• Le début des emmer-ennuis

    Himustu-chan : Et je suis toujours pas en retard ! Nananinanèreeuh ! Par contre, va falloir que je pense à écrire d'autres chapitres de CI, parce que je n'ai que jusqu'au 59, et que là je devrais avoir écrit le 63 hier. 

    Ohlala, pas sérieuse moi être. 

    Breef, merci beauuucouup à MissXYZ, MsAkabane et Sayuki­-chan pour leurs reviews au dernier chapitre ! 

    Rar : 

    MissXYZ : T'as des céréales au chocolat ? ... Attends­-toi à voir débarquer sous-peu-très-bientôt-dans-la-minute-qui-suit une alouette affamée et rageuse. Je te conseille de lui céder tes céréales direct. Ou sinon, déménage au fond d'un iceberg avec ces mêmes céréales, mais je doute que ça fonctionne. M'enfin bon, si tu veux, je connais de très bons icebergs à louer, pas cher, et en plus ils ont une très belle vue sur la mer ! 

    Sayuki­-chan : Attends, avant c'était l'oiseau d'un type sous les ordres de Muku­-chan, tu t'attendais à quoi ? L'avis d'Hiba-­chan est totalement ignoré dans cette fic u.u C'est ce qui fait son charme ! :D/SBAFF/ Levi sert à rien à part à faire l'épouvantail ou a ramasser les balles, alors... ­.­ Bien sûr que c'est impossible que le stock de couteaux de Bel diminue ! Il est inépuisable ! Et le jour où il n'y en aura plus, on verra les yeux de Bel... Hiba­-chan est juste beautiful (oui, moi aussi je suis bonne en anglais d'abord !) donc... Mais ça m'étonnerait que Xanxus laisse passer ça u.u C'est ça XD En même temps, ils le sont donc... Mammon tente de regagner l'argent qu'il perd en étant dans cette colo ._. Rooooh, soit pas si méchante avec les Anglais ! Ils ont des muffins !/BAM/ Vi, y'avait du thé. Mais là Hiba­-chan avait besoin de café pour la journée. C'est si gentil ! Hiba-­chan est trèès heureux avec sa céréale maintenant ! Par contre, être gentil avec Muku­-chan... ... ... APrès tout, rien n'est impossible si on a un paquet de céréales à la fin non ? :D 

    Disclaimer : ... ... Avouez­-le. Vous voulez tous nous tuer psychologiquement avec ce truc pas vrai ? 

    Pairing : Vous pouvez en voir certains, ne pas en voir d'autres... Après tout, comme le dit Einstein : tout est relatif, non ? 

    Warning : Bacon, suicide, steak tartare, épilation et inceste. 

    Bon bin... Enjoy ! :3
    ­


    - Alors Kyôya ! Qu'est­-ce que tu viens faire ici ? Demanda joyeusement Dino en s'installant en face de son ancien élève. 

    Ledit ancien élève se contenta de répondre par un grognement indistinct tout en finissant rageusement sa tranche de bacon.
    ­

    - Toujours aussi peu matinal hein ? Fit le blond en regardant tendrement Hibari. 

    Et comme il avait une grande expérience en grognements de carnivore, à faire pâlir de jalousie un Roi des Singes (exemple pris au hasard), il continua :
    ­

    - Moi c'est Tsuna qui m'a envoyé ici, pour servir de moniteur à une colo d'italiens. On est arrivés hier. (il se pencha vers le brun et lui murmura sur le ton de la confidence :) Je crois bien qu'il n'a pas vraiment apprécié d'être trempé à cause d'Enzio lors de ton faux mariage. (puis, sur un ton normal :) Allez, à toi de me dire pourquoi t'es là ! T'es en colo aussi ? C'est Tsuna qui t'a inscrit ? Tes moniteurs sont sympas ? Tu t'es fait des amis ?
    ­

    - Bacon. Se contenta de répondre Hibari.
    ­

    - Tiens, voilà, répondit Dino en lui donnant sa tranche de bacon.
    ­

    - Pas un mioche. Animateur. Avec singes. Colo française. Arrivés hier.
    ­

    - Eh bien c'est merveilleux ! S'exclama le cheval ailé en se renversant en arrière. J'imagine que tu restes deux semaines aussi ? On va enfin pouvoir être de nouveau près l'un de l'autre ! Comme au bon vieux temps ! Je suis super content Kyôya ! 

