• - L'avenir du passé

    L'avenir du passé

    Auteur : Devinez...

    Genre : Action, Aventure

    Résumé : Une cérémonie, un bazooka, une dispute, un combat ? Mélanger ceci, et vous obtiendrez l'incipit de mon histoire. Tsuna resteras toujours Tsuna, et il s'attireras toujours des problèmes même quand on regarde dans le passé...

    Chapitre : 39

    Manga : Kateikyo Hitman Reborn

    Classement : Rating K+, évolueras peut-être en cours d'histoire

    Warning : Pouvez-vous oubliez les fautes, svp ? ^_^ Et je remercie pleinement Hibari, de s'être occupé de mes fautes, et je m'excuse auprès de Katherine Tiguer de ne pas lui avoir envoyé mon texte, mais j'avais envie que tu le découvre en même temps que les autres, désolée.

    Voici la nouvelle fanfiction que tout le monde attendais enfin j'espère -_-' ... reprenons.

    Je disais donc, voici ma nouvelle fanfiction, vous verrez au début on ne comprend pas vraiment tout ce qui se passe, mais tout arrivera par petit bouts. Alors soyez patient, surtout que cette histoire risque fortement d'être très longue. Bien passons à la présentation de l'histoire, ça vaudra mieux pour tout le monde.

  • Chapitre 1 : Le passé...


    Deux personnes discutaient joyeusement, de tout est de rien, ils étaientdans un immense jardin. Le plus jeune avait les cheveux châtains, tandis que l'autre plus âgé, avait les cheveux couleurs or. On aurait pu croire, qu'ils étaient frères, cousins ou autres parents proches. Le plus âgé avait l'air d'écouter avec fascination ce que lui disait le châtain. Le jeune lui parlait de son passé, de ce qu'il avait vécu, de ses peurs, de ses rires, de ses pleurs, de sa vie, avec tant de joie et de sentiments, que même vous lecteurs vous pouvez le ressentir.

    Ils discutaient joyeusement, sous le regard de 13 personnes. Mais un coup de feu retentit et un corps tomba, c'était celui du plus jeune, celui aux cheveux bruns. Son corps tomba inerte et sans vie, toutes les personnes s'étaient précipitées vers lui. Les sentiments se mélangeaient, des larmes coulaient, certains hurlaient de douleurs, d'autres encore frappaient le sol avec insistance, cette scène était la représentation même de la douleur. Mais comment ?! Comment avaient-ils pu en arriver là ?! Pour découvrir la cause, retournons un peu en arrière.

    Mais dirigeons nous plutôt vers le jeune homme aux cheveux or, et ses compagnons, en premier, voulez-vous.

    C'était l'après-midi, au manoir de Giotto di Vongola, le premier parrain de la plus grande Mafia au monde, la famille Vongola, littéralement la famille Palourde! Mais pour des raisons évidentes, nous allons restez sur Palourdes! ... euh... Vongola... Désolée...

    En tout cas notre très cher boss, lui s'occupait et était en train de pester entre ses compagnons. Il leur en voulait pour deux raisons, toutes les deux, très simples...

    Premièrement, ses deux gardiens, du nuage et de la brume, avait commencé un énième duel, à cause d'une blague d'assez mauvais goût de la part de Deamon. Tous mangeaient tranquillement leur repas, jusqu'à qu'il y est l'objet ou plutôt le fruit qui avaient fait en sorte que toute l'histoire commence (celle du combat). La faute au melon !

    Les femmes qui s'occupaient de servir le repas des propriétaires du manoir, avaient malencontreusement amené un melon sous la demande d'un certain Ore-sama, qui en avait envie d'en manger sous les yeux de tout le monde (Le saviez-vous ? Le melon était très cher il y a des années de cela).

    Lampo était heureux qu'on le lui ait amené, le prit s'en se rendre compte du danger, qui était à trois place de lui. Après que Lampo est coupé un morceau du melon, il l'apporta à sa bouche et croqua à pleines dents dedans. Il le relâcha brusquement, à cause de verts gluants, sortant de la chair, bougeant comme s'ils mangeaient leurs premiers et leurs derniers repas.

    Vous vous dites, c'est dégueulasse, c'est méchant, mais vous avez dû remarquez que le combat n'a toujours pas commencer ? Patience... patience... Nous y arrivons, c'est le meilleur moment de ce repas.

    Le morceau de melon qu'avait jeté Lampo, avait atteri dans l'assiette pleine de sauce de son voisin d'en face, qui n'était autre qu'Aulaude. Mais ce n'est pas tout, l'assiette n'avait plus de sauce mais un melon qui trônait au milieu de l'assiette. Mais où la sauce était-elle passée ? Ne me dites pas que... non... je crois bien que si... la sauce était maintenant sur notre cher gardien du nuage, ce qui eu pour effet de l'énerver royalement, il attaqua le pauvre gardien d'orage

    - Alaude ! Je te jure ! C'est pas moi ! C'est le melon !

