• Confession

    Himustu-chan : Saaluut ! ... Oui, je suis en retard, comme souvent (mais j'avais pas de réseau samediiiiiiiii ni aujourd'hui jusqu'à dix­neuf heures, puis je suis allée à la fête de la musique et j'ai lu des doujins en rentrant ! faut me pardonner !) . Du coup ce chapitre est celui de mercredi, je posterais mardi le chapitre de dimanche, vendredi celui de mercredi et dimanche... celui de dimanche.

    Je sens que je vais devoir beaucoup écrire la semaine prochaine.

    A part ça ce chapitre détonne un peu de d'habitude. Mais j'ai la situation en main. Sisisisi. Je vous jure.

    Bon bin, merci beaucoup à MissXYZ, tahury et Sayuki­-chan pour leurs reviews !

    Ràr :

    MissXYZ : Alors, j'ai envoyé les photos que j'ai réussi à voler à Mammon. Après, faudra qu'elles survivent à la poste et aux investigations Vongolas. Donc je ne garantis rien...

    tahury : 'Alut ! C'est sûr que ce genre de beaux­-parents... c'est pas le rêve. Pas du tout du tout le rêve. u.u Meuh nan ! 'L'est gentil Hisa­-chan ! Tout mignon tout plein ! Ah, bonne chance pour le bac... en retard. Ça s'est pas trop mal passé ? Pour Squalo, faut pas oublier qu'il est né dans une famille ancienne, un peu comme les Hibari ('fin, dans mon délire hein xD) Donc vi, il connaît la politesse. Mais moi aussi ça m'a fait un choc o.o J'ai même suspecté Fran d'avoir recouvert Luss d'une illusion, avant de me souvenir que Luss est quand même bien plus exubérant... Bin en fait non, mais comme il se passe pas grand chose, en quelque sorte, oui. Pov'Byabya, il se fait de plus en plus d'ennemies... Cours Byabya, couuuurs ! (mais, en même temps, le postérieur des Hibari (les fils hein u.u") n'est ce pas l'une des plus belles choses au monde ? *q*) Vi, pooooooov'Byabya. Je n'ai qu'une chose à dire : GIRL POWAAA ! (réponse p.s. : ah, d'accord x) (#LaFilleQu'ARienADire))

    Sayuki­-chan : Oh ? T'es au collège ? ... Hum hum. Pardon. Dooonc... Je n'ai toujours pas répondu à ta review pour l'OS, j'essayerais de le faire le plus rapidement possible... Squalo est déjà loooooooiiiiin, trèèèèèès looooooiiiiiiiin. (t'as de la chance qu'Hiba­-chan lise pas les reviews, tu ne serais déjà plus de ce monde sinon ! Par contre, il lit les réponses aux revie­ Oooh, Hiba­-chan ! Comment qu'ça va aujourd'hui ? Bien ? Super ! Bon, si t'allais retrouver tes frères hein ? Nonnonnon, repooooose ces tonfaaas ! Non, je ne te cache rien ! Promis juré ! Non, juste un délire ! Elle a rien dit ! Rien dit de rien sur rien ! Allez, au revoir !) Vi, trois Hiba-­chan... *Q* Allooons... COURS TSUTSU, COURS ! Ah, je dis rien, je tiens trop à a vie et au paquet de billets verts pour ça x) Woulala... Je sens bizarrement une certaine haine envers Squalo... Je dois me tromper, c'est sûr. J'ai pas pu résister à la citation xD I LOVE YOU TOO HISA-­CHAAAN ! ... une haine très bizarre... VIVE HISA­-CHAN ! C'est que les filles ont pas pu résister u.u Ouille... CONTINUE DE COURIR BYABYA ! Merci :3

    Disclaimer : Je vous laisse deviner ! Internet est votre ami !

    Pairing : A vous de les traquer, de les débusquer, de les attraper et de les recenser, mouhahaha.

    Warning (A LIRE) : Alors, je suis partie dans ce chapitre sur un truc un peu plus sérieux que d'habitude... C'est pas énorme, mais ça change quand même. Mais promis, j'ai la situation en main ! Promis juré !

    Bon bin... Enjoy ? :3 ­


    - Mmmh… Non… Aah… Je t'ai dit noooon… Pas ici… Enfin, Kyôya­ah ! Kufufu… Ce que tu peux être déterminé quand tu veux… Je dirais même que tu es­-

    - ­ La… ferme… ananas, rétorqua une voix haletante. ­

    - Vraiment fougueux, kufufu… Hmm… Toujours aussi sensible hein ? Reprit la voix rauque. Mais dois­-je te rappeler que tu es fianc­- aah ! Calme-­toi un peu enfin… Tu ne voudrais même pas attendre d'aller dans un endroit plus… approprié ?

