• Que faire d'une laisse ?

    Himustu-chan : TADAAAAAA ! Z'AVEZ VU Z'AVEZ VU ? MON RYTHME DE PARUTION DE DINGUE ?

    Vous pouvez être fiers de moi u.u

    (Je vais peut­-être même l'augmenter u.u)

    'Fin bref.

    Un big big big merci avec la larme à l'œil à MsAkabane, MissXYZ, Jurii­-Gothic, Meiko­-chan, tenshihouou, Ayui­-Ayone et Sayuki-­chan pour leurs reviews ! (finalement, le rêve des trois cent reviews peut peut­-être se concrétiser…)

    Rar :

    MissXYZ : Ah… ? Bon… D'accord. Mirciii :D (ou LA réponse de dingue)

    Meiko­-chan : Comment ça, "enfin" ?._. Attend, je publie hyper vite par rapport à d'habitude !... Bon, ok, c'est pas très compliqué. Mais quand même ! … A moins que je ne doive prendre ça comme un compliment ? (du genre : wow, la fic d'Himutsu­-sama est tellement bien que même deux heures sans me paraissent une éternité ! Vivement la suite !"… C'est ça ? :D/BAM/)) Le V18 finira par venir u.u Promis. (vive le string ! … j'espère que je réussirais à le faire revenir…) XD Tu y tiens vraiment à ton 2618 XD Malheureusement pour toi, je pense que cette période de couple de la fic est révolue… :/ "Frognapper"… xD (je sais quand même que "frog" veut dire "grenouille", j'ai un niveau de m*rde, mais là quand même… x)) Bon, j'irais voir cette musique dès que je peux ! Merci pour le lien ! ;) Ah, je savais comment les trouver (j'ai fini par comprendre ce site après un an à être inscrite dessus u.u) c'était juste pour avoir les liens plus rapidement :) Mais bon, merci :D J'irais lire le plus vite possible ;) Par contre, toi, tu ne lis pas les notes de fin, je me trompe ? ;­) Allez, bonne lecture ! :D

    Sayuki­-chan : Je ferais de mon mieux pour le caser ce B18, je te jure ! … Après le V18. Et ensuite je ferais du Levi18. 'Fin bref. (quand même, pauvre Xanxus, il va voir son alouette lui être piquée par tous ses subordonnés XD) Mirciiii, ça me rend vraiment contente que tu dises ça ! ^^ *étoiles dans les yeux* Je l'ai touché ce château xD Il aurait fallu que j'ai Ryûk ou Rem à côté de moi pour leur demander si mon espérance de vie s'était rallongée… ohhhhhh oui, Hiba­-chan est siiiii innocent… *petite larme émue* C'est ce qui fait son charme aussi… C'est bieeeeeeen, tu t'améliores dans la "Squalolovitude" ! XD XD Oh, moi aussi je lis toujours les notes de fin :D Et celles de début aussi ! … Tu lis les notes du début ? … Bon, tant pis. Mais le début de la phrase commençait bien u.u Généralement, on ne remarque pas vraiment, on se dit juste qu'il y a un truc un peu bizarre, et c'est ensuite quand on le dit que tu te fais "… oh… OOOOOH… Mais c'est vrai, y'a pas de "e" en fait…" x) Mirci, en fait ça s'est super bien passé ^^ Et toi, ta rentrée, ça allait ?

    Disclaimer : Rien n'a changé depuis le dernier chapitre. J'ai juste repéré où acheter les figurines de Hiba-­chan, Muku-­chan, Xanxus et Bya-bya. (Bon, y'a aussi Tsu-­chan et Take­-chan, mais ça importe moins u.u *se fait tuer par toutes les fans de Tsuna et Yamamoto*)

    Pairing : ATTENTION LES YEUX CA VA PIQUER ! BEAUCOUP BEAUCOUP PIQUER ! PARCE QUE JE ME SUIS E­CLA­TEE DANS CE CHAPITRE ! EN GROS, C'EST DU LUSS18 ICI ! MWAHAHAHAHAHA !

    Warning : Massage

    Bon bin… Enjoy ? :D
    ­


    - Herbivore ?

    Squalo se retourna, surpris.
    ­

    - Qu'est-­ce que tu veux gamin ?
    ­

    - Pourquoi le Roi des Singes m'a offert une laisse à mon anniversaire ? Demanda Hibari.

