• On m’a toujours regardé étrangement, appelé différemment, avec des surnoms peu communs, pas des surnoms amoureux du genre, "my darling" ou bien "mon amour" (des surnoms que j'attendais tous les jours). Ou bien des surnoms affectifs, comme on le ferait entre amis.

    Non... moi c'était un autre genre, comme s'il avait été créé spécialement pour moi, vous voulez savoir lesquels ? Monster, Démon, Lucifer, Hadès, Satan, Psychopathe, Mort.

    Ces surnoms... ils ne m'on jamais vraiment dérangés, mais je ne supportais pas que mes proches soient impliqués dans mes affaires, à cause de ces surnoms peu communs.

    Et c'est ce que je vais vous racontez aujourd'hui, une sorte de mort lente pour "l'adversaire" qui était devant moi, pleurant, et ressemblant presque à un zombi, pourquoi ? Parce qu'il s'était condamné à mort en essayant de blessé une de mes amies.

    On revenaient de l'école (j'avais 10 ans), mon amie était en dépression, pour qu'elle raison ? Ses parents l'avaient virés de chez elle, sois disant que c'était parce qu'elle avait cassé quelques choses auxquels ses parents tenaient apparemment plus d'importance que leur propre fille. Elle s'en voulait terriblement, mais ses parents avaient fait la sourde oreille et l'avaient quand même mis à la porte.

    Mon autre ami l'aidait à marcher, avec un air constamment inquiet sur le visage. On ce dirigeaient vers ma maison, vivant seule, je peux m'occuper d'elle, le temps que ces parents reviennent sur terre, et croyez moi qu'ils vont vite revenir sur terre grâce à moi.

    Je voulais qu'elle se repose, vu que tous cela était arriver ce matin, je pense que c'est la meilleur solution. Nous avions pris un raccourci peu recommandable, mais nous n’avions pas le choix si on voulait s’occupé d’elle. J’espérais que l’on ne tomberait pas sur des imbéciles qui intimident les sois disant faibles.

    Mais connaissant ma superbe malchance, on tomba évidemment sur ce genre de personnes, ils ne me visèrent ni moi, ni mon ami, non… ils « s’attaquèrent » à celle en dépression. Ils l’agressèrent verbalement sur son physique.

    - Hé ! T’as vu c’est le cachalot ! T’aurais pas encore pris du poids !

    Puis ils rigolèrent sans fin. Mon amie pleurait silencieusement, je jubilais de rage, j’avais envie de les faire souffrir, mais je ne pouvais pas… pas devant mes amis. Je ne pouvais pas les effrayés, pas maintenant, c’était vraiment, mais vraiment pas ce qu’il fallait faire. Je fis comme j’ai toujours fait, je pris la carte de la froideur.

    - Ça m’énerve, je me barre.

    - Dragonne !

    - Vous voyez ? Votre amie à peur de nous, en même temps est-ce qu’on n’est pas les plus craints.

    Cette phrase n’était pas interrogative, elle montrait haut combien ils étaient sur d’eux. Comme on dit l’espoir fait vivre. Je partis sans me retourner, j’aperçu juste mon ami, prendre la main de mon autre amie, de la tirer vers lui, et de partir à toute jambes, puis ils disparurent de mon champ de vision.

    Les collégiens qui s’en étaient pris à elle, n’avaient pas encore remarqués que mes deux amis avaient fuient.  Ils viennent enfin de s’en rendre compte, vraiment débiles…  Je m’étais retournée et dirigée vers le mini « gang ».

    Je m’approchai un sourire aux lèvres, vu qu’ils l’avaient blésée, ne mérites t-ils pas de souffrir, eux aussi ?

    - Yaho ! Vous vous rendez compte de ce vous venez de faire ?

    - De quoi tu par-

    - T’ain ! T’es le démon !

    - Alors, c’est le surnom que l’on me donne, ici ? Pourquoi vous tremblez ? Je croyais que vous étiez les plus craints ?

    - C’est… C’était toi là ?!

    - Tu ne m’as pas reconnue ? Quel dommage, tu n’aurais peut-être rien fait, si tu l’avais su. Mais comme c’est toi qui l’as blessée, c’est toi qui va le plus souffrir.

    Je montrai du doigt le jeune homme au milieu. Ses deux compagnons partirent très vite, le laissant seul à son destin, cruel, n’est-ce pas ? Ils voulaient surement être saufs, enfin…  sauf dans quelques minutes, certains de mes camarades s’occuperont d’eux.