    Le brun gémit intérieurement. Mais qu'est-­ce qu'il avait fait pour mériter ça !
    ­

    - … et si tu veux, continuait Dino, on pourra même se faire un petit combat, en souvenir de quand je t'entraînais ! Ça te tente ? 

    Un rictus carnassier se dessina sur le visage de Kyôya. Voilà qui était déjà plus intéressant.
     

    ~**OoO**~
    ­

    - Les enfaaaaants ~ ! Petite réunion dans deux minutes ! Dépêcheeeeez-­vooouuuus ! 

    Et Lussuria referma la porte. 

    Avant de la rouvrir.

    De prendre une brosse dans son manteau. 

    Et d'aller arranger un peu les cheveux d'un des garçons.
    ­

    - Voilàààà, minauda-­t­-il sous les regards stupéfaits des gamins. Tu es beeaauuucooouuup plus mignon comme ça !
     

    ~**OoO**~
     

    Un grave problème se posait en ce moment à Hibari. 

    Il avait apporté de la viande. Bien. Seulement cette viande était crue. Et Hibari avait beau être un carnivore, il ne pouvait pas manger de la viande crue. Tartare il voulait bien, mais crue… non. Or il n'y avait nulle part où la réchauffer – il avait pourtant cherché. 

    Ce fut ainsi que Lussuria le retrouva quand il redescendit.
    ­

    - Maaa, Hibari­ch-waaaan ! Qu'est­-ce qui t'arrive mon petit chéri ? Demanda le travesti, ses mains sur les cuisses du brun.
      
    Mains qui durent se retirer rapidement sous le risque de se voir amputées.
    ­

    - …
    ­

    - Tu sais que tu peux tout dire à Mama Luss ! Continua le punk avec espoir (peut-­être que l'alouette prévoyait de se suicider !)
    ­

    - …
    ­

    - …
    ­

    - Ma viande est crue et je peux pas la cuire, fit Hibari. 

    Pour un peu, Lussuria aurait juré avoir entendu un sanglot dans sa voix.
    ­

    - Oh, si ce n'est que ça… Dit le travesti, déçu. Il suffit que tu demandes à Bossu­-chan, il se fera une joie de la cuire comme tu veux. 

    Hibari lança un regard suspicieux à l'autre.
    ­

    - Je vois pas pourquoi il le ferait.
    ­

    - Alloons Hibari­-chan, le gronda avec amusement Lussuria qui s'était bien rendu compte que le brun ne comprenait – presque – jamais les sous­entendus d'ordre sexuel. Bossu-­chan serait ra­vi de te rendre un service ! Tu sais, sous ses airs de vieux bourru, il cache un cœur en o-­ Non, pas en or, mais il est pas si méchant ! Et il nous cuit souvent des trucs aussi. D'ailleurs sa Flamme est très pratique pour les barbecues. 

    Cette fois le regard d'Hibari n'était plus suspicieux. Par contre on voyait clairement que pour lui Lussuria représentait la folie incarnée. 

    Mais c'était sa dernière alternative, alors il se lança. 

    ~**OoO**~
    ­

    - … et je vous ai dit de la fermer, vous au fond ! Je parle, vous voyez pas ? JE N'ATTEND PAS DE RÉPONSES ! D'autres plaintes ?
    ­

    - Il fait trop chaud. C'est horrible pour mon teint !
    ­

    - TU CROIS QU'ON Y PEUT QUOI ? HIBARI ! LUSSURIA ! VOUS ÊTES EN RETARD, VOOI ! 

