• Substition

    Himustu-chan : ON A GAGNE ON A GAGNE ON A GAGNEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !

    PROFS BATTUS POUR LA PREMIERE FOIS DEPUIS QUE LE TOURNOI A COMMENCE IL Y A TRENTE ANS !

    VIVE LES 3C !

    Hum hum. Sorry. Chuis juste trop contente d'avoir gagné le tournoi de volley d'hier.

    Je me suis sentie trop comme Tsutsu. Vous savez, au début du manga, quand il a son match de volley.

    Non, je n'ai pas eu de balle spéciale dans les jambes, et non je n'ai pas sauté assez haut pour bloquer la balle avec mon entre-jambe.

    'Pas maso non plus.

    Mais j'étais quand même censée être une merde à ce sport et je fais partie de l'équipe qui va devenir une légende dans mon collège.

    Oh mon diable, la vie est belle.

    A part ça, je meurs de fatigue. Donc je vais juste dire merci à tahury et Sayuki-­chan. Et faire le reste demain.

    Bon bin... Enjoy ! :) ­


    - Tu lui as dit ? ­

    - Non. ­

    - Je peux lui dire ? ­

    - Non. ­

    - Pourquooooiiii ?

    - Hisaya. Ce n'est pas une attitude que doit adopter­-

    - … un Hibari, blablabla. Alleeez, souris un peu Byakuya-­nii-­san ! Père et Mère ne sont pas là ! Alors Kyôya-­nii ? Je peux lui dire ? ­

    - Non. ­

    - Dire quoi ? ­

    - Que son mariage avec Squ-­hmmphph ! Kyô-mphff ! Lmpf-­momph !

    Byakuya haussa un élégant sourcil et se tourna vers son frère qui continuait à asphyxier comme si de rien n'était son autre frère tout en essayant une cravate. ­

    - Tu devrais mettre celle-­là ! S'écria Kyôko en lui tendant une cravate grise. ­

    - Non, celle-­là ! L'imita Haru en tendant une autre cravate… grise.

    Byakuya plissa des yeux. Ça n'allait pas. ­

    - Plutôt celle-­là, conseilla-t-­il à son frère en lui tendant une cravate grise.

    Kyôya haussa à son tour un sourcil. Il avait loupé les cours sur l'art des vêtements en fuguant, mais apparemment son grand frère non.

    Enfin, au moins le sujet lancé par Hisaya avait été évité. Hisaya qui ne bougeait presque plus d'ailleurs remarqua-­t-il en se saisissant d'une cravate au hasard – il ne voyait aucune différence entre les trois de toute façon. ­

    - Alors ? C'est quoi ce que tu ne veux pas dire à propos de ton mariage et de Squalo-­san ? Demanda Byakuya.

    - … ­

    - Hibari-­kun, les cravates ne se mettent pas à la ceinture tu savais ?

    ~**OoO**~ ­

    - Ça ne te regarde pas. ­

    - Et Hisaya ?

    - … ­

    - Dis. ­

    - Non. ­

    - Dis. ­

    - Non. ­

    - Dis. ­

    - Non.

    - Dis. ­

    - Non. ­

    - Dis. ­

    - Non. ­

    - Dis. ­

    - Non. ­

    - Dit Hibari-­kun, vous parlez du fait que ton mariage avec Squalo-­san n'est qu'une blague ou c'est autre chose ? Interrogea en toute innocence Kyôko qui vérifiait si Hisaya respirait toujours.

    - …

    - …

    - …

    - …

    - …

    - Comment ça "une blague" ? Fit Byakuya d'un ton un peu trop doucereux pour ne pas faire peur.

    Kyôya commença à reculer vers la porte.

    ~**OoO**~

    - Oui enfin voilà on trouvait ça amusant et puis ça me permet de me venger de l'herbivore qui m'avait presque humilié et­-

    - Kyôya. Un Hibari-

    - Ne fait pas de blagues ! Mais Kyôya-­nii a renié le nom des Hibari alors ce n'est pas si grave, intervint joyeusement Hisaya.

    - Un point pour Hisaya-­kun, arbitra Haru.

    Byakuya lui lança un regard noir. ­

    - Et puis, tu devrais être plutôt content Byakuya-­nii­-san, continua Hisaya tout en acceptant le verre d'eau offert par la brune. Ça veut dire que Squalo-­san est libre. ­

    - Et ? Demanda l'aîné, redoutant presque (parce qu'un Hibari ne redoute rien) la réponse. ­

    - Et tu ai­-

    - Rien du tout, coupa Kyôya, une main sur la bouche de son petit frère. Absolument rien. …Tu es dégoûtant, finit-­il à l'adresse de son cadet.

