• Un déjeuner danseuhnonsur la Tamise

    Himustu-chan : Et tadaaa, un nouveau chapitre ! Avec un peu de chance et d'inspiration, je réussirais à finir le 69 (wow ! Muku­chan déjà ?) demain ! Entre temps, je me contente de m'incliner profondément et d'exprimer toute ma reconnaissance (c'est que je sais parler quand je veux !) à MsAkabane, JuriiGothic, MissYZ, Ayui­Ayone, tahury et Naelye pour leurs mots adorables qui me remontent bien le moral et me boostent à chaque fois que je les lis ! Non je ne vous ai pas oubliés et je compte bien réussir à finir cet arc et à en caser un autre avant le 3 Décembre !

    Rar :

    MissXYZ : Un peu beaucoup ? Mais c'est carrément du foutage de gue*le complet x) Peut-­être qu'un jour Hiba-­chan grandira et comprendra que la vie n'est pas toute rose te qu'on ne peut pas toujours se fier à ce que disent ses amis… Moi je suis sûre que Yamamoto serait capable de sortir un truc du genre *boude* Même s'il a dû être aidé par la Dixième Génération au grand complet… Et merci ;)

    Disclaimer : Trouvez les auteurs des chansons si vous voulez, moi j'ai abandonné l'idée. Le pique­nique est véridique. Les vêtements ont été fabriqués chez Harold&Fils, couturiers pour mafieux depuis six générations. Et enfin, c'est Akira Amano qui a réussi à donner vie à tous ce joli petit monde qui peuple KHR! !

    Pairing : Les habituels, plus un léger Pigeon/18. Non, je blague… oupas. (première amorce de V18 ! sisisisiiiii !)

    Warning : Pique-­nique.

    Bon bin… Enjoy ? :3
    ­


    - S'il te plaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit.

    - Non.

    - Pleeeeeeeaaaaaaaaaaaaseeeeeeeeee.

    - Non.

    - Bitteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.

    - Non.

    - Alleeeeeeeeeeeeeez.

    - Non.

    - Pourquuuuuooooooooiiiiii ?

    - Parce que.

    - Le monde en a décidé ainsi. Il en est de ton destin. Alors résignes-­toi et acceptes-­le. Ainsi tu pourras confronter ta destinée, et la vaincre.

    - …

    - Ou échouer au choix, ushishi.

    Fran et Hibari regardèrent Bel qui venait d'arriver. Bel les regarda. Ils se regardèrent.
    ­

    - Donc je disais, reprit Fran. Je peux te faire des couettes ?

    ~**OoO**~

    Ce n'est qu'une fois le batracien et l'herbivore à frange sortis de sa chambre qu'Hibari pensa à regarder sa montre. 3 heures.

    Il se recoucha, sans vouloir penser à ce que fichaient ces deux-­là assis sur son lit à trois heures du matin. Et passa aussi sur l'affreuse migraine qui lui rongeait le crâne.

    Il s'était passé quoi la veille déjà ?

    ~**OoO**~
    ­

    - Tout le monde debout ! Babilla un Lussuria rayonnant en ouvrant grand les rideaux, un flot de lumière grisâtre se déversant dans la chambre. Allez, Hibari-­chan, Levi­-kun ! Ne faites pas vos paresseux ! Il est déjà tard !

    Hibari se roula en boule dans ses draps en grognant.
    ­

    - Si vous ne vous levez pas, je vais devoir appeler Squ-­chan, ou même Bossu-­chan pour qu'ils viennent s'en charger ! Continua Lussuria sur le ton d'une mère menaçant gentiment ses enfants.

    Hibari recracha tout l'air de ses poumons d'un coup alors qu'un poids énorme atterrissait sur lui.
    ­

    - Vous vous souvenez de ce qu'il y a aujourd'hui ? Fit le travesti, maintenant assis sur le ventre de l'alouette. La sortie à Londres ! Allez, debout gros paresseux !

    Hibari retint un gémissement de désespoir et chassa d'un geste qui lui était devenu habituel la main qui se faufilait sous son haut de pyjama.

    ~**OoO**~

    - T'as pas l'air dans ton assiette aujourd'hui, fit Squalo en guise de bonjour.

    Hibari lui lança un regard noir bordé de cernes et se laissa tomber sur le banc. Il mordit rageusement dans son bacon, regrettant qu'il n'y ait de céréales au chocolat que le mercredi. Dès qu'il serait à Londres, il s'en achèterait. Promis. Ragaillardi à l'idée d'avoir dorénavant des céréales quand il voudrait, il attaqua ses patates avec plus d'enthousiasme.
    ­

    - … balade sur la Tamise, puis on se répartira les mioches. On doit se retrouver à huit heures au point de rendez­vous. Pendant ce temps, vous faites ce que vous voulez – voi, ni les tuer, ni les torturer, ni les perdre, compris Bel ?