    - Nufufu, qui est un melon ?

    - Toi ! Même quand Lampo mange un melon, tu te sens viser.

    - Gardien de la tempête, tu joue avec le feu.

    Puis le mouvement déclencheur de la "guerre interne", fut Lampo... enfin plutôt le coup qu'il se prit d'Alaude et qui l'envoya de l'autre côté du jardin, après avoir traversé la baie vitrée. Puis Alaude s'attaqua à Deamon et un autre combat venait encore de commencer.

    Deuxièmement, tous les gardiens, sauf celui hors-jeu (en soi, notre cher Lampo, que son âme repose en paix !), avaient rejoins la soi-disant bataille.

    Knuckles, gardien du soleil, criait sur tous les toits des choses inaudibles sur Dieu.

    G criait sur les deux gardiens, qui se battaient dans un duel à mort, ce qui avait pour effet de les énerver encore plus.

    Daemon détruisait la salle à manger à manger pour tuer Alaude.

    Asari quand à lui, tentait de tous les calmer en rigolant, ce qui, évidemment, ne servais à rien.

    Alaude tentait d'écrabouiller, Daemon.

    Tandis que Giotto regardait la scène avec un cocktail somptueux : colère, haine, exaspération, espoir, tristesse, …

    Comment dire… c'est… extrême ? Voilà, c'est ça ! C'est extrême ! Ce cocktail est extrêmement extrême, à l'extrême limite ! … Ça fait beaucoup d'extrême, là… Euh… Revenons à notre boucherie, ne vous inquiétez pas, personne n'est mort ! Sauf peut-être le poulet, le jambon, l'agneau, le bœuf, le cabillaud, le saumon, l'espadon, les anchois et d'autres (ça ressemble à une liste de course -_-).

    Les nerfs de Giotto commençaient à danser une valse, jusqu'à ce que l'une glisse et donc fasse chuter toute les autres, ce qui conduisit Giotto au milieu du champ de bataille.

    Un flash apparu, laissant passer un ange, qui parla avec des anémones blanches, et qui partit après avoir prit une petite tasse de thé, puis vient le…

    - PRIMOOOOOO !

    - Hein ? M'as t'on appelé ?

    - Te fout pas de moi, qu'est-ce que c'est que ça ?!

    - J'entends comme une voix sonner dans ma tête.

    - Tu ignore ton meilleur pote ?!

    - Était-ce l'ange de tout à l'heure ?

    - GIOTTOOOOO !

    - Mah, calme-toi, je crois que Giotto avait ses propres raisons pour faire ça.

    - Des raisons ? Vous voulez savoir mes raisons ?!

    - Oui !

    - Soit ! C'est très simple… VOUS AVEZ DÉTRUIT LES ¾ DE MA SALLE A MANGER, POUR UNE HISTOIRE DE MELON ?!

    - Et c'est pour ça que tu nous as bloqués là-dedans ?!

    - Ça s'appelle la percée du point zéro.

    - Et pourquoi zéro ?

    - Hein ?

    - Bah oui, pourquoi zéro ? Tu es le 1er parrain, pas le zéro.

    - Je trouvais que la position ressemblait plus à un zéro qu'à un un.

    - Moi j'aurais plutôt dit un triangle.

    - J'y avais songé mais tu ne trouve pas que la percée du point triangle sonne beaucoup moins bien que la percée du point zéro ?

    - Pas faux.

    - Quelqu'un peux me dire pourquoi, on parle de ça, alors qu'on est congelés ?

    - Hahaha.

    Voilà comment se passe une journée « normal » chez la première génération Vongola, ha, la joie de vivre…

    Après une heure dans une sorte de congélateur, Giotto accepta finalement de les faire sortir, à condition qu'ils rangent et qu'ils réparent chaque recoins du manoir, aux risques de subir milles et une souffrances, et dieu seul sait que le premier parrain énervé à 100% peut-être pire qu'effrayant, seuls quelques suicidaires ont tentés et maintenant ils ne sont plus là pour dire à quel point il ne retenterons jamais.

    Maintenant que tout avait été nettoyé, sur l'œil dur de Giotto, et devrais-je précisée que Lampo s'était réveillé au moment de la fin du congélateur géant et qu'il avait dû lui aussi mettre la main à la pâte, après avoir été soigné par le gardien du soleil, Giotto avait rejoint l'horreur de toute sa vie… la Paperasse.

    Le tas qui était déjà bien grand, venait de grossir à vue d'œil, si ses gardiens voulaient que sa paperasse ressemble à la tour de Pise (je me suis renseignée ça existait bel et bien à cette époque), ils allaient y arriver.

