• Keiyner : Coucou voici le chapitre 14 !

    J'ai un peu de mal à écrire ce chapitre là aussi, mais moins que le précédent, donc ça veut dire que l'inspiration est revenue. Youpi pour moi ^^ ! (ben quoi ?j'ai bien le droit de m'encourager moi-même, non ?)

    Pour commencer Katekyo Hitan Reborn ne m'appartient pas mais à Akira Amano. Je lui emprunte juste ses personnages, tout aussi délirants les uns quels autres !

    Merci à Yuki-Jiji, Himutsu-chan, Olympe2, inukag9, Addaline, mary, BlackCerise, M.H.N.S., Karo, Ayone, Guest, AliceGarden, Alexy971 et Miki pour leurs reviews au précédent chapitre !

    Réponses aux reviews ^^

    Mary : Merci pour les compliments. Eh oui être le bras droit n'est pas la meilleure place dans certaine situation mais je suis sure que Gokudera n'échangerait cette place pour rien au monde mais s'il devait faire face à nouveau à cette situation ^^ Je suis d'accord avec toi, Mukuro est un bon exemple du pardon de Tsuna, après est-ce que Lanalia est de la même trempe... Donc si je comprend bien, tu restes du côté de Lanalia... Profite de ce chapitre en attendant les réponses à tes questions !

    M.H.N.S.:Oui je suis sadique ! Après 13 chapitres tu ne l'as pas encore remarqué ? XD Alors qu'est-ce que cache Hibari ? J'ai reçu pas mal de réponses par les reviews pour ça et jusqu'ici j'ai répondu "Vous verrez bien !" Prends ton mal en patience, ou essaye de deviner ^^ c'est pour moi amusant de voir vos tentatives (encore un élan de sadisme ^^) Tu veux la suite ? Faudra attendre un peu ^^ mais profites-en quand même et merci pour la review !

    Karo:Tu parles de Lanalia ? Je ne sais rien d'elle, je ne connais pas ce personnage ni son parcours ^^ Je suis d'accord ! A mort les Vanazione !(Fait raye le nom sur la liste) A mort les Scassinatore ! Qu'on leur coupe la tête ! Merci en tout cas pour tes compliments et en cadeau pour la review voici le chapitre, profites-en bien !

    Ayone : Ouais ben désolée de casser tes espoirs ^^' Mais Lanalia est méchante, très méchante... Ben ouais dommage, Tsuna perd une bonne recrue, n'empêche. Merci pour tes compliments, je suis ravie de t'avoir émue à ce point, ça fait plaisir pour mon ressenti d'auteure ^^Ben moi ma fierté, je l'ai mis à la poubelle il y a bien longtemps, j'ai si souvent hurlé de rire devant vos reviews devant des amies que maintenant ça leur paraît normal... Est-ce que ça l'est ? En tout cas merci pour la review et profites bien de ce chapitre ^^

    Guest : Voilà la suite ^^ Euh par contre quelle suite de ton chapitre ? ^^'

    Miki : Merci pour le compliment ^^ Eh oui, Lanalia réserve beaucoup de surprise à la dixième génération... Tu n'arrives pas à la détester ? Donc je te fais aimer une ennemie alors, c'est pas mal xD Toute le monde me pose cette question est pour cela je vous donne rendez-vous à la fin du chapitre dans ma note d'auteure ^^ En attendant apprécie ce chapitre !

    Keiyner : Allez... qu'est-ce que vous attendez ? Enjoy !

    OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

    Chapitre 14 : Retour aux problèmes.