    Squalo cligna des yeux, décontenancé. C'était quoi cette question ? Il bafouilla quelques mots, ne sachant pas trop quoi dire.
    ­

    - Je VEUX une réponse, fit le Nuage, un éclat métallique luisant dans les profondeurs de ses manches.
    ­

    - Euh… Eh bien… Je…

    Soudain, deux yeux rouges brillant dans l'ombre apparurent à l'argenté en même temps qu'un grondement retentissait sourdement. Bester.

    Et si son Boss envoyait Bester, ça voulait dire que…
    ­

    - Oh tiens regarde ce gamin a l'air de s'être cassé la jambe je dois aller voir s'il va bien ! Allez salut !

    Hibari ouvrit grand les yeux en voyant le requin s'enfuir en courant. En plus il n'y avait strictement aucun morveux dans les parages (ils étaient tous en anglais).

    Puis il haussa les épaules et se mit à la recherche d'un autre herbivore qui pourrait lui apporter la réponse à sa question.

    ~**OoO**~
    ­

    - Herbivore.

    Lussuria déglutit difficilement et regarda tout autour de lui. Il ne comprenait pas pourquoi le Boss était venu le voir pour lui dire de"ne répondre à aucune question du déchet d'alouette si ça concerne une laisse ou je te bute" mais il sentait que le fait qu'Hibari s'approche de lui était une mauvaise chose.

    Une très mauvaise chose.

    Il se composa rapidement un sourire affable.

    ­- Oooh, Hibari­-chan ! Minauda­-t-­il. Quelle bonne surprise ! Tu t'es enfin rendu compte que tu est irrésistiblement attiré par moi ? Comme je suis honoré ! On va dans la chambre ?
     

    Hibari lui jeta un regard dégoûté.
    ­

    - Non. Je veux juste savoir pourquoi le Roi des Singes m'a­-
    ­

    - Ooooh, mais regarde-­moi ce bel homme ! Bon, puisque tu m'as rejeté et que mon cœur est maintenant en mille morceaux, je vais aller lui demander de me réconforter. My deeeeeeaaaaaar ! Cria Lussuria en courant après un anglais blond. You're a beautiful guy, you know ?
     

    Hibari soupira.
     

    ~**OoO**~
    ­

    - Herbivores.
     

    Bel plissa le nez et les gamins derrière lui s'arrêtèrent nets. Hibari retint un soupir en voyant les morveux. Il voulait parler en privé avec l'herbivore à frange lui !
    ­

    - Pourquoi le Roi des Singes m'a offert une laisse à mon anniversaire ? Demanda­-t­-il en japonais.
     

    Bel se contenta de lui rire littéralement au nez.
    ­

    - Une réponse.
    ­

    - Ushishishi !
    ­

    - Bon, je vais voir le batracien.
     

    Un couteau le stoppa.
    ­

    - Tu ne t'approches pas de lui, siffla Bel.
     

    Hibari haussa un sourcil triomphant.
    ­

    - Dis­-le moi alors.
     

    Bel déglutit difficilement. Et partit en courant.
     

    ~**OoO**~

    Hibari se laissa tomber sur son lit. Il la voulait la réponse à sa question lui ! Et impossible de trouver qui que ce soit pour y répondre ! Tous les singes avaient mystérieusement disparus, et l'herbivore en chef s'était contenté de lui rire au nez avant de raccrocher.
    ­

    - Moo ? Hibari­-chan ? Qu'est­-ce qui se passe ? Minauda Lussuria d'un air inquiet en entrant dans la chambre.
     

    Le brun lui renvoya un regard noir mais bien trop mignon pour sa santé. Le travesti déglutit et ferma la porte à clé.
    ­

    - Alors Hibari­-chan, susurra le boxeur en s'approchant de l'autre. Et si tu racontais à Mama Lussuria ce qui te tracasse ?
     

    ~**OoO**~
     

    Allongé sur le ventre, la tête enfoncée dans ses bras, Hibari frémit sous la sensation des mains sur sa peau. C'était juste… trop… bon…
     

    Il enfouit son visage dans le matelas pour étouffer les petits gémissements qui montaient en lui. Les mains allaient partout sur son corps, se posaient sur les points sensibles, lui tirant des petits bruits qu'il faisait tout pour contenir. Il se tendit quand elles arrivèrent plus bas.
    ­

    - Ne me touche pas là, grogna­-t-­il en sortant sa tête de la literie.
     

