Chapitre 5 : Tempête rageuse

Titre : Namimori High School Host Club/Version Révisée/

Paring : All27 of course

Rating : K+ -T

Disclaimer : Les persos ne m'appartiennent pas, ils sont a Amano-sama ! :D !

Note : Merci à ceux qui lisent, qui mettent en favoris, qui suivent et qui commentent cette fic !

Hormis le fait que Mochida sois un véritable idiot ... Il est plutôt mignon pas vrai ? *-*

Warning : Des vilains mots. D: Vers la fin, et pas beaucoup, mais des vilains mots quand même. x_x

Please enjoy ! *bow*

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Chapitre 5 : Tempête rageuse

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Il était une fois à Namimori, une tempête solitaire

Une paire d'yeux couleur chocolat miel et une autre couleur forêt rageuse se croisèrent en un instant et ne se lâchèrent plus, dégageant autour d'elles une aura tendue, pleine de doute.

Gokudera fronça les sourcils, lançant un regard de tueur au plus petit qui, en retour, ne fit que croiser les bras. Même si Gokudera n'était pas bien grand, si on le mettait face à Tsuna la différence était évidente, mais le petit châtain malgré sa petite stature tint fermement sa position, une aura de ... de puissance autour de lui qui ne fit qu'énerver le plus grand.

- Qui t'es à la fin ? Grogna Gokudera sans tourner autour du pot.

Le plus petit ne répondit pas au début, ne faisant que l'observer et Gokudera s'apprêta à répéter sa question beaucoup plus agressivement, quand Tsunayoshi ouvrit la bouche.

- Pourquoi es-tu donc si énervé ? toujours ... coléreux.

Le plus grand, surprit par la question resta sans voix et Tsuna ne s'arrêta pas là.

- Pourquoi sembles tu détester le monde ? Pourquoi t'isoles tu ? Tu as pourtant une famille et de quoi être heureu-

- LA FERME !

Tsunayoshi ferma brusquement les yeux de douleur quand Gokudera l'attrapa violemment par les épaules et le plaqua au mur, son visage à seulement quelques centimètres du sien. Il pouvait sentir le souffle chaud du plus grand sur ses lèvres mais en ouvrant les yeux, il put voir à quel point ses yeux verts étaient froids.

- Tu ne sais rien. Tu n'es qu'une stupide gosse de riche qui a dû supplier son papa pour être dans le club et qui pense tout savoir de nous.

- Je ne­-

- Mais tu ne sais rien, coupa Gokudera d'un air tranchant, et il vaut mieux que tu te mêles de ce qui te regarde. Sinon ...

Il se rapprocha encore plus, et lui murmura à l'oreille.

- Tu risques de le regretter.

Et aussi rapidement qu'il s'était approché, il recula. Il lui lança un dernier regard méprisant puis s'en alla pour de bon, une cigarette entre les lèvres.

Tsuna glissa doucement au sol, et relâcha un souffle qu'il ne pensait pas avoir retenu. Pour une raison inexplicable, les mots de Gokudera l'avaient plus touché qu'il ne l'aurait pensé. Il était triste pour lui, et pour la souffrance qu'il devait porter en lui.

Il serra les poings. Ses yeux brillèrent d'une lueur orange l'espace d'un instant, un orange presque rouge et agressif.

Mais il était aussi en colère. Gokudera pensait­être le seul à souffrir ? Il pensait porter le malheur du monde sur ses épaules ? Il pensait que Tsuna était une salle gosse de riche comme toute ces autres dans ce stupide lycée ?

Lentement, il se releva et regarda la direction dans laquelle Gokudera venait de partir. Il allait lui prouver ce qu'il valait, et Gokudera allait se mordre les doigts de croire qu'il le connaissait.

D'un pas sûr et silencieux, il décida de rentrer chez lui, histoire de réfléchir un peu.

Perdu dans ses pensés, il ne remarqua pas cette paire d'yeux bleu nuit et rouge sanglant le regarder partir d'un air indéchiffrable.

xxxxx

- Tsunayoshi ! Cria une voix derrière lui, alors qu'il allait franchir les portes du lycée. Le petit châtain se tourna.

Il eut un petit sourire et pencha la tête sur le côté en voyant le grand brun courir vers lui, le souffle labouré et les joues rouges.

- Bonjour Mochida­-kun. Il pencha la tête légèrement sur le côté, quelque mèches chocolat tombants sur ses yeux, brillants d'une lueur amusée.

Le dit Mochida déglutit et après un petit silence, baissa la tête brusquement.

- Je suis désolé pour la dernière fois ! Cria t­il.

Tsunayoshi sursauta légèrement. La dernière fois ... ?

Oh.

