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Chapitre 1 : Rencontre
Chapitre 1 : Rencontre
La première fois que ça m'est arrivé, j'étais plus surprise qu'apeurée. La première fois, j'ai pleuré, un mélange de tristesse, d'un sentiment de confusion, de curiosité et de colère, m'a fait pleurée. Mais la première fois que c'est arrivé, je t'es vu pleurant de peur, de tristesse et de confusion, je me suis approchée essuyant mes larmes, et fit un sourire attendrissant, touchant ton épaule pour te calmer. Quand tu m'as vu tu fut apeuré, mais je réussi à te faire comprendre que je n'étais pas un monstre. Quand tu compris cela, tu me sautas dans le cou tellement tu avais peur. Quand je voulus te prendre dans mes bras, je vis mes mains ensanglanter et ce sang ne venait pas de moi. Je compris pourquoi j'étais ici mais pas pourquoi le garçon qui était descendus entre-temps de mon cou étais là. Un garçon efféminé, faible et pourtant, il était ici, avec moi, dans cet endroit pire que l'enfer, c'était le pire endroit après la mort : l'entre-temps.
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Commentaires
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Poison City
Tokyo 2019
A moins d'un an des jeux Olympiques.
Le Japon veut faire place net,
Avant de recevoir les athlètes du monde entier.
Une vague de censure exacerbé s'abat dans le tout le pays,
N'épargnant aucun mode d'expression.
Dans ce climat suffoquant,
Un jeune auteur commence la publication d'un manga d'horreur ultra réaliste.
Une démarche qui va le précipiter directement dans un cyclone.
Plongée dans une atmosphère tendue, gangrenée peu à peu par la censure, la ville de Tokyo se prépare à accueillir les Jeux Olympiques de 2020.
Au milieu de ce contexte difficile qui n’épargne pas le manga, un jeune auteur voit son titre retiré de la vente…Tokyo, 2019.
À mois d’un an de l’ouverture des Jeux Olympiques, le Japon est bien décidé à faire
place nette avant de recevoir les athlètes du monde entier.Une vague de puritanisme exacerbé
s’abat dans tout le pays, cristallisée par la multiplication de mouvements autoproclamés de vigilance citoyenne.Littérature, cinéma, jeu vidéo, bande dessinée : aucun mode d’expression n’est épargné.
C’est dans ce climat suffocant que Mikio Hibino, jeune auteur de 32 ans, se lance un peu naïvement dans la publication d’un manga d’horreur ultra réaliste, Dark Walker.
Une démarche aux conséquences funestes qui va précipiter l’auteur et son éditeur dans l’oeil du cyclone…
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