    Un simple sourire lui répondit mais les mains remontèrent quand même. Tout son corps se relâcha alors qu'elles touchaient ce point, celui qui le tiraillait depuis si longtemps. Apparemment satisfaites de leur trouvailles, les mains musclées se mirent à caresser, à malaxer, à titiller cet endroit si sensible pour lui.
     

    Un souffle chaud vint caresser son oreille.
    ­

    - Alors ? C'est bon ?
     

    Hibari ne put qu'hocher la tête, submergé par les sensations qui affluaient en lui. Il avait envie de ça depuis si longtemps… Il en avait besoin depuis si longtemps ! Il se crispa un peu quand des doigts vinrent effleurer ses abdominaux, redessinant le contour de ses muscles, avant de descendre petit à petit. La voix rauque résonna de nouveau à ses oreilles.
    ­

    - Maintenant, c'est à mon tour de prendre un peu de plaisir, Hi­ba­ri­-chan ~
     

    Il se tendit en sentant son pantalon lui être enlevé. Il ne lui restait maintenant plus que son boxer, et il combattit vivement le rougissement qui lui montait aux joues d'être ainsi exposé au regard de l'autre. Les mains se posèrent sur ses cuisses, découvrant
    avec plaisir ses formes et ses réactions. Il retint le soupir qui montait en lui comme l'autre montait vers ses fesses.
    ­

    - Je t'ai déjà dit de ne pas me toucher là, gronda­-t-­il sourdement.
     

    L'autre ouvrit la bouche pour répliquer, mais fut coupé par la porte qui voltigea à travers la pièce.
     

    Xanxus se stoppa net devant le spectacle qui l'attendait.
     

    Lussuria, auparavant à quatre pattes au­-dessus d'Hibari, ses mains sur ses fesses, se redressa vivement. Et le brun se contenta de lancer son regard le plus noir au Roi des Singes en espérant que le léger rougissement de ses joues passerait inaperçu.
     

    Xanxus sortit ses pistolets.
    ­

    -  Je vais te buter déchet.
     

    ~**OoO**~

    Hibari soupira et se renfonça un peu plus dans le canapé. Il jeta un regard boudeur au Roi des Singes qui le dévisageait depuis déjà plusieurs minutes.
    ­

    - Tu veux vraiment me faire croire ça déchet ?
     

    Le regard boudeur se changea en regard noir. Très noir.
    ­

    - Ne me parle pas comme à un de tes singes, siffla Hibari. Ce n'est pas parce que j'ai été forcé de vivre avec vous que je suis sous tes
    ordres.
     

    Xanxus lui renvoya lui aussi un regard noir et quand les deux regards noirs se heurtèrent, Bel grimaça.
    ­

    - Le Boss est vraiment en colère, ushishi…
    ­

    - Ce n'est pas drôle Bel, voi ! Faut absolument éviter qu'ils combattent !
    ­

    - Impossible. Ils vont se battre, c'est sûr.
    ­

    - Bien sûr que si, répliqua Xanxus sur un ton si menaçant qu'il aurait envoyé les mafieux les plus redoutables pleurer dans les jupes de leurs mères.
    ­

    - Tu vois tu vois tu vois ? Ils vont se battre, c'est sûr !
    ­

    - Non.
    ­

    - Si.
    ­

    - Non.
    ­

    - Si.
    ­

    - Non.
    ­

    - Si.
    ­

    - Non.
    ­

    - SI.
    ­

    - Ouille, le Boss a mit des majuscules…
    ­

    - NON.
    ­

    - Tiens, le gamin aussi sait le faire…
    ­

    - SI.
     

    - ­ Non.
    ­

    - Et voilà qu'il réplique avec des italiques…
    ­

    - Ça fait mal les italiques. C'est très fort.
    ­

    - SI.
    ­

    - Wow ! Majuscules plus italiques ?
    ­

    -  NON.
    ­

    - …
    ­

    - …
    ­

    - Ça a atteint un stade que je saurais même plus commenter.
    ­

    - S­-
    ­

    - Bossu ? Je viens de trouver Travesti­-san presque mort dans la chambre d'à côté. Il s'est passé quoi ?
     

    Squalo, Bel et Mammon fusillèrent du regard Fran qui venait d'interrompre ce si épique combat de polices.
    ­

    - Ce déchet était dans le lit du déchet d'alouette, au­-dessus de lui, et le touchait. Gronda Xanxus sans quitter Hibari du regard.
     