    Hibari snoba magnifiquement Squalo, se dirigea vers Xanxus et lui montra son steak (qui était dans son emballage de papier). Xanxus leva un sourcil.
    ­

    - Qu'est-­ce que tu veux déchet ?
    ­

    - Que tu cuises ce steak.
    ­

    - Et pourquoi je le ferais ? 

    Hibari lança un regard furieux à Lussuria. Cet… Ce stupide travesti lui avait menti, il le savait ! 

    Le Boss des Varias suivit son regard et le deuxième sourcil vint rejoindre l'autre.
    ­

    - Il t'a dit quoi le déchet ?
    ­

    - Que tu accepterais de le faire, grogna Hibari. 

    Xanxus laissa un petit sourire errer sur ses lèvres. Le déchet de travesti était pas si idiot que ça. Il devrait peut­-être le remercier. Ou peut­-être pas.
    ­

    - Je veux bien le faire… 

    Hibari le regarda, inquisiteur. Le sourire de l'autre ne lui inspirait aucune confiance.
    ­

    - … mais tu auras une dette envers moi. 

    Le brun grinça des dents. Il s'en doutait.
    ­

    - Je t'achèterais un briquet si c'est ça que tu veux. Répondit­-il.
    ­

    - Nan. J'me fiche de ça.
    ­

    - Quoi alors ? S'impatienta le japonais.
    ­

    - Je te le dirais après avoir grillé ta viande.
    ­

    - Nan, avant. Fit Hibari, soupçonneux.
    ­

    - Après.
    ­

    - Avant.
    ­

    - Après.
    ­

    - Bon. Je vais aller demander aux mioches s'ils n'ont pas des briquets.
    ­

    - Non, attend ! S'exclama Xanxus. C'est d'accord, ajouta­-t-­il en grinçant très fort des dents. Je veux… 

    Et il se pencha vers l'oreille d'Hibari pour lui chuchoter quelque chose.
    ­

    - AH MAIS NON MAIS CA VA PAS LA ! Se mit à gueuler Lussuria. ON VOUS A ÉCOUTES EN SILENCE, ON A ATTENDU AVEC
    IMPATIENCE DE SAVOIR QUI ALLAIT L'EMPORTER, ET PILE AU MOMENT OU TU DIS TA CONDITION, TU CHUCHOTES ! JE NE SUIS PAS D'ACCORD ! PAS D'ACCORD DU TOUT ! C'EST DE LA TRICHE ! PUISQUE C'EST COMME CA, MOI JE M'EN VAIS ! 

    Et le travesti sortit de la salle à grandes enjambées.
    ­

    - Ushishi, il a pris des cours avec le paysan requin c'est ça ? 

    ~**OoO**~
    ­

    - Alors ? Demanda Xanxus en se redressant, sans prêter la moindre attention à la diatribe soudaine de son subordonné.
    ­

    - …
    ­

    - C'est à prendre ou à laisser. 

    - ­…
    ­

    - Je sais faire les steaks tartares, chantonna presque le brun en allumant une petite Flamme dans sa main. 

    - ­… D'accord. 

    ~**OoO**~
     

    Hibari sortit une assiette et des couverts pliables de sa veste, s'installa derrière la table sur laquelle était assise Squalo et commença à manger.
    ­

    - Tu peux continuer la réunion herbivore. 

    ~**OoO**~
    ­

    - Alooooors ? Il t'a demandé quoi ? Alleeez, dis dis diiiis ! Le pressa Lussuria quand il rentra dans sa chambre.
    ­

    - …
    ­

    - Attend, pourquoi tu vas dans la salle de bain avec tes vêtements ? Tu peux te changer devant moi tu sais ? Hibari­-chaaan !
     