    Hibari prit le bacon de l'assiette de Squalo et le mangea tranquillement, essayant d'ignorer les regards étranges de l'herbivore Guduah non, Juliette (comment s'en souvenait-­il ? Mystère…) à la table d'à côté. Une sensation de malaise le saisit, et il la repoussa fermement. Mais elle revint à la charge quand il se rendit compte que le Roi des Singes était absent. Un haussement d'épaules, et la question était réglée. Qu'est­-ce qu'il en avait à faire de ce Singe de toute façon…
    ­

    - VOOOI QUI A PRIS MON BACON ?

    ~**OoO**~

    Squalo balança un sac à Hibari qui le réceptionna souplement et l'ouvrit (pour vérifier qu'il n'y ait pas de bombe/explosif/truc-susceptible­-de-­le­tuer à l'intérieur). Il fronça les sourcils en reconnaissant une de ses vestes imperméables, de l'argent et un livre.
    ­

    - Je me doutais que tu n'allais pas penser à prendre tes affaires pour le voyage, alors je t'ai préparé ton sac. Fit Squalo sur le ton de l'évidence.

    Hibari le dévisagea, les yeux ronds. Puis il lui dit, très sérieusement :
    ­

    - Ce n'est pas que je me soucie de ta santé, mais si tu ne te sens pas bien, tu devrais aller te reposer. Je suis sûr que si jamais tu mourrais, l'herbivore me tiendrait responsable de cette délivrance.

    Il fixa encore quelques secondes le requin afin de s'assurer que le message était bien passé, puis il s'éloigna. Squalo resta figé plusieurs minutes.

    Lorsque Fran vint se placer à côté de lui, il le regarda et demanda :
    ­

    - Tu crois que je pourrais demander des jours de congé à Sawada ?
    ­

    - Ça dépend combien, répondit la grenouille. Un jour, le Manoir serait à moitié détruit. Deux jours, on n'aurait plus de toit et tous les domestiques seraient morts. Trois jours et la ville d'à côté serait détruite par l'affrontement entre le Boss et Sawada. Quatre jours et la réputation de la Varia serait foutue pendant qu'on serait obligés de s'exiler au Pôle Nord pour échapper à la fureur de Sawada. (il
    réfléchit un peu) Je crois que deux jours c'est pas trop mal.

    Sur ce, la grenouille partit rejoindre son prince alors que Squalo se sentait envahi d'un mélange d'immense fierté et d'énorme lassitude.

    La fierté à l'idée que cette bande de fous ne pouvait pas tenir plus de deux jours sans lui.

    La lassitude pour la même raison.

    Il y avait vraiment des moments où il se disait que son karma était pourri.

    ~**OoO**~
    ­

    - Gipsy l'araignée ! Monte à la gouttièreuh ! Mais la pluie arriveuh ! Gipsy tombe par terreuh 

    Hibari gémit doucement et enfonça encore plus sa tête dans le siège, espérant ainsi occulter les braillements affreux que poussaient les soixante et quelques morveux du bus. Il lança un regard désespéré aux singes, qui ne semblaient pas se soucier du massacre vocal qui se déroulait sous leurs yeux, quand soudain tout se tut. Il ferma les yeux, prêt à pleurer de joie, goûtant à cette chose qui s'appelait "silence" et dont il était allé jusqu'à oublier l'existence.
    ­

    - TROIS P'TITS CHATS TROIS P'TITS CHATS, TROIS P'TITS CHATS, CHATS, CHATS ! CHAPEAU D'PAILLE, CHAPEAU D'PAILLE, CHAPEAU D'PAILLE, PAILLE, PAILLE ! PAILLASSON, PAILLASSON, PAILLASSON, SON, SON ! SOMNABULEUH, SOMNABULEUH, SOMNABULE, BUL, BUL !

    Hibari remonta ses jambes sur son siège et enfouit la tête entre ses genoux, ses mains plaquées contre les oreilles. Ses épaules tressautèrent de façon inquiétante et Mammon daigna lui jeter un regard.

    Il espérait que le brun ne craque pas pendant le voyage. Ils seraient obligés de s'arrêter et perdraient du temps. Or comme chacun le sait, le temps c'est de l'argent.

