• Lecfan : Merci à DragonneYukkin/ 16Amour16/ paquerette san/ Yuki-jiji pour leurs commentaires

    A/N : Cette fanfiction se passe environs deux mois après la bataille des représentants des arcobalenos.

    Pensée / Italien


     Voyage des Vongola


    Chapitre 3 : La ville et ses dangers

    - Attrape-moi, Tsuna ! Ordonna Luna en courant.

    - Capturée ! Déclara Tsuna en attrapa la fillette.

    Celle-ci se mit à rire.

    - Tu dois vraiment partir, Tsuna ? Demanda la petite fille en se tournant vers l’adolescent.

    - Oui.

    Le convoi s’était arrêté, il y avait quelques temps, à l’abord de la ville. Tsuna allait bientôt quitter les marchands. Il avait appris beaucoup de chose sur l’époque où il se trouvait grâce aux trois frères. La ville dans laquelle ils s’étaient arrêtés faisait partie du territoire des Vongola, c’est pourquoi elle était plutôt calme. La famille Vongola était déjà assez célèbre malgré le fait qu’elle restait une jeune famille. Heureusement pout Tsuna, le QG des Vongola ne se situait pas dans cette ville et les gardiens ne venaient pas souvent, juste le temps nécessaire pour assurer la sécurité. L’adolescent n’avait pas vraiment envie de les rencontrer et de leur expliquer pourquoi il ressemblait au Primo. Maintenant, il tenait sa promesse et il jouait avec Luna avant de partir.

    - Pourquoi ? Tu pourrais rester. Je suis sûr que ça ne dérangeait pas  Papa et Tontons. Pleurnicha la fillette.

    - Je m’en vais… parce que… parce que je dois retrouver mes amis et… et rentrer chez moi.

    - Luna ! Ne l’embête pas ! Gronda Fabrio.

    - C’est bon. C’est normal. Mais, en fait… pour… pourquoi vous… vous êtes là Fabrio ?

    - Oh, je suis juste venu te dire au revoir et te donner un petit quelque chose pour te remercier.

    - Me… me remercier ?

    - Oui, c’est pour t’être occupé de Luna et nous avoir aidé pour l’installation du stand pour le marché. Tiens.

    L’italien lança quelque chose qui atterrit dans les bras de Tsuna. C’était un paquet contenant un pantalon noir, une chemise de couleur pâle ainsi qu’un petit gilet sans manche. C’était tous des vêtements d’époques, assez usés mais encore en état.

    - Ça te permettra de passer inaperçu. Même si la ville est sous la protection des Vongola, il y  a quand même des voleurs. Et puis regarde dans les poches.

    Le brunet sortit de ses poches une petite bourse assez pleine.

    - Que…

    - Nous avons remarqué que tu n’avais pas d’argent sur toi. Donc on a pensé à donner cette bourse pour te dépanner un peu.

    - Mais… je… je ne peux pas accepter…

    - Si. Et puis, tu pourras nous rembourser une fois que nous nous reverrons. Je suis sûr que nous nous recroiserons.

    « Ça m’étonnerait… » Pensa Tsuna.

    - Merci…

    - Tu peux aller te changer.

    Quelques minutes plus tard, l’adolescent revint vêtu des habits.

    - Voilà maintenant, tu ressembles à un gamin des villes. Tu pourras passer inaperçu. Tu pars tout de suite ?

    - Oui, merci pour tout. Au revoir.

    - Au revoir, Tsuna.

    - Au revoir, Tsunayoshi.

    Le brunet s’éloigna du groupe en faisant des signes de mains. Il s’arrêta un peu plus loin, hors de ma vue des marchands. Il regarda son Vongola Gear.

    - Je ferais mieux de l’enlever… Bon, maintenant, il faut que je me renseigne sur Talbot et sur Cheker-Face ou Kawahira, selon comment il se fait appeler. Ils sont les seuls qui peuvent m’aider. En espérant qu’il ne tente pas… Hie ! Ne pense pas à ça ! D’abord trouver des informations…

    Il repartit en direction du centre ville. Bizarrement, il se sentait un peu fiévreux. Il laissa cette sensation de côté. Tsuna observa les alentours. Le centre-ville était assez animé. Des enfants couraient dans tous les sens. La place du centre résonnait des voix des marchands, des clients et des rires des enfants. Pour Tsuna, tous ses sons évoquaient une vie tranquille et paisible. Il savait que pour les habitants cette vie n’était possible que grâce aux Vongola.

    Dans l’ombre, trois personnes regardèrent Tsuna.

    - Regardez ! Il ressembla au Vongola Primo !

    - Oui, mais il semble plus jeune.

    - Peut-être est-ce son fils ?

    - Non, il semble trop vieux pour être son fils. Peut-être son frère ?

    - Je ne sais pas. Mais c’est sûr que cet enfant est lié au Primo !

    - Que faisons-nous ?

    - A votre avis ?

    Inconscient du danger qui le guettait, Tsuna avançait en se demandant qui il pourrait interroger. Ne faisant pas attention à son environnement, il se retrouva seul dans une ruelle. Son hyper intuition lui cria de s’en aller mais son corps lui sembla soudain lourd. Le brunet frissonna.

    «  Qu’est-ce qu’il se passe ? » Pensa Tsuna.