    Tsuna regardait autour de lui. Il se trouvait dans un espace noir, vide... bien qu'il n'en avait pas l'impression. Son Hyper Intuition lui conseillait de faire attention. Il ne savait pas si ses gardiens étaient proches ou non, en réalité, il ne savait même pas où il se trouvait ! Mais ce dont il était sûr, c'était que quelqu'un le surveillait. Et le regard qu'il sentait n'était pas amical. Il frissonna. Il marcha droit devant lui, comme un automate. Il ne savait pas vers quoi il se dirigeait, mais tout ce qu'il voulait, c'était se dégager de cette sensation désagréable que chacun de ses mouvements était enregistré... Après, plusieurs minutes, il finit par arriver devant une grande porte. Il l'a reconnue comme étant la porte d'entrée du manoir. Un mince sourire s'étira sur ses lèvres. Il allait rentrer pour voir tous ses gardiens. Ils le gronderaient sûrement pour s'être encore absenté sans aucun gardes du corps... Au moins une fois à l'intérieur, il serait en sécurité. Il pourra se décharger de cette impression d'être espionné. Il tourna la poignée et se retrouva devant un immense jardin. Il s'avança de quelque pas, intrigué. Il était pourtant persuadé que cette porte était celle de son manoir... Il reconnut les plantes et l'allée d'arbres qui se révélaient bien être ceux de la propriété japonaise des Vongolas. C'est à ce moment-là qu'il entendit un énorme bruit derrière lui, contrastant avec le silence lourd, ainsi qu'une énorme bouffée de chaleur. Il se retourna alors et sentit son sang se glacer.

    - Non...

    Le manoir Vongola duquel il venait de sortir était détruit. Des flammes léchaient les murs, les fenêtres étaient brisées et la bâtisse toute entière menaçait de s'effondrer. Cela n'était maintenant qu'une question de minute... Tsuna ne sentait aucun mouvement dans le manoir. Ses amis... Ils étaient toujours à l'intérieur ? Et la première génération ? Et les domestiques ? Il déglutit et voulut s'enfoncer dans le bâtiment quand une main lui prenant le bras, le retint. Il se retourna et vit le visage impassible de Lanalia. Il eut un soupir de soulagement.

    - Dieu merci, tu n'as rien... Il faut que j'y aille ! Mes gardiens sont encore là-bas, ils sont peut-être blessés ou...

    Tu n'iras nul part.

    Tsuna sursauta. La voix était caverneuse et semblait appartenir à une femme. Pendant un instant il cru que c'était Lanalia devant lui qui avait parlé, mais les lèvres de celle-ci n'avaient pas bougé. Il se demanda vaguement à qui pouvait appartenir cette voix, avant de décider que ce devait être un effet de son imagination. Il essaya de se dégager de la prise de Lanalia pour rejoindre ses compagnons avant de la réentendre.

    Je t'ai dit que tu n'iras nul part.

    L'ordre était clair. Mais la voix était calme, sans aucune animosité, aussi Tsuna lui répondit.

    - Mes compagnons... Mes amis sont sûrement là-bas : je dois les aider...

    Cela ne sert à rien d'aller là-bas, Sawada Tsunayoshi. Ils sont de l'autre côté...

    Tsuna blêmit. Il n'avait pas dû bien entendre... Il regarda instinctivement le visage de Lanalia, toujours impassible, bien que son regard était accroché sur le jeune Decimo.

    - Quoi... ? C'est impossible... Parvint à articuler Tsuna.

    Les frelons ont envahi la ruche. Ou plutôt certaines abeilles sont devenues elles-mêmes les parasites...

    - Qui es-tu ? Que veux-tu dire par là ?!

    C'est une erreur d'accorder ta confiance à n'importe qui.

    Tsuna commença à paniquer. Il avait l'impression de ne plus rien contrôler. Une seule pensée tournait dans sa tête. Ses gardiens... Ils ne pouvaient pas être... La possibilité n'arrivait même pas à se former dans son esprit. Il devait aller les sauver. Il ne savait pas d'où venait cette voix, mais il savait qu'il l'avait déjà entendue. Puis, en face de lui, Lanalia se mit en mouvement. Elle l'attira dans ses bras et le serra comme pour le consoler. Les yeux de Tsuna s'écarquillèrent. Il était assurément le seul parmi tous ses amis à l'avoir déjà vue agir sans son masque glaciale ou provocateur, mais jamais elle ne lui avait fait de telles démonstrations d'affection !

    Dis, Sawada Tsunayoshi, il y a une question que je me posais...

    Soudain il sentit quelque chose de froid lui traverser l'omoplate, au même niveau que son cœur. Son cri de douleur se coinça dans sa gorge.

    Quoi... ? Que venait-il de se passer... ? Est-ce que Lanalia l'avait... ? Non... Il ne pouvait pas y croire... Il ne voulait pas y croire ! C'était impossible...!