    ~**OoO**~
     

    Lussuria parcourut le corps du brun qui ne portait qu'un tee­shirt et un short de son regard critique et affamé.
    ­

    - Tu devrais t'épiler les jambes. 

    - …
    ­

    - Non, vraiment. Si tu veux on se fera une petite séance d'épilation ensemble ce soir ! Parce que là, c'est urgent.
    ­

    - Je dois y aller. 

    Deux secondes plus tard la porte claquait. 

    ~**OoO**~
    ­

    - Bon, on va pas perdre de temps, commença Hibari en parcourant du regard les quinze mioches alignés devant lui, le sous­-herbivore dormant dans un coin avec une grosse bosse*. Je n'ai pas du tout envie de vous servir de prof de tennis, comme je n'ai aucune envie d'être dans cette colo. Mais j'y suis obligé. Alors vous allez courir dix fois le tour des trois terrains de tennis, faire vingt pompes et deux série de vingt tractions avec la barre de fer qui est à l'entrée du court. Ensuite vous vous mettrez en ligne et vous devrez renvoyer les balles que je vous enverrais afin que j'évalue votre niveau. Je ne veux pas de questions, ni de protestation, ajouta­-t­-il, coupant ainsi tous les gamins qui avaient ouvert la bouche. C'est compris ? Alors allez­-y.
    ­

    - Non. Répondit insolemment un petit blond avec un casquette en s'avançant. Qui nous dit que t'es bon en tennis ? T'as pas l'air d'être un tennisman. T'es petit, t'as pas de muscles. On veux en être sûrs avant.
    ­

    - Je n'ai aucune raison de vous prouver mon niveau, gronda Hibari en le fusillant du regard. 

    Le gamin recula de terreur. Mais il ne se laissa pas démonter si facilement.
    ­

    - Bien sûr que si t'en as. Si tu le fais pas c'est que t'es nul. Si t'es nul, ça veut dire qu'on a été arnaqués. Alors on se plaindra à nos parents, et ça remontera jusqu'à ton chef. 

    Hibari écarquilla les yeux. Remonter jusqu'à l'herbivore ? Non non non non non ! 

    Les gosses le fixaient toujours avec arrogance. A la réflexion, ils méritaient bien une petite raclée.
    ­

    - Contre qui tu veux que je joue ? Demanda­-t­-il, parfaitement neutre. 

    Le blond eut un rictus de victoire.
    ­

    - Maintenant tu comprend qui c'est les chefs hein ? Je veux bien jouer contre toi, si tu te sens de m'affronter. Je suis un des meilleurs du groupe.
    ­

    - Je suis meilleur que toi, grogna un autre garçon en s'avançant. Et en plus je suis plus vieux.
    ­

    - Ouh, c'est qu'il montre les dents le Gaby ! Se moqua le blond. 

    "Gaby" lui lança un regard noir.
    ­

    - Gabriel est plus vieux que Victor ? Chuchota une des deux seules filles qui composait le cours à l'autre. Il a l'air d'avoir douze ans maxi !
    ­

    - Il en a bientôt quinze, répondit l'autre sur le même ton. Victor n'en n'a que treize. 

    Maintenant renseigné sur les âges et les prénoms de chacun, Hibari reporta son attention sur les deux mioches qui étaient à deux doigts de se sauter dessus**.
    ­

    - Je peux vous prendre tous les deux*** si vous voulez. Mais dépêchez-vous. J'ai pas que ça à faire.
    ­

    - Tous les deux ? S'esclaffa Victor. Tu te surestimes pas un peu trop pour un débutant ? 

    Un regard noir du brun le convainquit de pas pousser plus loin, et ils se dirigèrent tous les trois vers le terrain le plus proche.
     

    ~**OoO**~
    ­

    - Huit­-zéro ! S'exclama la fille qui arbitrait trois minutes et dix-­huit secondes plus tard. Victoire d'Hibari­-san !
    ­

    - Un dernier set ? Proposa le brun, plus sexy que jamais dans son Tee­shirt blanc, son short noir, sa raquette sur l'épaule et une balle de tennis qu'il faisait rebondir. 