    - Qu’est… Qu’est-ce que tu me veux ?

    - Ce que je veux ? Juste te faire punir…

    - De quoi ?!

    - De ses larmes.

    Puis je pris mes bobines de fils chirurgicales, vous savez comme ses jouets sont tranchants. Je laissai deux fils tombé au sol, et je commençai à marcher, à lui tourner autour, et à lui parler :

    - Tu n’es vraiment pas gentleman, faire pleurer une frêle jeune fille, quand même, tu devrais faire un effort.

    - Mais ce n’est qu’un énorme cachalot.

    - C’est ce que tu vois. Mais si je te dis, que tu es un plancton, alors le cachalot te mangera obligatoirement, non ? Malheureusement pour toi, tu n’es pas un plancton, mais juste un humain. Elle, elle n’est pas un cachalot, peut-être ne l’as voit tu pas comme une humaine… mais moi, je la vois comme un dauphin, qui sauve même ceux qui l’on blésée. Mais vois-tu si tu ne te considère pas comme un homme, mais comme un requin blanc, alors je suis le Kraken, puis je te détruis, te laissant dans un mort certaine, lente et douloureuse.

    - De quoi tu parles ?

    - Qui est-tu pour décider qui est qui ? Qui est quoi ? Qui doit vivre ou mourir ? Qui est faible ou fort ? Qui a une ressemblance avec quelque chose ? Pourquoi vis tu dans ce monde ? Pourquoi meurs-tu ? Pourquoi l’as-tu fais pleurée ? Pourquoi existes-tu ? Pourquoi vis-tu ? Pourquoi dance ce monde, c’est moi qui sera ta mort ? Et puis, pourquoi quand tu mourras, je serais celle qui te plantera un couteau dans le cœur ?

    - Tu- Tu veux me tuez ?

    - Non, non… c’est bien trop tôt, si je te tue, tu n’auras as subi la souffrance qu’elle vient d’endurer. Non, je vais te blessé, mentalement et physiquement, pour que tu ne puisse plus que ramper au sol, et implorer mon pardon.

    - De - !

    - Mais dans ce monde, je ne peux choisir qui vit ou qui meurt, mais je te jure que ce sera surement de ma faute si tu voudras mourir après cette « petite » discussion.

    A force de parler et de marcher, j’étais presque à court de fils, ce sera bientôt le bon moment. Mais continuons à le perdre dans mes paroles. Continue de chercher ce qui est vrai ou ce qui est faux.

    - Tu sais elle n’est pas un dauphin, ni même un cachalot, mais une humaine, tout comme toi. Moi, je ne suis qu’un loup qui protège sa meute, grâce à ses hurlements, qui tue ces adverses avec ses ruses et arrachent leur cœur de ses crocs, pour ensuite le manger goulûment.

    - Qui ? Qui est tu ?!

    Sa voix tremblait, il avait peur. Voilà, c’était le bon moment, je tirai avec force sur mes bobines sans fils, pour que tout les fils ce tendent. Il était coincé et il ne le voyait pas, il avait maintenant tellement peur, qu’il essayait de me frappée, mais seul les fils lui répondirent. Il se blessait encore et encore. Ayant pris peur, il avait commencé à essayé de s’enfuir, mais ne voyant pas les fils, il ne se blessa que d’avantage. Il se coupait dans les endroits qui avaient déjà été coupé, rendant ses blessures plus profondes encore. Il était maintenant couvert de blessures. Je pense que ça le brûlait tellement qu’il avait mal, qu’il souffrait.

    Je pense qu’il était près à pleurer, mais mon intervention l’en empêcha. Je m’approchai de lui, je pris ma précieuse paire de ciseau en titane posé sur le « ventre » de mon avant-bras.

    Je prends toujours ces deux paires pour effrayé les gens, mais ce n’est pas les seules avec lequel je me balade en permanence. J’avais deux paires de mini-ciseaux sur le « dos » de mon poignet gauche et l’autre sur le « ventre » de mon poignet droit. Mes deux paires de ciseaux en titanes et deux paires accrochés sur les côtés de mes cuisses (extérieur).

    Je pris une des paires de ciseaux en titanes, et les plaça devant ses yeux.

    - La prochaine fois que tu fais ça, crois moi ton précieux petit monde disparaîtra à tout jamais. Tu ne reverras plus jamais le monde de la même façon. La prochaine fois que l’un de mes proches pleurs, crois-moi tu crieras beaucoup plus que cela.


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