    Il ne put retenir un hoquet de douleur franchir ses lèvres. La sensation du trait froid glissa en dehors de son dos, laissant des éclairs de douleur affluer dans tout son corps. Il se dégagea faiblement de l'étreinte de la jeune femme, manquant de trébucher quand la douleur atteignit le milieu de son dos. Il releva ses yeux vers son amie et se figea.

    Le visage de Lanalia était transformé. Tsuna avait l'impression de se retrouver devant un animal sauvage. Les lèvres de la jeune fille étaient étirées en un sourire carnassier et un éclat de cruauté et de plaisir mêlés éclaircissait son regard. Les yeux de Tsuna s'écarquillèrent en voyant la lame, d'où le sang... son sang gouttait, briller dans la main gauche de Lanalia.

    - Non... Je... Essaya-t-il de dire.

    Il avait du mal à respirer. Chaque essai lui procurait un nouvel afflux de douleur. Il n'arriva pas à bouger son bras gauche tellement elle était forte et poignante. Il avait l'impression que son cerveau tournait à plein régime, essayant de trouver une autre explication que celle qui se tenait devant lui, mais aucune solution ne se pointait dans son esprit troublé.

    - Je n'y crois pas... Tu n'es pas Lanalia !

    La jeune femme eut un rictus à ces paroles et d'un geste vif, prit le menton de sa main libre et l'approcha de son propre visage. Ces yeux oranges débordaient d'une haine que Tsuna n'avait jamais vu dans les yeux de son amie

    Dis-moi... Comment vas-tu continuer à sourire maintenant ?


    Tsuna s'éveilla subitement en sueur. Comme mué d'un ressort, il se redressa subitement sur son lit. Il avait du mal à respirer. De légers tremblements parcouraient son corps, sans qu'il ne puisse rien faire pour les arrêter Il passa une main sur son visage tout en essayant de calmer les pulsations de son cœur mais il n'y arriva pas. Il ne se souvenait pas de son rêve. Cela l'inquiéta deux fois plus... Pourtant il sentait que c'était import...

    La porte de sa chambre s'ouvrit à la volée, laissant le passage à un bras-droit affolé, son arme Flamme Arrow, accrochée sur son bras.

    - JYUDAIME ! Vous allez bien ?

    - ...Hayato ? Questionna Tsuna alors que son rythme cardiaque reprenait peu à peu sa cadence normale. Que se passe-t-il ?

    - Je... Je vous ais entendu crier Judaime, expliqua Gokudera, un peu confus. J'ai pensé que vous aviez des ennuis...

    Il rentra son arme dans sa boite, n'en ayant nul besoin et s'approcha de son boss.

    - J'ai crié ? Répéta Tsuna.

    - Oui. Que se passe-t-il, Judaime ? Un mauvais rêve ?

    Tsuna acquiesça lentement. Gokudera fronça les sourcils. Pour que Tsuna réagisse comme ça pour un simple rêve, son Hyper Intuition devait y être pour quelque chose. Il savait pertinemment que l'Hyper Intuition de son boss était quelque dont il fallait absolument prendre en compte. Après tout, cela leur avait sauvé la vie plus d'une fois. Aussi il demanda :

    - Qu'avez-vous vu ?

    Tsuna secoua la tête, son visage crispé.

    - Je ne me souviens pas complètement... Je me rappelle juste... d'une voix... Mais ses paroles sont encore embuées dans ma tête... Et je crois qu'il y avait un rapport avec Lanalia, mais je n'en suis pas sûr...

    - Lanalia ? Souffla Gokudera.

    C'est pas vrai... Elle poursuivait le Judaime même dans ses rêves ! Il secoua la tête, c'était pas le plus important. Il regarda son boss qui avait fermé ses yeux quelques instants. Gokudera avait compris que ce rêve n'annonçait rien de bon grâce à l'Hyper Intuition de son boss... Mais alors si Lanalia avait un lien avec ce mauvais, devait-il en conclure que Lanalia était une ennemie ? Il jeta un coup d'œil à la porte entrouverte et vit le regard glacial d'Hibari. Celui-ci le regardait intensément. Ils étaient apparemment arrivés à la même conclusion : ils devaient la surveiller de plus près. Gokudera fit un discret hochement de tête et Hibari disparut dans les couloirs. Le regard de Gokudera fut attiré par un mouvement de son boss. Il reporta son attention sur lui et vit que Tsuna se levait de son lit.