    Debout devant la porte d'un salon, Byakuran écarquilla les yeux, n'osant pas croire à ce qu'il entendait. Son... Muku-­chan... Il... Il ne pouvait pas...

    Son attention fut attirée par un mouvement près de lui. Debout à ses côtés, l'un des frères de cette foutue alouette de malheur souriait comme un dingue, des étoiles dans les yeux.

    Il décida de ne pas prendre garde à ce *biip* de *biip* et, prenant une grande inspiration, se résigna à faire face à son destin.

    Il ouvrit grand la porte, prêt à démasquer les coupables. Mukuro tourna la tête et ses yeux s'écarquillèrent en le voyant. Hibari, lui, ne le regarda même pas, bien trop occupé à tenter de détruire le barrage que constituait le trident de l'ananas.

    ~**OoO**~

    Hibari sortit du salon après s'être assuré que l'herbivore marshmallow et l'ananas rentreraient bien dans leur chambre pour faire leurs trucs d'herbivores et ne saliraient pas la pièce. Il ferma la porte et haussa un sourcil en tombant nez à nez avec Hisaya. ­

    - Tu n'es plus avec les herbivores ? ­

    - Elles m'ont laissé repartir, répondit son frère aussi joyeusement que peut le faire un Hibari.

    Le futur marié applaudit mentalement son cadet. 

    - ­ Elles sont vraiment gentilles pour des herbivores, continua Hisaya alors qu'ils se mettaient à marcher. Il ne fit pas attention au fait que son grand frère ait déglutit un peu plus fort que d'habitude (signe d'intense surprise et d'incompréhension pour lui). Elles m'ont un peu parlé de toi, m'ont montré des habits amusants et l'une d'entre elles m'en a même fait essayer un, un gros monstre jaune avec des cornes rouges.

    Kyôya ne comprit pas comment son frère avait pu apprécier cela... et même en rire. ­

    - Dis, Nii­-sama... Je me demandais... Squ... Squalo­-san...

    Le plus âgé haussa un sourcil à l'entente du nom de son fiancé. ­

    - Est­-ce que tu... enfin... qu'est­cequeturessenspourlui ? Demanda très très très vite Hisaya. ­

    - C'est un Same. C'est mon fiancé. Je vais me marier avec lui aujourd'hui. Se contenta de répondre le Nuage, tout de même surpris par la question de son frère. ­

    - Te fous pas de moi ! Hurla soudain le plus jeune en se plantant devant lui.

    Kyôya se stoppa, les sourcils froncés devant l'attitude et le vocabulaire employé par son frère. ­

    - Quoi ?

    - ­ Me dis pas que tu t'en souviens pas ! Si tu as fugué alors que t'avais que cinq ans c'est parce que t'avais appris que tu étais déjà fiancé ! Que tu ne pourrais plus faire aucun choix plus tard ! Et maintenant tu acceptes de te marier à cause d'une vieille tradition presque oubliée ? Parce que, comme par magie, le descendant d'une famille supposée disparue depuis plus de deux cents ans, apparaît ?

    Kyôya n'aimait pas la tournure que prenait cette conversation. Vraiment pas. Il jeta un coup d'oeil aux quelques herbivores qui passaient l'air de rien et se retourna vers son frère. Le saisissant par le poignet, il le traîna rapidement dans une pièce vide et ferma la porte derrière eux avant de se retourner vers lui. Et ce, en moins d'une minute. ­

    - Dis­-moi plutôt où tu veux en venir, ordonna­-t­-il.

    Hisaya le dévisagea, méfiant. Il frottait encore son poignet endolori par la forte poigne de son frère. Finalement, il baissa la tête, ses longues mèches noires venant couvrir son visage. ­

    - Je..., murmura­-t­-il d'une voix presque inaudible, je... je vais me marier dans quelques mois.

    Kyôya haussa un sourcil. Il n'était pas au courant. ­

    - Avant ça... ça ne me dérangeait pas trop... on a été élevé en sachant qu'on était déjà promis à quelqu'un... ­

    - Mais ? ­

    - Je... je crois que je... que je suis tombé amoureux ! S'écria Hisaya, sur le point de fondre en larmes.