Flashback

Tsunayoshi plissa les yeux et lança un regard exaspéré au capitaine du club de kendo, qui lui lança lui même un regard noir. Ils se trouvaient dans le club, pour un duel suite à un malentendu. ­

- Comme je te l'ai dit, il n'y a rien entre Kyoko et moi ! Cria Tsuna, frustré.

- J'te crois pas ! Prépare toi ! Répliqua Mochida tout aussi fort, il avait fini de mettre son armure et était bien décider à mettre Tsuna au tapis. Contrairement à ce que Tsuna aurait cru, le grand brun avait tout de suite deviné qu'il n'était pas une fille.

Un silence tomba, et Tsuna ne sut quoi faire de la situation dans laquelle il était. Il soupira, replaçant une mèche rebelle derrière son oreille lentement.

Les 3 acolytes de Mochida s'approchèrent, lui présentant une armure et s'excusant d'un air penaud. Le petit brun haussa les sourcils.

- Hey ... Ce n'est pas votre faute.

L'un des trois soupira en lançant un petit regard coléreux à Mochida. Celui ci ne fit que renifler prétentieusement. ­

- Malgré son caractère de cochon c'est notre ami, et nous sommes tout de même responsables de lui, murmura t-il doucement.

Tsuna lui sourit gentiment, et le petit blond sentit une petite chaleur dans son cœur.

Ils furent tous choqués quand Tsuna repoussa l'armure d'un geste délicat, ne prenant que la katana en bambou. Il desserra la cravate de son uniforme lentement, montrant une petite parcelle de sa peau de porcelaine.

- Je peux te mettre au tapis sans même que tu ne t'en aperçoive. Dit-­il placidement, un petit sourire malicieux aux lèvres. ­

- Toi ... grogna Mochida.

Les trois autres les regardèrent se mettre en place nerveusement, leur regard passant de l'un à l'autre comme s'ils regardaient un match de tennis.

- Hajime !

Aussitôt, Mochida se jeta sur Tsunayoshi, plaçant des coups rapides et précis, surprenant le petit brun. Celui ci évada les coups rapidement sans jamais répliquer, énervant le capitaine qui ne faisait que s'épuiser. ­

- Oï ! Combats moi réellement ! cria t­il en lui lançant un regard noir. Tsuna le regarda pendant un long moment, comme s'il menait une bataille intérieur. Puis sans aucun bruit, il se retrouva derrière Mochida en une seconde.

- Qu'est ce-

BAM.

Silence.

Les trois spectateurs ouvrirent et refermèrent la bouche, plus que choqués. Mochida était étalé sur le dos, Tsuna assis sur lui et l'épée en bambou pressé sur sa gorge. Il ouvrit grand la bouche, comme pour protester mais il referma la bouche aussi rapidement, préférant observer le petit brun silencieusement. Celui ci se rapprocha et murmura doucement. ­

- Il n'y a rien entre Kyoko et moi.

- Mais tu-

- Je suis gay, Mochida­-kun ~ dit-­il gentiment, un sourire adorable aux lèvres.

Flashback­-End

Il posa les mains sur les joues du grand brun, appréciant la chaleur sous ses paumes et le frisson qui le traversa. ­

- Tsunayoshi ... ?

Celui-ci lui lança un regard amusé.

- Heh, on s'appelle déjà par nos prénoms Ken-­su-­ke ? murmura t-­il doucement

Une violente couleur rouge prit possession des joues du capitaine du club de kendo et il releva la tête brusquement. ­

- Non ce n'est pas-

- Je ne faisais que te taquiner. Héhé ~

Mochida soupira.

- Tu es un véritable petit démon, en fait.

Tsuna lui lançant un regard innocent.
 

- Moi ?

Mochida le regarda, blasé, et Tsuna ne fit qu'hausser les épaules. ­

- Bref, ne t'inquiète pas pour la dernière fois. Kyoko est toute à toi.

- Elle ne m'intéresse pas. Et ne m'as jamais intéressé. Lâcha t­-il brusquement, avant de partir en courant.

Tsuna le regarda partir, trop choqué pour parler.

Qu'est ce qu'il vient juste de se passer ?

Il repartit pour de bon cette fois ci, les pensées en pagailles et Gokudera presque oublié. Pourquoi est ce que tout devait être aussi compliqué ? Et il allait sûrement se faire réprimander par Mukuro pour avoir sécher.

Rien qu'en y pendant, il avait déjà des frissons d'effroi.

Ou d'autre chose ?