    Giotto soupira et se mit au boulot, il signait, opposait sa flamme de dernière volonté, re-signait et encore d'autre chose ennuyante.

    Quand Giotto finit de faire au moins la moitié du tas, il tomba sur une lettre noir, (petite précision ! Quand tu es un boss de la mafia et que tu reçoit un papier, une lettre noir, cela revient (souvent) à faire une déclaration de guerre, soit autre chose mettant en défi toute la famille de celui qui as reçu la lettre, ou bien encore pour prévenir d'un malheur extrêmement dangereux… voilà pour la petite explication maintenant si nous le voulons bien revenons à notre histoire ^_^) il l'ouvrit craignant le pire, et la lu, ce n'était pas comme tous les autres papiers noirs qu'il avait reçu… (qui se compte sur les doigts d'une main) non… c'était… peut-être… plus… plus effrayant… en fait il n'y avait qu'une seule et unique question, dénié de tout sens :

    « Avez-vous déjà rêvez de voir l'avenir du passé ? »

    L'avenir du passé ?

    Qu'est-ce que c'était ?

    Pourquoi est-ce que cette phrase était sur un papier noir ?

    L'avenir, c'est le futur et le passé, c'est sûrement le temps de ses ancêtres, à moins que ce ne soit encore autre chose ?

    Mais pourquoi cette phrase « l'avenir du passé » ?

    Et puis pourquoi, il l'avait reçu ?

    Pourquoi lui ?

    Soudain, son hyper-intuition, lui hurla, d'aller rejoindre ses gardiens, qui par ailleurs étaient tous assis en seiza dans la salle de bal (ceci est une punition made in Giotto). Son intuition lui disait que quelque chose de gros allait arriver, il l'avait ressentit quand il avait fini de lire le papier noir.

    Arriver en bas, il se précipita, il se précipita vers ses gardiens, qui regardaient (pour la plupart) le combat entre le gardien de la brume et du nuage.

    Au dernier contact entre les armes d'Alaude et Daemon, une immense fumée de couleur noire apparu.

    Toutes les personnes présentes étaient incapables de voir correctement ce qui se passait. Giotto était effrayé, ses gardiens, …, non ses amis, sa famille était-elle … ? Non, mais est-ce que quelqu'un était blessé ? Si ça arrivait il s'en voudrait, et pas qu'un peu.
    Puis il entendit, des paroles, des onomatopées, des gens qui toussait, d'autres qui hurlaient…

    Ses gardiens arrivèrent un à un, toussant pour certains, d'autres demandant si tous allait bien, de façon plus où moins différentes, alors les sons provenait d'eux,…, non pas tous les sons, il ne connaissait pas certaines voix qui criait, comme s'il pleurait, mais c'était ce qu'il disait que Giotto ne comprenait pas, il y avait des mots comme : Tsuna ! Jyudaime ! Tsuna-nii ! Sawada !

    Giotto regarda ses gardiens, et il fut rassurer de voir que tous allait bien. Puis il retourna son intention sur l'épaisse fumée noire qui s'était dissipé vers l'extérieur, mais qui était encore bien présente au milieu, il distingua quand même quelques formes humaines.

    Ils attendirent tous quelques minutes, puis la fumée se dissipa au milieu, pour laisser place à 8 personnes… mais d'où venaient-elles ?

    La fumée maintenant entièrement dissipée, et il remarqua un groupe de 7 personnes qui semblait autour d'une huitième, sauf que ce dernier ou cette dernière n'avait pas l'air d'aller très bien.

    Bizarrement, son intuition lui disait de sauver cette personne, qu'elle était très important pour lui.


    The end !


    Dragonne : Alors comment c'était je suis contente j'ai presque fait 2000 mots, je m'améliore sur la taille, pas vrai ?

    Tsuna : Qu'est-ce qui m'ai encore tombé dessus ?!

    Dragonne : Tu veux vraiment le savoir ?

    Tsuna : Bien sûr !

    Dragonne : Pardon, je me suis mal exprimé… Tu tiens tant que ça à mourir pour savoir ceci ? *prenant justement ses deux petites paires de ciseaux en platine, que sa mère à eue la bonté d'acheter*

    Tsuna :

    Dragonne : Peut-être que si je les plante en premier dans les yeux et qu'ensuite je m'amuser à cisailler le corps et que-

    Tsuna : Finalement, oublie !

    Dragonne : Alors, dis la suite au lieu de prendre autant de place sur la fin de chapitre.

    Giotto : Alors, comment vous avez trouvé ce chapitre, il vous a plus, vous voulez savoir la suite ? Et bien les reviews ont toujours été meilleur que la drogue.

    Dragonne : Giotto, c'était à Tsuna de le faire, bon c'est pas si grave, alors à la prochaine dans un nouveau chapitre.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique