour Giotto, et non, pour Tsuna, qui avait refuser poliment.

    Son ancêtre l'entraîna dans un parc, on peut de monde était présent. C'était un endroit calme et reposant. Tsuna se sentit tout de suite bien, et apaiser, oubliant tous ses problèmes. Son visage se décontracta très rapidement, laissant apercevoir un visage bien plus doux et heureux. Giotto s'arrêta, pour appelez son descendant qui s'était arrêté, devant le parc. Ce premier, ne put sortir aucune phrase, les mots mourant dans sa gorge. Tsuna avait une expression tendre, et si calme... Cela lui donnait pour il ne sait qu'elle raison, une puissante envie de le protéger.

    Pourtant ce spectacle fut de courte durée, car Tsuna avait repris son visage dur et froid, ce qui ne plut pas à Giotto qui... bouda... oui bouda, cela pose-t-il un problème à quelqu'un ? Tsuna, se retourna, pour voir son ancêtre un position foetale, ramassant des champignons de couleurs étranges, et marmonnant des choses du genre, "J'y étais presque, presque... pourquoi j'ai pas bougé"

    Tsuna regarda son ancêtre, qui boudait, il le trouvait beaucoup trop enfantin à son goût. Lui, il se devait d'être froid, pour ne pas être tué par un membre de sa famille. Alors voir quelqu'un aussi insouciant dans ce monde, et aussi puissant, le faisait sentir mal. Mais ce que Tsuna ne savait pas, c'est que Giotto agissait comme ça pour préserver son âme des mœurs de la Terre.

    Tsuna, avait perdu de la vision de la beauté du parc, cette même vision qui l'avait reposé, enchantée, par son calme. Il partit rejoindre Giotto.

    - Je voudrais que l'on y aille, nos gardiens seront surement bientôt de retour.

    Giotto, le regarda, et approuva et observa le parc avec déception, mais il retrouva très vite sa bonne humeur, heureux d'avoir vu une si belle expression sur le visage de Tsuna.

    Ils partirent vers le centre du village, dans l'espoir de trouver l'un de leur gardien, mais les recherches furent vaines. Puis soudain Giotto se rappela de quelques choses ! Mais bien sûr comment est-ce qu'il avait pu oublier ce détail ?! Et, surtout que Tsuna s'était déjà engagé avant qu'il n'ai pu le prévenir. Oui, effectivement, c'était l'heure de pointe, l'heure où tout le monde profitais du marché qui commençait.

    Si, il ne voulait pas perdre Tsuna, il avait intérêt à le suivre, et très vite. Malheureusement ce fut trop tard, et Tsuna fut embarqué par les gens, sans espoirs de pouvoirs rejoindre son ancêtre, malgré ses efforts en vain.

    La foule finit par l'éjecter dans un endroit malfamé, avec des personnes qui avait l'air peu recommandable. Comme est-ce possible ?! Il avait comme l'impression de se retrouver dans un mauvais film...


    The end !


    (1) - café (-Le decaffeinato, sans caféine donc, est une première option. Toujours servi dans une tasse différente de celles utilisées pour le café normal (on ne mélange pas les torchons et les serviettes), et déclinable en cappuccino, macchiato

    -Le caffè macchiato reste assez simple, on ajoute à une petite tasse de café une cuillère de mousse de lait… (là où ça se corse, c'est quand on vous demande à quelle température vous voulez la mousse, chaude, tiède ou froide…)

    -Le cappuccino fonctionne sur le même principe, sauf qu'il est servi dans une grande tasse, et se voit constellé de cacao en poudre tamisé… Là aussi, la variante tiède existe, sans parler du cappuccino senza schiuma (sans mousse, l'équivalent en réalité de ce qu'on appelle en France un café au lait)

    -Le caffè lungo, légérement plus long mais servi tout de même dans une tasse à espresso dont il n'atteind pas la moitié de la contenance… à ne pas confondre avec le caffè americano, servi dans une immense tasse avec une mini-cruche d'eau chaude à part, qu'on vous assorti d'au moins 2 sucres…

    -Le caffè ristretto, l'inverse du précédent, encore plus court, pratiquement un fond de tasse, tellement noir qu'on y lit même pas l'avenir, et que la déplorable habitude de sucrer transforme en boue glycémique qui n'atteint qu'avec peine le bord de la tasse où vos lèvres viennent la cueillir…

    -Le marocchino, c'est en revanche une petite tasse de café versé sur un fond de cacao et recouvert de mousse de lait… ne me demandez surtout pas quelle est la différence avec un mini-cappuccino, si ce n'est qu'on y met le cacao avant… Certains bars remplacent d'ailleurs le cacao par une cuillère de nutella (ne testez pas, c'est mal…)

    -Le caffè corretto, celui des vrais de vrais, « corrigé » à la grappa (pouah!). A commander dès le matin pour s'assurer le respect du barman et l'effroi des voisins de bar!

    -Le latte macchiato: là encore, les ingrédients sont les mêmes, mais le rituel est différent: on verse un café sur un grand verre de mousse de lait, et on saupoudre de cacao…

    -Le caffè d'orzo enfin, c'est mon ami depuis mes maux d'estomac de l'été, ersatz sans caféine, honni puis finalement apprécié, j'essaye d'y convertir les drogués de la caféine à grand renfort de dégustations en version cappuccino, macchiato tiepido, cacaoté ou arrangé… (une fois qu'on a saisi le principe, les déclinaisons sont infinies)


    (2) "Le griffon, qui illumine le ciel, déploie ses ailes et nous fait profiter de sa noblesse, ainsi que de sa pureté."


    (3) "La panthère noire d'un calme aussi profond que la couleur de son pelage semblait sur le point exploser sous les revers sombre de la cape noir de la faucheuse."


    (4) "Magistral dans le ciel les ailes du faucon semblaient couvrir le monde de tout les mots, fardeau éloignant les fardeaux par son regard aussi sûr que perçant."


    (5) "Perçant la surface, la beauté et la grâce du dauphin semblait être un reflet de l'eau qu'il surplombait, un spectacle aussi éphémère qu'envoûtant."


    (6) "Son corps le contraignant à rester au sol ne lui permettait que de contempler le ciel en rêvant le laissant réfléchir à comment il allait ramper sur cette terre, tel le serpent qu'il était."


    (7) "La buse ne laisse qu'un éclair en forme de serre, lorsqu'ellle font sur sa proie depuis le ciel."


    (8) "Un être trop lent ou un monde trop rapide ? Contraste de rythme intrigant pour une créature conforme à son nom vivant ayant choisit la tranquillité plutôt que l'existence stressante et éreintante de ses camarades paresseux."


    (9) "Magnifique et enchanteresse, narcissisme justifié par quiconque porterait un simple regard sur sa parure, un magnifique enchantement en aucun cas voilé mais soulevé tel un étendard, voilà ce qu'était le paon."


    (10) robe grise à petite tâche brune


    (11) robe blanche à grande tâche brune


    (12) robe marron clair, avec une petite tâche blanche sur le front qui descend jusqu'au museau.


    (13) robe de couleur caramel (prenez "Spirit, l'étalon des plaines" et vous aurez une idée du cheval de Giotto)


    (14) robe de couleur crème, dérivant un peu sur le brun.


    (15) robe grise très clair dérivant sur le crème ou blanc, cela dépend du cheval.


    Je voudrais savoir si vous que c'est une bonne idée de faire un bêtiser, tous les 10 chapitres ? Ce serait des bêtisiers des 10 chapitres d'avant, des scènes ratés, des scènes oubliés et encore d'autres.

    En voici un exemple sur ce chapitre.

    "- J'ai oublié !

    - De quoi, Gio ? Demanda G.

    - Les chevaux pour Tsuna et ses compagnons.

    - Sérieux ?!

    - ... Non ?

    - Ouf, tu m'as fait peur, j'ai cru un instant que c'était vrai.

    - ... Mais tu le fais exprès ou quoi ?! Bien sûr que c'est vrai ! On est dans le box des chevaux et si tu sais compter, ce que tu as appris à faire, j'en suis sûr ! Tu as remarqué qu'il n'y a que nos cheveux !

    - STOP ! Cria une voix, derrière eux.

    - Quoi ? Demanda tout le monde en chœur.

    - T'as pété les plombs ou quoi, Giotto ?! Depuis, quand j'ai écrit ça dans le script ? J'aime l'improvisation, certes, mais pas celle qui ruine la scène. Mais qu'est-ce qui t'as pris ? Demanda Dragonne.

    - ... J'ai oublié mon texte...

    Un silence de mort, se mit en place. Une aura de meurtre sortit du corps de Dragonne.

    - Et bien, va encore le re-lire pour la... attends... ah oui... 14ème fois. Dit-elle d'une voix froide.

    - Tant que ça ? Demanda Yamamoto.

    - Oui ! Ça fait 14 fois que l'on recommence cette scène ! J'ai vais finir par me pendre, avec un mort sous les bras en prime ! On reprends ! Allons tournez cette me***, action !"


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