    ~**OoO**~
    ­

    - PETIT ESCARGOT, PORTE SUR SON DOS, SA MAAAAIIII­SOOOO­NNETTEEEEEEUH ! QUAND SOUDAIN IL PLEUT, IL EST TOUT HEUREUX, IL SOOOORT SA TEEEETEEEEUH !
    ­

    - Je promets d'être gentil, de me brosser les dents après chaque repas, d'arrêter de grignoter des céréales pendant la journée, de dire bonjour aux herbivores le matin, d'apprendre à danser, de ne plus mordre à mort l'ananas, de dire à Maman que je n'ai jamais porté les boxers qu'elle m'envoie chaque mois, de ne pas chercher à savoir pour la laisse, de manger cinq fruits et légumes par jour, et même de rendre sa tortue domestique au poulpe ! Mais pitiiiiéééé ! Arrêtez ça ! Sanglota presque Hibari, roulé en boule sur son siège.

    ~**OoO**~

    Le car s'arrêta enfin, en face du Musée de la Marine. Les morveux en sortirent les uns derrière les autres, bavardant gaiement, et chantonnant quelques airs à la mode. Squalo retira ses bouchons d'oreille, fit un sourire d'excuse au conducteur effondré sur son volant et descendit du véhicule, suivi par les autres membres de l'escouade. Hibari fut le dernier à sortir, le regard halluciné, le visage blême, les cheveux en bataille et un léger filet de bave coulant sur le menton.
    ­

    - C'est la chanson française, expliqua Mammon à ses collègues. Ça lui réussit pas.

    ~**OoO**~

    La troupe marcha quelques minutes le long d'une grande allée bordée d'arbres et de pelouse, avant d'arriver près d'un embarcadère. Squalo s'arrangea pour que les morveux restent en extase vingt bonnes minutes devant l'immense et merveilleux trois­-mâts grandeur nature qui surplombait le parc, donna une bouteille de gin à Xanxus, dégota un garçon avec qui Lussuria pourrait parler, fila un billet de cinq euros à Mammon, placarda une cible en papier sur le chapeau de Fran pour que Bel ne s'amuse pas à découper les civils en fines tranches de saucisson, fourra un chaton dans les mains d'Hibari et put aller discuter des derniers problèmes techniques avec l'homme qui gérait les traversées en bateau de la Tamise l'esprit tranquille.

    C'était dans des moments comme celui-­là qu'il se disait qu'il méritait vraiment une médaille – et pas en chocolat !

    ~**OoO**~

    Dès qu'Hibari posa un pied sur le pont du petit – tout est relatif ­ bateau à moteur qui allait leur faire visiter tout Londres en moins d'une matinée, il se sentit mieux. Le fleuve était de la couleur du ciel – un bleu pur et dégagé – et ondulait doucement sous la brise fraîche. Les gamins s'amusaient à faire coucou aux passagers des autres bateaux et commentaient le paysage, les singes étaient calmes et il avait des barres de céréales dans son sac. Oui, décidément, cette journée était bien partie pour être merveilleuse.

    Du moins jusqu'à ce qu'il sente une présence dans son dos et que deux mains se posent brusquement sur ses omoplates, le poussant par-­dessus la balustrade.
    ­

    - Oups, j'ai failli tomber, ushishi…

    Puis il n'y eut plus que l'eau, le froid, et l'affreuse réalité qui le frappa comme un éclair :

    Son sac n'était pas imperméable. Ses barres de céréales étaient fichues !

    ~**OoO**~

    Quand Hibari remonta sur le pont du bateau, dégoulinant d'eau, enrhumé et ses yeux brillant d'une lueur furieuse, Bel se dit qu'il avait somme toute mené une belle vie.

    Une vie courte, mais une belle vie quand même.

    ~**OoO**~

    Quand Hibari descendit se changer dans la seule pièce fermée du bateau, des petites toilettes, Xanxus se rendit compte que le brun allait se retrouver enfermé, nu, trempé et – presque – sans défense dans une petite pièce trop éloignée d'une quelconque forme de vie pour que quiconque puisse entende ce qui se passait à l'intérieur.

    Il se mit alors à invoquer tous les prétextes qui lui passaient par la tête, même les plus stupides ("J'ai envie de fromage. Je vais voir s'ils en ont en bas" "Je suis sûr que j'ai vu une chaussette noire traîner en bas. J'ai besoin d'une chaussette noire.") afin de descendre.

    Le temps qu'il se souvienne qu'il était le Boss et donc qu'il faisait ce qu'il voulait, quand il voulait, l'alouette revenait déjà, habillée de pied en cap, et entièrement sèche.

    Levi tenta de se suicider lorsqu'il se rendit compte que son Boss boudait malgré tous les soins qu'il lui avait prodigué (il lui avait même tricoté une chaussette noire !)