    Lequel résista à l'envie de lui tirer la langue. Et lui tendit une serviette afin qu'il puisse s'essuyer la main qu'il avait léché.

    Aucun frère ne comprit pourquoi les deux filles s'étaient mises à saigner du nez.

    ~**OoO**~

    Kyôya jeta un coup d'œil à la petite salle qui se remplissait lentement. Ses parents étaient là, au premier rang, terrifiant tous les herbivores en un seul regard.

    Ses parents. Ceux qui l'avaient élevés pendant cinq ans. Qui avaient crus en lui – lui, bien plus fort et plus "Hibari" que son grand frère. Ceux qu'il avait déçu en partant. Ceux à qui il avait promis qu'il réussirait à se débrouiller seul, sans avoir jamais besoin de l'aide de personne, sans être jamais entravé par un quelconque lien – promesse, dette. Ceux à cause de qui, grâce à qui, il avait dû, à cinq ans, se construire une cabane précaire, trouver de l'argent pour manger, et se battre, se battre, toujours se battre, contre ceux qui le menaçaient, contre ceux qui étaient "méchants" d'après sa perception d'enfant, et sur qui il trouvait souvent de l'argent. Puis contre ceux qui menaçaient sa ville, la ville qui l'avait accueillie. Des herbivores, de plus en plus forts, sur qui il s'entraînait, sur qui il progressait, pour prouver à ses parents qu'il n'avait besoin de rien.

    Et voilà que maintenant, après une vingtaine d'années, il se trouvait membre de la plus puissante famille mafieuse, considéré comme le plus fort de ses Gardiens, et allait se marier – enfin, simuler son mariage – avec l'ex-­Empereur de l’Épée.

    Pas mal pour un gamin fugueur.

    ~**OoO**~

    - Je ne veux plus le faire. ­

    - Hein ? ­

    - Je ne veux plus me marier avec l'herbivore bruyant, répéta Kyôya en se tournant vers ses frères. ­

    - Mais… après tout ça… tu… Balbutia Hisaya. ­

    - Donc il faut quelqu'un pour le faire à ma place, continua le cadet, un rictus commençant à se former sur son visage. Quelqu'un qui en ait envie. ­

    - Donc pas moi, fit lentement le plus jeune qui commençait à comprendre.

    Les deux se tournèrent vers Byakuya. ­

    - Nii-­san ?

    L'aîné de la fratrie regarda son plus jeune frère lui faire des yeux suppliants. Puis l'autre qui le dévisageait, presqu'impassible – parce qu'il voyait bien, lui, l'étincelle moqueuse dans les yeux bleus glacés.

    Il aurait vraiment dû écouter son instinct et ne pas venir à ce *biip* de mariage.

    ~**OoO**~ ­

    - Làà ! C'est par~fait ~ ! Minauda Kyôko en s'éloignant pour admirer le résultat. ­

    - Ah ? Ils se ressemblent tant que ça ? Demanda Hisaya en dévisageant tour à tour Kyôya et Byakuya. ­

    - C'est absolument impossible de les distinguer l'un de l'autre, lui assura Haru.

    Byakuya haussa un sourcil dubitatif, doutant du fait que de simples lentilles puissent le changer en son frère. ­

    - Vous ne vous rendez vraiment pas compte d'à quel point vous vous ressemblez ? Interrogea la rousse en les regardant les uns après les autres.

    Les trois frères secouèrent la tête de gauche à droite en parfaite harmonie.

    Les filles soupirèrent.

    ~**OoO**~ ­

    - Bien ! On va faire un test ! Annonça Haru. ­

    - Huh ? Un test ?

    - Oui ! Sourit la jeune brune, avant de sortir dans le couloir et d'en ramener un Dino tremblant. ­

    - Bien, alors, Dino-­kun, toi qui a entraîné Hibari-­kun pendant tant de temps, toi qui connaît chaque détail de lui, que ce soit de sa façon de combattre ou d'embrasser, toi qui a été le premier à lui faire découvrir le péché de la chair­-­

    - Euh oui je crois que c'est bon là non enfin euh on a compris pas la peine de continuer merci beaucoup, dit précipitamment le Cheval Ailé devant les auras noires qui émanaient de deux des jumeaux (le troisième ayant au contraire des étoiles dans les yeux). ­

    - Donc, dis­-nous lequel de ces trois-­là est Hibari Kyôya. Lui ordonna Haru.

    Le blond s'approcha, tremblant, des frères. Mais, comme toujours, il se prit les pieds dans le tapis (qui pourtant ne comportait aucun pli), se raccrocha à une petite table sur laquelle était posé un vase d'une valeur inestimable et renversa les deux, brisant le vase et mouillant un des bruns.