    Il sentit une présence derrière lui, il se retourna pour apercevoir le visage d’un homme juste avant de se faire assommer.


    Pour le Primo Vongola, c’était une journée normale. Il avait eu une réunion avec les alliées de la famille. Il y avait eu de récentes incursions ennemies dans le territoire et ces incidents avaient été le principal sujet de conversation.

    Giotto s’étira. Il regarda le tas de paperasse qui l’attendait sur le bureau. Soupire. Il allait s’y attaquer lorsqu’il entendit des bruits de combat. Il sortit brusquement. Dans le couloir, son mauvais pressentiment s’était réalisé. Alaude et Daemon, son gardien du nuage et son gardien de la brume, se battaient. Menottes contre faux et un couloir dévasté.

    « En parlant de ça, les menottes d’Alaude n’avaient-elles pas quelque chose d’étrange ? » S’interrogea le jeune et infortuné Boss.

    - Je vais t’arrêter pour non-respect des objets personnels.

    - Nufufu. Voyez-vous ça…

    - Non ! Encore plus de paperasse ! S’écria Primo en voyant les dégâts. Alaude, Deamon arrêtez cela tout de suite.

    Les deux gardiens s’arrêtèrent immédiatement en entendant la voix de leur Boss.

    - Nufufu. On dirait que Primo nous a découvert.

    - Hn.

    - J’aimerais que vous ne détruisiez pas le manoir à chaque fois que vous vous disputiez, Deamon, Alaude.

    - Qu’est-ce qui se passe, ici ? Demanda Asari, le gardien de la pluie en sortant de son bureau. Waouh ! C’est… Euh… Un ouragan vient de passer ?

    - Espèce d’idiot, tu ne vois pas que c’est ses crétins qui ont recommencé ! S’énerva G, le gardien de la tempête et bras droit de Primo.

    - Yara, yare. Vous avez réveillé le Grand Lampo. Déclara le gardien de la foudre en baillant.

    - Oya, oya, on dirait que tout le monde rapplique.

    - Hn.

    - D’ailleurs, je ne vois pas, Knuckle. Où est-il ? Demanda Giotto, surpris de ne pas voir son gardien du soleil intervenir pour arrêter la dispute.

    - Il est à l’église pour une messe. Il remplace le prêtre malade. Répondit G.

    - Maîtres ! Maîtres ! Appela un serviteur.

    - Que ce passe-t-il, Henri ? Demanda calmement Primo en fronçant légèrement les sourcils à l’agitation du majordome.

    - C’est une lettre pour vous. Elle a été déposée par des hommes louches. Ils on dit que c’était une lettre urgente pour le Primo Vongola et qu’une vie était en jeu.

    - Quoi ? Hurlèrent les gardiens.

    Giotto prit la lettre des mains du majordome et la lut :

    Cher Vongola Primo,

    Sachez que nous détenons votre frère. Si vous souhaitez le revoir vivant, apporter 100 pièce d’or dans la forêt près de la maison abandonnée nommée « Ruscello ».

    Venez seul ou nous ne pourrons pas assurer la sécurité de notr très cher « hôte ».

    Maladiota.

    - Quoi !? Giotto depuis quand tu as un frère ? Cria l’homme aux cheveux rouges.

    - Frère… Depuis quand j’ai un frère, moi ?

    - C’est ce que je viens de te demander !

    - C’est impossible que j’en aie un. Alaude a cherché partout une trace de ma famille et n’a trouvé que mon cousin Riccardo mais pas la moindre existance d’un parent aussi proche ! Rétorqua le blond.

    - Oui, c’est vrai. J’avais oublié. Mais alors qui est la personne à qui ils font référence ?

    - Tiens, Giotto, il y a comme une tâche à la fin de la lettre. Qu’est-ce que ça peut-être ? Demanda calmement l’épéiste.

    - Tais-toi ! Espèce d’accro à la flûte ! Qui se soucie d‘une tâche ?! On a d’autres choses à se préoccuper !

    Primo intrigué regarda attentivement cette « tâche ». Il déglutit en voyant ce que c’était réellement. Les cinq autres personnes qui avaient commencé à se disputer, fixèrent leur patron surpris par son comportement soudain.

    - Primo, que ce passe-t-il ?

    - La tâche… c’est du sang…

    Tout le monde écarquilla les yeux de surprisse, même dans le cas d’Alaude, bien que cela ne soit que de 0.3 mm. Celui-ci prit la lettre des mains du jeune boss et l’inspecta minutieusement.

    - Giotto a raison. C’est bien du sang, avec même quelques cheveux de couleur brune. Conclu le policier.

    - Cela signifierait que…

    - Oui, on dirait qu’un innocent a été impliqué…

    - Yare, yare. Cela sent les ennuis en perspective.

    - Nufufufufu. Cela devient intéressant.


    Lecfan : Fin chapitre 3

    Lecfan : A.N :

    Je mettrai en ligne prochainement un omake sur la dispute d’Alaude et de Deamon. Désolé si je ne mets pas en ligne mes chapitres très rapidement car actuellement j’étudie pour passer mon bac donc c’est assez compliqué.

    Pour les chapitres j’essaye de les faire assez long mais pas trop (tout de même environs 4 pages sur mon logiciel de traitement de texte), les suivants seront quand même plus long.


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