    - Hayato, appela Tsuna avant que son ami ne puisse dire quelque chose.

    - Oui, Jyudaime ?

    - Qu'est-ce qu'il se passe au manoir ?

    - Que voulez-vous dire ?

    - Je ressens comme... de la méfiance...

    "Les frelons ont envahi la ruche. Ou plutôt certaines abeilles sont devenues elles-mêmes les parasites..."

    Tsuna eut un petit sursaut alors qu'il se rappela de ce que lui avait dit la voix. Il fronça les sourcils et tourna son regard vers son bras droit, qui semblait un peu gêné. Il n'avait pas voulu le dire tout de suite à son boss, préférant que celui-ci se repose un peu. Mais il comprit qu'il ne pouvait plus le cacher.

    - Je suis désolé, Jyudaime. Je ne voulais pas vous... te le dire tout de suite. Mais il semblerait que...

    Tsuna se redressa d'un coup et alla fermer la porte pour être sûr que personne ne les entendra. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentait comme une pierre lourde peser sur son estomac.

    - Hayato... est-ce que tu vas me dire... qu'il y a des espions au manoir ?

    Gokudera se mordit la lèvre inférieur. Cela fonctionna comme une réponse pour Tsuna. Il ferma les yeux. Cela lui faisait mal de penser qu'il y avait des traîtres parmi ceux qu'il côtoyait au manoir depuis plus d'un an. Il revint au centre de la pièce et s'assit sur le lit. Il sentait qu'il ne devrait pas rester debout...

    - Raconte-moi tout, Hayato, ordonna alors Tsuna d'une voix calme. Tout ce que vous avez appris ou fait depuis que je suis rentré.

    Gokudera respira un grand coup. Puis il s'exécuta.


    - Alors, résumons tout ça, soupira G. Vous vous êtes battus contre ce Mukuro, qui soit dit en passant voulait détruire la mafia en possédant le corps du gamin... Il a été envoyé à Vendicare pour ça... Aussi vous avez nommé cette fille comme gardienne remplaçante, qui servait également d'intermédiaire entre lui et vous... Votre boss l'a libéré et maintenant il est devenu le deuxième gardien du Brouillard...

    Il regardait chaque gardien de la dixième génération, le dénommé Reborn ayant disparu mystérieusement pendant le récit de Yamamoto. Ryohei approuva d'un hochement de tête vif. Lambo n'écoutait pas, trop occupé à regarder d'un regard apeuré, Mukuro dont l'œil écarlate brillait d'excitation devant la réaction de la première génération. Yamamoto rit, sans se soucier du trouble de la première génération :

    - C'est ça. Tsuna ne voulait ni se séparer ni de Chrome ni de Mukuro en tant que gardien. Alors il les a gardé tous les deux.

    - ... Êtes-vous sûr de vouloir succéder au Nono ? Demanda sérieusement G en se pinçant l'arête du nez. Ce mec a essayé de tuer votre boss et il veut le posséder pour détruire la mafia !

    - Hahaha... Mah, mah, ça c'était avant... Mukuro est maintenant un gardien et il protège Tsuna comme nous tous...

    - Oya, oya, comment peux-tu en être sûr, Takeshi-kun ? Déclara Mukuro avec un sourire machiavélique.

    - Mukuro-sama... Vous ne devriez pas dire ça...

    G secoua la tête, une main plaquée sur son visage.

    - Votre boss n'a aucun instinct de préservation...

    - Nufufu... j'ai bien l'impression que c'est de famille dans ce cas, ricana Deamon.

    - Hey ! S'écria Giotto, contrarié.

    - Yare, yare, c'est la seule explication possible, bailla Lampo.

    - Nh, approuva Alaude en fermant ses paupières.