    Fran ne broncha pas.
    ­

    - Oh. C'est moche ça. Ça fait vraiment une horrible image mentale. Je crois que je vais vomir. Comment avez­-vous pu faire ça Alouette-­san ?
    ­

    - Je n'ai rien fait, siffla le Nuage. L'herbivore m'a juste proposé de me faire un massage.
    ­

    - Un massage sur les fesses ? Contra Xanxus, son aura noire s'épaississant.
     

    Bel fit semblant de vomir.
    ­

    - Je lui avais dit de ne pas me toucher là, et j'allais lui enlever ses mains ! Fit Hibari, grossissant lui aussi son aura.
    ­

    - Alors pourquoi tu étais presque nu ?
     

    Bizarrement, à cette question, le Nuage se renfrogna.
    ­

    - Alors ? Gronda Xanxus dont l'aura se livrait à un combat sans pitié avec celle du petit brun.
    ­

    - Je n'ai pas à te le dire. Finit par déclarer Hibari.
    ­

    - Dis. Le. Moi.
    ­

    - Non.
    ­

    - Si.
     

    - ­ Non.
    ­

    - Et les voilà repartis pour un tour, soupira Squalo. A croire que toutes leurs discussions doivent obligatoirement aboutir à ça…
    ­

    - Ushishi, c'est pourtant évident. Le paysan travesti n'allait pas laisser passer cette chance que l'alouette paysanne ait une dette envers lui, et l'a donc utilisée pour pouvoir le toucher !
     

    Hibari lança un regard noir, agrémenté d'un couteau, à Bel qui attrapa aisément l'arme.
    ­

    - Ushi­ Hé ! Mais c'est un de mes couteaux ça !
     

    Hibari haussa les épaules.
    ­

    - C'est vrai ? Gronda Xanxus qui n'avait pas perdu l'histoire de vue.
     

    Hibari se leva.
    ­

    - Je n'ai pas à me justifier. … Et puis c'est de ta faute.
     

    Tous les Varias ouvrirent de grands yeux.
    ­

    - T'avais qu'à me dire pourquoi tu m'avais offert une laisse et je n'aurais pas été si tendu au point d'accepter ça.
     

    Et Hibari sortit.
    ­

    - …
    ­

    - …
    ­

    - …

    - Kufufu, c'est qu'elle s'améliore en manipulation psychologique l'alouette !
    ­

    - Qu'est­-ce que tu fiches là toi ?!
    ­

    - De qui tu parles Bel ? Y'a personne d'autre que nous dans la pièce…
     

    ~**OoO**~

    Hibari rentra en soupirant dans sa chambre. Il ne jeta pas un regard au tas noirci et inconscient qu'était désormais l'herbivore travesti et se pencha vers ses tiroirs. Il en sortit un magazine qu'il avait toujours trouvé assez bizarre (il ne comprenait pas l'intérêt de mettre la photo d'un herbivore presque nu et juste habillé de deux­-trois vêtements noirs et cloutés en couverture) et ressortit de la chambre pour aller dans le parc. Là, il marcha vers un endroit qu'il avait repéré, grimpa dans un arbre, et commença à effeuiller le magazine, le découpant en petites bandelettes.
     

    Puis il resta immobile et sourit doucement en voyant les oiseaux qu'il avait remarqués quelques jours auparavant prendre petit à petit les bandelettes de papier pour les emmener vers leur nid afin de le garnir.
     

    Mais il ne put s'empêcher de ciller lorsqu'un des oiseaux s'envola, tenant dans son bec une page du magazine représentant un endroit assez particulier de l'anatomie masculine.
     

    Il aurait peut­-être dû vérifier ce qu'était ce magazine avant de l' "emprunter" à l'herbivore à frange…
     

    ~**OoO**~
    ­

    - Kyôya ?
    ­

    - Hn.
    ­

    - Super, je pensais que t'étais pas là. Alors, je voulais juste te poser quelques questions, qui te paraitront peut­-être un peu indiscrète, mais je veux que tu y répondes.
     

    Hibari fronça les sourcils.
    ­

    - Un : est­-ce que tu es toujours avec Dino­-san ?
     

    Le brun avala tranquillement son verre d'eau pendant que son froncement de sourcils s'accentuait. Les herbivores de sa table (celles
    avec qui il avait déjà mangé) étaient muettes.
    ­

    - Non, répondit­-il sèchement, le souvenir de leur rencontre de l'autre jour s'imposant à lui.
    ­

    - Bien. Fit l'herbivore en chef, qui ne semblait pas surpris. Deux : est­-ce que tu as déjà couché avec un des membres de la Varia ?
     

    Cette fois la boulette de viande qu'il était en train de mâcher eu du mal à passer.
    ­

    - Je crois que j'ai mal compris, gronda­t­-il sourdement.
    ­

    - Pas du tout. Allez, réponds !
    ­

    - … Non, finit-­il par dire.
    ­

    - Et est­-ce que tu prévois de coucher avec un membre de la Varia ?
     

    Hibari referma son portable.
     

    Regarda son assiette.
     

    Puis les herbivores à sa table qui avaient repris leur discussion.
    ­

    - Herbivores. Savez­-vous pourquoi un herbivore offrirait une laisse à quelqu'un pour son anniversaire ?
     

    ~**OoO**~

    En Italie, Tsuna regarda son portable, et sourit.
    ­

    - C'est bon, vous pouvez continuer votre pièce de théâtre, dit-­il joyeusement à Gokudera, qui était seulement vêtu d'un pagne de feuilles.
     

    A côté de lui, lui aussi vêtu d'un pagne, Yamamoto qui agitait une grande branche d'arbre au­-dessus de Tsuna, rit joyeusement.
     

    Ryohei leva son poing de gorille en l'air en criant un "extrême" un peu faiblard, et Lambo bâilla, observant d'un air dubitatif les peintures diverses qui recouvraient son corps.
     

    En ce moment, tous enviaient Hibari.
     


    Himustu-chan : Je crois qu'ils n'ont pas bien réfléchi à la situation de notre alouette internationale ces petits coquillages.
     

    'Fin bon.
     

    Les herbivores répondront­-elles à Hiba-­chan au sujet de la laisse ?
     

    Muku­-chan finira­-t­-il par être démasqué ?
     

    Saura­-t-­on pourquoi Bel a des magazines porno ?
     

    Squalo réussira-­t­-il à se faire obéir avant la fin de la colo ?
     

    Xanxus terminera­-t­-il dans le lit anglais d'Hiba­-chan ? Ou devra-­t­-il attendre encore un peu ?
     

    Lussuria sera­-t-­il rapidement sur pied ?
     

    La glace refera­-t­-elle une apparition ?
     

    Et que devient le string ?
     

    A suivre au prochain chapitre…
     

    Qui contiendra…
     

    Je sais pas trop en fait.
     

    (Hey, on est au chapitre 62 ! Plus que 7 chapitres de retard !)
     

    C'est pour cette raison que…
     

    Je pense, à certains moments, quand j'aurais des chapitres déjà écrits, poster deux fois en deux jours.
     

    *cris d'étonnement de la part des lecteurs*
     

    Oui, je sais, déjà que j'ai du mal deux fois par semaine…
     

    Mais là, ça devient grave u.u
     

    On est en septembre les gens ! CI se finit en décembre ! Si je continue comme ça, je bouclerais jamais mon programme u.u
     

    (Bon, programme, programme… Je sais pas vraiment si cet arc est l'avant­-dernier ou l'avant­-avant­-dernier, mais passons)
     

    Pour en revenir au chapitre en lui­-même…
     

    Fran recommence à disparaître.
     

    Ohlàlà.
     

    Par contre, Bel est de plus en plus présent.
     

    Et Mammon dans tout ça ?
     

    Bin il filme pour plus tard. (souvenirs, souvenirs…)
     

    D'ailleurs, faut que je réussisse à les caser mes scènes V18.
     

    (Remarquez le pluriel)
     

    ('Fin j'en ai écris aucune, mais j'aimerais bien en faire plusieurs)
     

    (Quoi ? J'oublie quelque chose ?)
     

    (Un travesti ? Comment ça un travesti ?)
     

    (Un travesti pervers nécrophile ? Avec une alouette ?)
     

    (Mais non. Vous devez rêver. Jamais, jamais, JAMAIS, je n'aurais fait pareille chose)
     

    (Haha, PAS. DU. TOUT. Vous confondez avec quelqu'un d'autre, c'est obligé.)
     

    (Mon adresse ? Pourquoi ? …Des couteaux ?... Pour faire quoi…. ?)
     

    (…)
     

    (Reviews ? :3)
     

    (*part en courant*)
     

    (oh et, il faut dire que j'ai été surprise du nombre de choux de Bruxelles pervers composant mon lectorat. Mais étant donné que j'ai l'esprit ouvert, je ne vous rejetterais pas pour autant et vous dis un grand bonjour. pouvez­-vous maintenant aller vous rhabiller s'il
    vous plait ?)


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