    Ça aurait pu être pire, pensa Kyôya en regardant sa chemise trempée et maintenant transparente. Au moins son pantalon lui restait opaque...

    ~**OoO**~

    - Euh... Je... Je peux donner ma langue au chat ? Tenta le blond. ­

    - Non. Répondit fermement Kyoko. ­

    - Ah euh... je dirais... lui ? Non, lui. Quoique... Peut-­être, s'ils se déshabi-

    Dino n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'un violent coup de tonfa le propulsa dans le couloir. ­

    - Le test est réussi ! Annonça la rousse tout sourire. Byakuya-­kun, tu es le portrait craché d'Hibari-­kun ! ­

    - Je me demande si vous devez prendre ça comme un compliment, marmonna Fran.

    - ... ­

    - ...

    - ...

    - ... ­

    - ...

    - ...

    - Je peux savoir ce que cette grenouille fout là ? Demanda Hibari en détachant bien les mots, une veine pulsant sur son front.

    ~**OoO**~

    L'orchestre commença à jouer comme les futurs mariés apparaissaient, à l'opposée l'un de l'autre. Ils s'avancèrent lentement, majestueusement, suivis par leurs demoiselles et garçons d'honneurs.

    Pour reprendre un expression d'herbivores, Byakuya ne le sentait pas. Mais alors vraiment pas.

    Il était censé être calme. Très calme. Ne jamais broncher. Comme son frère. Alors pourquoi Est-­ce que son cœur battait si vite ? Pourquoi avait­il tant de ma à contrôler sa respiration ? Et pourquoi ce mauvais pressentiment, accentué par le rire étrange et étouffé qui résonnait quelque part, non loin de lui...

    Son pied dérapa sur quelque chose de gluant. Sa jambe gauche partit vers le haut, tandis que la droite basculait vers l'arrière. Il essaya de se reprendre, battant des bras dans l'air, mais ne réussit qu'à glisser dans le sens inverse. Et lorsque son visage heurta douloureusement le tapis rouge et gluant, il se dit qu'il aurait vraiment, vraiment, dû refuser de venir à ce mariage.

    ~**OoO**~ ­

    - Je met 7 à l'alouette paysanne. Et 5 au requin paysan. ­

    - Pourtant sa cascade était plus belle que celle d'Alouette­-san. Il a faille se casser la jambe. ­

    - Ushishi, je sais. Mais j'l'aime pas.

    ~**OoO**~ ­

    - Là, c'est bon. On a nettoyé le tapis. Ça ne glissera plus. Tu n'as plus rien à craindre Byakuya-­kun !

    - C'est facile de dire ça quand on est derrière, grommela l'interpellé en tâtonnant du pied devant lui. ­

    - Mais si, tu vas voir, tout va bien se passer ! ­

    - Mouais, marmonna Byakuya, pas convaincu. ­

    - Je vais reprendre ma place cette fois Byakuya­-nii­-sama, dit Kyôya.

    ~**OoO**~

    Quand les boules au-­dessus d'eux s'ouvrirent, déversant des dizaines d'œufs crus sur les fiancés-­qui-­essayaient­-de-­se-­marier, Kyôya se dit que se serait son premier et dernier geste altruiste de sa vie.

    ~**OoO**~ ­

    - Avant toi, le monde était gris. Avant toi, rien n'avait de saveur. Avant toi, mon existence n'avait pas de sens. Puis je t'ai vu et tu étais le rayon de soleil qui transperce les nuages, le sucre et le sel des aliments. Je t'ai vu et j'ai éprouvé un bonheur intense ainsi qu'une douleur incommensurable car en partant tu avais emporté mon cœur. Mais tu es là, maintenant, devant moi, et rien ne compte plus pour moi que­-

    - OUI BON TU TE GROUILLES UN PEU ON VEUT MANGER NOUS ! ­

    - FUCK, FERME-­LA UN PEU J'ESSAYE DE ME MARIER TU VOIS PAS ?

    ~**OoO**~ ­

    - Ne fais pas attention à cet idiot, reprit Squalo beaucoup plus doucement en se retournant vers Byakuya­-déguisé-­en-­Kyôya. Je disais, tu es là, maintenant, devant moi, et rien ne compte plus pour moi que de pouvoir te parler, te regarder, t'admirer, et, si j'ose... te toucher ainsi, finit-­il en prenant la main du brun. Enfin, que dois-­je dire de plus pour que tu comprennes ? Je t'aime, je t'aimerais, et je veux passer le restant de mes jours à tes côtés, B-­Kyôya...