    Kyôya le dévisagea, abasourdi. Les mots "tomber amoureux" tout comme "pleurer" ne faisaient pas partie du vocabulaire d'un Hibari. Pourtant, son frère était là, preuve vivante que si.

    Il en avait loupé des choses en partant de chez lui...

    Mais il n'avait pas le temps de penser à ça. En face de lui, le visage tourné vers le bas, Hisaya attendait, tremblant, son verdict.

    Alors il s'avança. Hésita. Et posa une main sur l'épaule de son cadet, le forçant à s'asseoir.

    Puis il parla.

    Il parla de tout ce qu'il avait vécu depuis qu'il était parti de chez lui. De sa domination de Namimori. De la fondation du Comité de Discipline. De la rencontre avec l'herbivore boxeur. De l'arrivée de l'Akambo et de l'herbivore Sawada. De toutes les catastrophes qu'ils avaient provoqués. Puis de la confrontation avec l'ananas. De sa défaite. De son humiliation. De sa rencontre avec Hibird. De l'arrivée des Varias. De l'anneau. De la chance qui s'offrait à lui de progresser, d'avoir sa revanche. De son entraînement avec le canasson. De son combat. Contre le robot, contre le Roi des Singes, contre l'herbivore à frange. De la victoire de Sawada. De son arrivée dans le futur, en plein milieu d'une bataille. De comment il avait été lamentablement défait, et qu'il ne s'en était sorti que grâce à l'aide des herbivores. De toutes les batailles qu'ils avaient encore dû subir, avant de revenir dans le présent. De l'arrivée d'une famille étrange. De sa nouvelle défaite. De sa revanche contre l'herbivore femelle de glace. De l'ananas qui avait été possédé. De la bataille pour les bébés. De leur victoire, à eux tous. Il parla de tout ça. Puis il enchaîna. Il lui confia sa première et unique expérience avec le canasson. De ses autres rencontres. De l'ananas, celle qui avait duré le plus longtemps. De sa rupture. Des disputes, des combats qui en avaient découlés. De la décision de l'herbivore, qui avait bien progressé, de l'envoyer chez les singes. De tout ce qu'il avait vécu avec eux, tous les cris, les blagues nulles, l'ambiance détendue et dingue qui régnait chez eux. De la grenouille. Du Roi des Singes. De l'herbivore bruyant. De leur plan tiré par les cheveux pour se venger de l'herbivore en chef. Des rires qui lui montaient de plus en plus souvent au nez, qu'il réprimait facilement, mais qui étaient bien là.

    Il lui parla de tout ça. Il parla à son frère comme il n'avait jamais parlé à personne.

    Et il sut qu'il avait bien fait quand il vit les yeux marrons remplis de gratitude se poser sur lui.

    ~**OoO**~

    ­ - Et donc... si j'ai bien compris... Ton mariage avec Squalo­-san c'est juste une blague ? Lui demanda son frère, calmé, d'un ton un peu trop neutre. ­

    - ... ­

    - ... ­

    - ... Hn... ? ­

    - Eh bien, c'est Byakuya­-nii­-sama qui va être content, soupira joyeusement Hisaya. ­

    - ... Il est pas marié ? ­

    - Oh, il a divorcé il y a quelques temps déjà.

    Hisaya observa avec intérêt son grand frère rester figé, sans même cligner des yeux, pendant très exactement trois minutes et dix-huit secondes. De son côté, le cadet des alouettes se disait qu'il avait quand même loupé beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses pendant son absence. Depuis quand le divorce était­-il autorisé chez les Hibari ?

    Il serait peut­-être temps qu'il s'inscrive sur ce site où il y avait tant d'herbivores du monde entier... Facebook c'est ça ?

    ~**OoO**~ ­

    - Tu vas me laisser oui ? S'exclama Byakuya d'un ton impatient.

    - Voi, j'y peux rien si tes parents m'ont demandé de t'aider à chercher Kyôya et ton autre frère, répondit Squalo d'un ton plus amusé qu'autre chose.

    En même temps, il s'amusait vraiment. Le grand frère de son prétendu fiancé était tellement drôle ! Encore plus coincé que le Nuage, mais bien plus impassible et froid que lui (ce qui était, avouez-­le, quand même très difficile) c'était un vrai jeu que de réussir à lui faire quitter son masque glacial.

    Jeu que le requin était en train de gagner avec brio.