    C'était du moins l'opinion des deux seules représentantes féminines de ce cours.
     

    ~**OoO**~
    ­

    Nul. Nul. Très nul. Encore plus nul. Vraiment très nul. Horrible. Affreux. Nul. Horrible. Prend ça ! 

    Victor ne vit même pas la balle passer. Il se redressa et fusilla son prof du regard.
    ­

    - C'est n'importe quoi votre cours ! Vous faites que nous envoyer des balles impossibles à rattraper et vous nous donnez même pas de conseils ! Comment vous vous voulez qu'on s'améliore ?
    ­

    - Vous ne vous améliorerez pas si vous croyez que vous n'y arriverez pas, se contenta de répondre Hibari. Ramassez les balles maintenant. 

    ~**OoO**~
    ­

    - Je… vais… le… dire… à… mon… père… Articula difficilement Victor en se laissant tomber sur le banc. C'est… n'importe… quoi… ce… cours…
    ­

    - Tu es vraiment un lâche, observa Hibari qui venait d'arriver. Dès que tu rencontres un problème tu vas te réfugier dans les jupes de tes parents, au lieu de l'affronter par toi­-même. Si tu agis ainsi tu ne grandiras jamais et tu ne pourras jamais t'échapper de l'emprise de tes parents, alors que si tu essayais de te débrouiller seul tu pourrais peut­-être finir par devenir assez fort pour enfoncer tout seul ton poing dans la figure de l'autre. Maintenant tout le monde sur les terrains. Vous pouvez aller faire des matchs.
    ­

    - Je ne te savais pas moralisateur déchet, applaudit narquoisement Xanxus qui débarquait d'on-­ne­-sait­-où.
    ­

    - Dégage.
    ­

    - Nan, je suis bien là. Regarde, y'a un de tes déchet d'élève qui a aucun adversaire. Tu devrais peut-­être aller jouer avec. 

    Oui, décidément un Hibari Kyôya jouant au tennis était un bien joli spectacle, pensa Xanxus en observant les fesses du brun qui bougeaient adorablement sous les coups de raquette qu'il donnait.
     

    ~**OoO**~
     

    Mukuro lança un regard surpris à sa petite protégée avant de se lever et de la suivre. Elle l'emmena dans une petite pièce déserte, loin de toute personne. Un peu inquiet, l'ananas espéra qu'elle n'avait pas pour projet de le violer avant de se souvenir qu'elle le considérait comme son grand frère. Oui mais l'inceste, ça exist­-
    ­

    - Tu peux t'asseoir si tu veux, lui dit Nagi en délaissant l'habituel vouvoiement qu'elle employait en public. Je voulais te parler de Nuage­-san.
    ­

    - Kyôya ? S'exclama Mukuro. Qu'est-­ce qu'il y a ? Il lui arrivé quelque chose ? Attend ! Ne dis rien ! Non, ne me dis pas qu'il est… enceint ?
    ­

    - Bien sûr que non idiot ! S'agaça Chrome. C'est pour ça que je veux te parler. Je pense… Je pense qu'il vaudrait mieux que tu tires un trait sur lui.
    ­

    - Que… Comment ça ?
    ­

    - Écoute Mukuro, vous vous êtes séparés ! Je comprend que tu aies un peu de mal à admettre que ce soit lui qui t'ai plaqué, et qu'il t'ai balancé qu'il s'ennuyait maintenant avec toi…
    ­

    - Comment tu sais ça ? Demanda, interloqué, l'ananas qui ne se souvenait pas de lui avoir raconté quoi que ce soit sur sa rupture avec l'alouette. 