    ~**OoO**~ 

    Hibari engloutit vaillamment le pique­-nique qui leur avait été distribué au campus, soit un sandwich composé de pain (trop mou, trou écœurant) de fromage (coulant, puant et gras) de salade (sèche, décorée de tâches marrons et rongée par les limaces) et de tomates (vieilles, pourries et dégoulinantes), des chips (garantie 100 % goût carton-­pâte), une pomme (plus dure que du bois) et un biscuit au chocolat (qui ressemblait plus à de la crotte de chien, mais n'ayant jamais pu goûter ce met, il ne fit qu'émettre des suppositions).

    Il ne regretta jamais plus la perte du contenu de son sac qu'à ce moment. Et tous les efforts de Squalo pour garder l'escouade d'assassins avec tous ses membres, de préférence entiers, faillirent tomber à l'eau (hahaha) lorsque Bel se vanta d'avoir pensé à emmener un déjeuner de secours, contrairement à certains.

    ~**OoO**~ 

    Vingt bateaux salués, soixante trognons de pomme et une bonne dizaine de ponts plus tard, ils finirent par accoster à un quai qui était la parfaite copie du premier. Squalo guida ensuite la troupe vers un grand, graaaand, graaaaaaaaand, trèès graaaaaaaaand parc.

    Ils investirent toute une pelouse et les morveux partirent harceler le marchand de glaces qui avait eu le malheur de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment.

    Hibari s'allongea dans l'herbe, pensant avoir enfin le temps de faire sa sieste, quand une ombre s'abattit sur lui. Il ouvrit les yeux et combattit vivement le très mauvais pressentiment qui venait de l'envahir.
    ­

    - Comme tu n'as pas daigné nous faire honneur de ta présence, commença Squalo qui semblait être vraiment sur les nerfs, c'est à toi que revient la tâche de t'occuper du groupe des moins de douze ans pour les… (il regarda sa montre) sept heures à venir.

    Hibari ouvrit la bouche, et sentit un… truc… tomber sur ses cheveux.
    ­

    - Mais je te conseillerais avant tout de te trouver un endroit où te rincer les cheveux, fit le requin avec une apparente délectation. A moins que tu ne veuilles te balader avec un caca de pigeon sur la tête toute la journée.


    Himustu-chan : Nan, me tuez pas, c'est pas moi, c'est le pigeon qui s'est incrusté ! Je vous jure ! J'ai jamais voulu çaaaaa !

    Et si vous vous posez la question, oui, il y a bien une amorce V18 dans ce chapitre.

    Mais c'est juste une amorce. Une toute pitite amorce. Toute pitite pitite.

    Et pis vous savez quoi ?

    IL FAIT FROAAAAAD !

    Ca m'a choqué, j'avais oublié cette notion o.o En tout cas je peux vous assurer que courir sous la pluie sur une piste glissante c'est pas marrant marrant (ou pourquoi je suis dégoûtée de l'athlétisme à vie)

    Maintenant que l'instant de racontage de vie est passé, passons à des choses plus (ou moins) sérieuses.

    Les chaussettes noires c'est très important dans la vie. Pas de chaussettes noires, pas de vie. Vous achetez souvent des chaussettes ?

    Avertissement : l'eau de la Tamise est sale. Je vous déconseille donc de faire comme Hiba­-chan et de prendre un petit bain, forcé ou non, dedans.

    Si les puristes se demandant pourquoi Hiba-­chan n'est pas atteint par cette eau, je vous répondrais : Hiba-­chan est Hiba-­chan.

    Tsuna n'était pas très présent dans ce chapitre. Je vais essayer de faire en sorte que ça s'arrange.

    D'ailleurs, je pense qu'il serait bon de vous prévenir (parce que j'ai plus d'inspi alors je case les infos­pas­importantes­dont­tout­le­monde­se­fout pour faire quelques lignes de plus) que cet arc sera bientôt fini (dans approximativement deux ou trois chapitres (que
    je vais essayer de poster entre aujourd'hui et mercredi)). Adieu English, adieu gosses, adieu sandwichs dégoûtants ! (cet épisode est véridique)

    On passe à une sombre histoire d'enlèvement, de meurtres, de chantages, de disputes tragiques, de sang, bref un thriller comme on en voit à tous les coins de rue ! Il y aura même… *roulement de tambours*… UN ONGLE CASSE !

    Non, s'il vous plait, ne vous évanouissez pas. Je sais, c'est horrible, et je m'en voudrais terriblement si vous me dites qu'à cause de moi vous avez fait des cauchemars. Mais dites­-vous qu'ainsi vous serez préparés au pire.

    Je vous laisse donc sur cette note tragique… Et au passage, Happy Birthday (en retard, mais c'est un peu ma marque de fabrique) à Tsutsu et Reborn !


  • Commentaires

    1
    Mardi 8 Mars 2022 à 01:01
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