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Tsuna laissa échapper un soupire frustré. Gokudera semblait employer toute son énergie à l'éviter aujourd'hui. Il avait essayé de lui parler en arrivant en classe, mais l'autre s'était échappé en toute subtilité et à chaque fois qu'ils se croisaient dans les couloirs et que Tsuna ouvrait la bouche pour l'appeler, il faisait comme si le petit châtain n'existait pas et faisait tout de suite demi-­tour.

Inutile de le dire, toute ces gamineries commençaient à sérieusement énerver Tsuna et il n'était vraiment pas d'humeur à sourire et à illuminer quoi que ce soit. Les élèves qui le croisaient prenaient bien soin de l'éviter mais ne pouvaient pas retenir un frisson d'appréciation. Comment dire, un Tsunayoshi de mauvaise humeur était un cool et dark Tsunayoshi aux regards de tueurs plus qu'attirants.

Quel bande de masochistes.

Bien entendu, ils se gardèrent de le lui dire et s'éloignaient juste de son chemin avec des hochements de têtes nerveux. ­

- Alors Gokudera ? Yamamoto n'est pas avec toi on dirait ...

Une voix railleuse suivis de rires débiles attira l'attention de Tsunayoshi et il regarda autour de lui, puis finis par trouver un groupe d'élèves de troisième année, entourer Gokudera dans un coin isolé du grand jardin.

Ils étaient six contre une seule personne, nota Tsuna en plissant les yeux. A pas silencieux, il se rapprocha de la fenêtre et tendit l'oreille. ­

- Ouai et qu'est ce que c'peut vous faire bande de merdeux ? Cracha Gokudera d'un ton méprisant. Apparemment, sa mauvaise humeur d'hier était toujours présente. ­

- Fais gaffe à c'que tu dis fils de pute ! Cria l'un d'eux en sortant un couteau.

Les yeux de Gokudera s'élargirent et soudain, l'air autour d'eux changea, chargé de haine. ­

- Qu'est ce que tu viens de dire ... ? Murmura calmement Gokudera, bien trop calmement pensa Tsuna en se rapprochant un peu plus.

Les autres ne semblaient pas avoir remarquer le changement d'atmosphère et ils commencèrent à rigoler. Des rires moqueurs. ­

- L'école entière le sait pauv' naze ! T'devrais pas être ici t'as juste eu d'la chance qu'les Vongola prennent pitié d'un bâtard d'ton genre !

D'autres remarques toute aussi blessantes les une que les autre suivirent et finalement, Gokudera craqua. ­

- ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE ! Soudainement, des bombes étaient dans ses mains et sans les laisser le temps de s'enfuir, il les lança vers eux à une vitesse hallucinante. Ils commencèrent à paniquer et essayèrent d'évader les bombes comme ils pouvaient, mais elles continuaient à pleuvoir encore et encore. ­

- Crevez ! Double bombe ! Gokudera en lança encore plus, mais malheureusement, l'une d'entre elle lui échappa et tomba à ses pieds, comme au ralenti. ­

- Merde. C'en est finit d'moi ... Les seniors profitèrent de cette opportunité et prirent leurs jambes à leurs coups, sans un regard en arrière.

Gokudera ferma les yeux, attendant patiemment sa mort.

Ma vie a été merdique pas vrai ? J'suppose qu'ils n'ont pas tord ... Je ne suis qu'un bâtard après tout.

Il entendit la bombe exploser mais au même moment, il sentit des bras fin l'entourer et le propulser avec une force incroyable sur le côté.

L'explosion retentit et cette partie du jardin fut complètement détruite, mais miraculeusement, il avait survécut, les sens envahis d'une odeur de vanille plus que plaisante. ­

- Est ce que ça va ? Demanda une voix délicate, qu'il ne connaissait que trop bien. Ses yeux s'écarquillèrent en voyant Tsunayoshi au dessus de lui, ces grands yeux chocolats qu'il était venu à détester ces derniers jours et qui maintenant lui procurait tellement de chaleur le regardait, sans aucune émotion.

Mais plus important ... ­

- T'es un mec ?!

Tsuzuku ...

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 Queen-Disturbed-Haruka : Note de fin de chapitre : Et voilà ! Cette fin est plutôt sadique huh ? Oh well ! Il aurait dû être plus long mais ça ne le faisait pas alors j'ai coupé. C: Je dois vous avouer avoir été un peu déçue de ne recevoir que trois review, et ça ne m'a pas bien décider à continuer. :x Mais celles qui ont pris un bout de temps pour me laisser leur avis, je les en remercie ! Vous m'avez motivé. ;D

Queen-Disturbed-Haruka : Review ? 'w'

Dragonne : Je suis navrée un problème à surgie lors de la mis en page et je ne peu rien faire même en appuyant sur "au centre", "justifié", je suis navrée mais il va falloir supporter cette lecture-là.