    Nagi eut l'air un peu gênée.
    ­

    - Ça n'a pas d'importance. Bref, je comprend que tu aies du mal à tourner la page, mais il le faut ! Tu es avec Marshmallows-­san non ? Et il est bien, non ? Tu as dit toi­-même qu'il s'était amélioré au lit dernièrement !
    ­

    - Oui, mais… Tenta Mukuro qui ne voulait pas renoncer à Kyôya.
    ­

    - Écoute, je suis sûre que si tu oubliais un peu Nuage­-san tu apprécierais encore plus Marshmallows­-san – surtout au lit – et ce serait mieux pour tout le monde !
    ­

    - … Tu crois ?
    ­

    - Bien sûr ! Tu ne réussiras jamais à reprendre Nuage-­san, sauf peut­-être lors d'un plan à quatre ! Alors lâche­-le et tout ira mieux, et sera meilleur.
    ­

    - … Bon. Si tu le dis. Fit Mukuro qui n'était pas compliqué à convaincre – surtout si on faisait jouer le fait que le sexe serait encore meilleur, parce que vu le niveau qu'il atteignait déjà, qu'est­-ce que ça serait alors ! 

    Mais un truc fit soudain tilt dans sa tête.
    ­

    - Pourquoi plan à quatre ?
    ­

    - Parce que Nuage-­san et Colère­-san n'arrêtent pas de se tourner autour.
    ­

    - … QUOI ? 

    Nagi hocha gravement la tête de haut en bas.
    ­

    - Depuis combien de temps ?
    ­

    - Hum… Je sais pas vraiment. La chasse au trésor à peu près. Voir avant.
    ­

    - ET ILS SONT TOUJOURS PAS ENSEMBLE ? 

    Nagi hocha de nouveau la tête, mais en signe de négation cette fois.
    ­

    - Ah mais ça ne va pas du tout ça ! Fit Mukuro en se levant. Ils devraient baiser depuis longtemps ! C'est n'importe quoi ! Quand on a Kyôya en vue et que c'est réciproque, on attend pas aussi longtemps ! Faut faire quelque chose ! Tu viens Nagi ? Direction l'Angleterre ! On va s'occuper de ça !
     


    Himustu-chan : *Non, elle est à la tête la bosse, pas là où vous pensiez, bande de petits pervers ! Franchement, imaginer ça sur Levi... vous êtes vraiment dégoûtants... 

    ** J'ai dit : pas de yaoi avec les gosses de la colo ! 

    *** Et Hiba­-chan n'est pas un pédophile non plus ! 

    Vous avez vu tout ce qu'on apprend dans ce chapitre ? 

    De un, Hiba­-chan a les jambes poilues. 

    De deux, Di­-chan aime plus Hiba­-chan que son bacon. 

    Et, et, et, eeeeeeet, de trois, Xanxus sait faire les steaks tartare ! 

    Si c'est pas merveilleux. 

    En plus mon correcteur automatique me propose "anus" à la place de Xanxus. 

    Vieille blague, mais mon ordi a apparemment été contaminé par la perversité des histoires que je lis. 

    MWAHAHA ! NOUS CONVERTIRONS LE MONDE ET LES ORDIS ! 

    Plus tard, j'aurais un T­shirt violet. 

    Dessus il y aura écrit "Sometimes I just want to be a pineapple" 

    Vàlà. Vous me reconnaîtrez facilement comme ça. 

    Ou encore, Fran n'est même pas dans le chapitre. 

    Bon Dieu, je me hais. 

    Mais y'a Muku-­chan, alors ça va. 

    D'ailleurs Goku-­chan va pas être content. 

    C'est vrai quoi ! Muku­-chan a arrêté la course de petites voitures en plein milieu et il est parti direct ! 

    Ahlala. Quel méchant cet ananas. 

    Ça vous tenterait vous un plan à quatre avec Bya­-kun, Xanxus, Muku-­chan et Hiba­-chan ? 

    *Q* 

    *Q* *Q* *Q* 

    *s'évanouit pour cause de trop de beaugossitude*


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