    Un rictus au coin des lèvres, il se rapprocha encore de l'alouette n°2 (oui, il leur avait donné des numéros. C'était bien plus facile comme ça !) et s'apprêta à lui souffler dans l'oreille pour voir ce que ça allait donner quand le gamin à l'épée, le Cheval Ailé et le boss des Shimons déboulèrent à toute vitesse dans le couloir, montés sur des planches en bois auxquelles ils avaient ajoutés des roulettes et tirées par la boîte arme du blond.

    Lequel arrêta son cheval majestueusement, descendit de sa petite planche et s'inclina d'un air qui se voulait galant devant le duo.

    Le tableau était quand même un peu gâché par les deux derrière qui se marraient comme pas possible et la tenue débraillée de Dino. ­

    - Excusez­-moi, auriez-­vous vu Kyôya par hasard ? Demanda­-t-­il.

    ~**OoO**~

    Kyôya et Hisaya marchaient tranquillement dans les couloirs, essayant vaguement de retrouver le fiancé du premier, quand ils tombèrent au détour d'un coin sombre sur une petite forme recroquevillée et tremblotante.

    Le brun aux tonfas, non pas lui, l'autre, celui avec les yeux bleus, s'approcha de la forme et lui souleva le visage. ­

    - Viande... rouge... déco... ration... fous... fous... au... AU SECOURS ! ­

    - Va vraiment falloir qu'on ramène Père et Mère dans leur chambre, soupira le cadet.

    C'est déjà leur vingt­-septième victime.

    ~**OoO**~

    Quand Hisaya rentra littéralement dans Squalo, Kyôya se dit qu'au moins ils s'étaient retrouvés. Quand ils passèrent devant la grande horloge du hall qui leur indiqua aimablement qu'il leur restait à peine deux heures avant que le mariage ne soit censé être célébré, Kyôya se dit que c'était toujours mieux qu'une heure. Mais quand Xanxus entra dans la pièce où il était censé se changer avec ses deux garçons d'honneur (Byakuya et Hisaya) et resta planté dans un coin, un rictus au coin des lèvres et ne voulut pas partir même sous la menace de la disparition de la viande au buffet, aussi optimiste soit­il, Kyôya eut bien envie d'aller s'avaler quelques antidépresseurs.

    ~**OoO**~

    La cérémonie était censée se dérouler dans une petite chapelle, non loin du palace, à laquelle on accédait via un chemin coupant à travers bois. Une fois là-­bas, les invités s'installaient sur les rangées de chaises préparées tandis que les mariés se changeaient dans leurs loges respectives, révisaient une dernière fois leurs vœux de mariage, essayaient d'échapper à leurs auto­proclamées demoiselles d'honneur (oui, lors des mariages mafieux, il fallait pour chaque promis deux garçons d'honneur et deux demoiselles d'honneur, ce qui donnait des situations très amusantes dans les livres d'histoires mafieuse où certains mariages finissaient par être ceux des demoiselles et garçons d'honneur car les premiers fiancés avaient mystérieusement disparus), mangeaient un dernier bout de viande ou tentaient de faire le puzzle de six mille neuf cent dix­-huit pièces jamais résolu qui était posé dans un coin. Pour éviter tout scandale, nous tairons les noms.

    Puis une fois tout ceci fait, les deux arrivaient en même temps de chaque côté de la chapelle (comme c'était deux hommes, aucun n'allait attendre l'autre au pied de l'autel), se rejoignaient devant les chefs de famille, échangeaient leurs vœux, prononçaient le traditionnel "Oui je le veux" ou "Non, jamais de la vie, je ne me marierais jamais avec cette horreur, faites-­le dégager d'ici" (qui arrivait plus fréquemment que ce que l'on pouvait croire), puis l'assemblée applaudissait rapidement afin de pouvoir repartir le plus vite possible dans le palace où les attendait le buffet, la piste de danse et les jolis garçons/jolies filles.

    Programme tout simple en perspective.

    Sauf que les deux auraient dû le savoir : rien n'est simple quand autant de mafieux fous à lier sont réunis. Et qu'il y a des triplés dans la famille du marié.

    ~**OoO**~ ­

    - Bel­-sempaaaï, c'est du gâchis vous savez... ­

    - Ushishishishishishishishishi ! Tais­-toi et viens m'aider !


    Himustu-chan : Je contrôle toujours tout. Je vous le jure. Sisisisi ! Sinon, à part ça, oui, je n'aime pas ce chapitre et je suis d


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :