Prologue : Le commencement de la fin

 Il était une fois à Namimori, une journée comme les autres.

Les oiseaux chantaient, les arbres semblaient briller, les passants joyeusement, et les commerces allaient de bon trains. Oui, tout était parfait dans cette paisible ville qu'est Namimori.

Mais pas totalement.

Voyez vous à Namimori, tout le monde se connaît. Si une telle personne à couché avec une telle personne, alors la petite veille qui n'a plus rien à faire de sa vie s'empressera d'aller le raconter à tout le voisinage.

Tout cela pour dire qu'il n'y a pas de secrets, à Namimori. Cela implique aussi cette belle famille Sawada dont tout le monde parle, admire, jalouse ou déteste. Hé oui, elle est aussi originale, la famille Sawada. Avec ses treize frères, le père et la mère complètement marginaux. Elle se détachait de tous non seulement par ses membres franchement étranges, mais aussi par le fait qu'ils habitaient dans un énorme manoir, au milieu de ces maisons modestes.

 Oh et il était de notoriété public, qu'elle était totalement trempée dans cette sordide mafia.

Effectivement, à Namimori, tout le monde savait que la famille Sawada était peuplée de mafieux. Mais à part le fait qu'ils reçoivent des individus suspects chez eux, qu'on voient les treize frères souvent sanglants pour des raisons qu'ils ignorent, et le fait que les dit treize frères se promènent avec des armes, tout était relativement normal.

Mme Sawada était amie avec Namimori en entier, son doux sourire charmait Homme comme Femme. Elle avait pourtant une apparence ordinaire, mais elle n'en restait pas moins magnifique. La gentillesse était une seconde nature chez elle, et on se demandait souvent ce qu'elle faisait dans cette famille de fous.

Ils feraient mieux de ne pas le savoir.

Mr Sawada n'était pas souvent là, toujours en mission, assumait les habitants de Namimori. Et pourtant, les rares  fois où il était présent, il ne donnait pas du tout l'impression d'un mafieux. Il agissait comme un collégien amoureux auprès de sa femme, martyrisait avec amour ses enfants, on ne le voyait jamais sans son grand sourire, et il voulait faire croire à qui voulait l'entendre qu'il n'était qu'un constructeur au pôle nord.

Quel idiot.

Les treize frères quand à eux étaient de véritables princes. Beauté, intellignece, force, charme, (même s'il était différent pour chaque personnage) richesse, ils avaient tout pour eux. Si on mettait de côté leurs caractère bien-sûr.

Sept d'entre eux accompagnaient souvent leurs pères, les six autres étaient beaucoup plus connus, surtout qu'ils étaient membres principaux du très fameux Host Club de Namimori High.

Une famille bien étrange mais sympathique, si ce n'est un peu folle. Voilà ce qu'en disait les gens. Ils pensaient tout savoir de cette famille, ils croyaient connaître tout leurs secrets. Ils disaient qu'ils avaient vus assez de folie et que rien ne pourrait plus les étonner.

Oh comme il ils avaient tords. La véritable folie allait juste commencer, et tout le cela grâce à une simple petite personne.

A minuit pile, la cloche sonna, plus forte et plus étrange qu'habituellement. Mais personne n'y accorda de secondes pensées.

Perchés sur un toit, leurs silhouettes éclairés par les rayons de lunes, deux étrangers souriaient. Le plus grand des deux, avait le sourire emplis de sadisme et de machiavélisme acquis avec l'âge. Son Fedora cachait son visage, ne laissant en place qu'une ombre intrigante mais effrayante. L'autre, plus petite et plus fine, semblaient sourire innocemment en premier lieu, mais ce n'était qu'une impression. Parce que quelque secondes après, la plus petite silhouette fut prise d'un rire démoniaque.

- Namimori... Nous voilà ∼

Et c'est sur ces dernières paroles presque chantonnées, les deux silhouettes disparurent dans un écran de fumée noire.

La tranquillité et la paix de Namimori étaient définitivement brisées.

 ... À suivre ...

 Dragonne : Cette histoire à été écrite par une autre personne que moi, donc toutes les reviews que vous laisserez lui reviendrons, je respectes les droits d'auteurs.

Dragonne : Ce qui revient à dire que c'est un bonus pour elle, ça lui fait juste des lecteurs en plus. (Et peut-être un malus, pour moi, car je dois tout réécrire). Bref, tout ce que change, c'est la correction pour les fautes, ni plus, ni moins. 

Dragonne : Donc aux prochains chapitres