    Byakuya retint le rougissement qui menaçait de recouvrir ses joues et ouvrit la bouche pour déclamer à son tour ses vœux de mariage. Quand...

    - A L'ATTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAQUUUUUEEEEEEEEEEEE ! ­

    - Ushishi, les paysans sont plus amusants que ce que je pensais ~

    ~**OoO**~

    Kyôya enfouit sa tête dans sa main. Est-­ce que quelqu'un pouvait lui expliquer pourquoi, au nom du ciel POURQUOI, son frère était en ce moment enseveli sous l'herbivore base-balleur, l'herbivore roux, et le canasson ? Et POURQUOI il se tordait dans tous les sens, une main sur la bouche, les joues rouges, les yeux fermés... et sa chemise à demi-­relevée ?

    Oh non. Il ne pouvait pas voir ça. Quels idiots... Mais QUELS IDIOTS !

    ~**OoO**~

    Dino, Yamamoto et Enma avaient le résultat de leur expérience. Hibari était bel et bien chatouilleux. Et, se dirent-­ils, ça valait sûrement les triplés, l'homme et la femme effrayants aux auras terrifiantes qui se tenaient devant eux, armes sorties... n'est-­ce pas ?

    ~**OoO**~

    - Euuuh... Excusez-­moi...

    La voix résonna dans la chapelle et toutes les têtes se tournèrent vers l'homme qui se tenait devant le micro. Un monstre Ce fut la pensée générale. Parce que c'était humainement impossible de survivre à la famille Hibari au complet en colère. Et pourtant, c'était bien Dino qui se tenait devant eux. ­

    - Euh... je voudrais juste savoir si vous aviez par hasard aperçu une tortue, pas plus grande que ça, avec une carapace hérissée de pointes, non loin d'ici ? Je la cherche depuis quelques temps, donc si vous pouviez me dire si jamais vous la voyiez... s'il vous plaît... ­

    - Tiens, il commence à pleuvoir, marmonna Colonnello, accoudé à la fenêtre.

    Un rugissement monstrueux résonna au dehors. ­

    - Quel idiot. Mais quel idiot. Répéta Gokudera en se frappant la tête contre le mur.


    Himustu-chan : Fuck les gens ! Je suis crevééééééééeeee... Totalement crevée... à plat, plus d'air, plus de forces, et j'ai le brevet demain...

    Vous savez quoi ? Je veux me réveiller demain avec Hiba­-chan dans mon lit.

    Hiba­-chan nu dans mon lit.

    Et Muku­-chan aussi.

    Et même qu'Hiba-­chan aurait mal au bas du dos.

    C'est bon, j'ai mon appareil photo à portée de main.

    Non, je ne suis pas une évadée de l'asile psychiatrique du coin.

    Je suis une PATIENTE de l'asile psychiatrique du coin.

    *PAN*

    Ou sinon, c'est vraiment un gros bordel ce chapitre.

    Fran est partout. Fran sait tout. Fran est omniprésent.

    FRAN EST UN DIEU MWAHAHA

    Take­-chan, Dino-­chan et En-­chan sont masos ET suicidaires. C'est tout ce que je trouve comme explication.

    Muku­-chan est pas apparu dans ce chapitre. Pauvre ananas.

    C'est moi ou on n'a vu Reborn que pendant l'arc de la chasse au trésor ? Et en plus c'était des courtes apparitions...

    Je sens qu'un tueur à gages sexy et fou de rage va bientôt débarquer pour me tuer.

    Tant pis. Je le mettrais dans le lit avec Hiba­-chan et Muku­-chan.

    VIVE LES THREESOME AVEC HIBA-­CHAN EN DOMINE !

    Ou encore, je propose de faire un OS à chaque personne qui commentera le chapitre dans lequel on atteindra les 200 reviews.

    Oui, un OS par revieweur.

    Non, je suis pas folle. Juste crevée.

    Et puis y'aura trois semaines pendant lesquelles j'aurais rien d'autre à faire qu'écrire.

    Donc, l'OS de son choix. D'après mes estimations, ce chapitre devrait arriver dans deux/trois voire quatre chapitres.

    A vos claviers les gens.

    (allez ! plus que 7 reviews ! vous pouvez le faiiiireee !)

    Good bye, girls. I love you.

    (ça fait trop drama, vous trouvez pas ? "Ah oui, je vais mourir dans quelques secondes. Oh, et je voulais juste te dire, je t'aime. Zut, il nous reste pas assez de temps pour coucher ensemble"

    C'était le tragique vu par Himutsu.

    J'attend de trouver Hiba-­chan et Muku­-chan au réveil. Croisez les doigts pour moi.)


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