    Giotto fit la moue devant l'approbation de tous ses gardiens et devant l'hilarité de ceux de la dixième. Il suivait simplement son intuition et il était pratiquement certain que c'était la même chose pour son descendant. Il eut à peine cette pensée que la porte s'ouvrit sur Tsuna, la tête à moitié tournée vers son bras droit derrière lui.

    - Merci pour toutes ces informations, Hayato, déclara Tsuna, et merci d'avoir tout pris en main.

    - Je vous en prie, Jyudaime.

    Tsuna fit une grimace devant le retour du vouvoiement et allait rétorquer à son bras droit quand Lambo, qui s'était aussitôt désintéressé de Mukuro, se précipita sur lui et le serra en criant.

    - Tsuna-nii !

    - Lambo ! S'exclama Tsuna, surpris au premier abord, avant de répondre à l'embrassade à son petit frère de cœur, un sourire attendri sur ses lèvres.

    - Aho ushi ! S'écria Gokudera. Laisse donc le Jyudaime entrer avant de l'envahir !

    - Ce n'est rien, Hayato... Lambo, je suis désolé de t'avoir inquiété...

    Lambo grommela alors quelque chose, mais il serrait tellement fort Tsuna que ses paroles furent englouties dans les vêtements du jeune boss.. Celui-ci se dégagea de l'étreinte de son gardien et s'accroupit pour être à sa hauteur.

    - Lambo, je t'ai déjà dit de ne pas parler comme ça, on ne t'entend pas, gronda doucement Tsuna. Peux-tu répéter ?

    Lambo essuya la morve qui commençait à pendre de son nez et répéta sous le regard encourageant de son grand frère.

    - C'est moi qui suis désolé, Tsuna-nii... Si j'avais été plus...

    - Chuut... Le coupa doucement Tsuna en lui ébouriffant les cheveux. Si tu vas bien, pour moi c'est tout ce qui compte.

    Les pleurs de Lambo redoublèrent en se précipitant dans les bras de Tsuna qui essaya tant bien que mal de le calmer. Giotto eut un sourire sincère devant cette scène. Il n'avait pas oublié ce que lui avait dit Tsuna à propos de son gardien de la Foudre.

    - Hahaha, rit Asari. Il est content.

    - Est-ce que ce gamin sait faire autre chose que crier ou pleurer, rétorqua Deamon, avec une grimace.

    - Ne jugez pas trop vite Lambo, demanda Yamamoto. C'est lui qui s'est le plus inquiété pour Tsuna durant tout ce mois.

    - Vous aviez dit la même chose hier, remarqua Alaude en ouvrant les yeux. Qu'est-ce que cela veut dire ?

    - Le jour où Tsunayoshi a disparu, l'homme qui lui a tiré dessus n'avait pas pour cible première notre boss, révéla Mukuro. C'était le Bovino qui était visé au départ.

    - Comment ? S'écria Giotto, alarmé. Alors ça veut dire...

    - Boss s'est interposé entre la balle et Lambo-chan.

    - Les gars, intervint alors Tsuna en se redressant, les lèvres tordues en une moue réprobatrice. Vous n'êtes pas obligés de raconter tous les détails...

    - Mais, mon cher Tsunayoshi, ils ont posé la question. Mais je reconnais qu'elles ressemblent celles que pourraient faire des fouines, à essayer de tout savoir... finit avec un sourire machiavélique.

    Sa réplique lui donna de nombreux regards noirs de la part de G, d'Alaude, mais surtout de Deamon.

    - Ça veut dire quoi ça ? Demanda alors celui-ci.

    - Oya ? Tu t'es reconnu ? Je te prie de m'excuser, Kufufufu...

    Alors que les deux gardiens du Brouillard recommençaient leur énième querelle, Tsuna se tourna vers Giotto.

    - Ne me dîtes pas qu'ils font ça depuis hier ?

    Pour toute réponse, Giotto soupira. Tsuna se tourna vers ses gardiens. Ryohei semblait excité à la dispute et commençait à crier aux extrêmes. Chrome triturait de gêne son trident apparu de nul part. Gokudera fit un bruit ressemblant à un "Tch". Yamamoto eut un rire :

    - Mah, ce n'est pas très grave. Cela prouve qu'ils s'entendent bien.

    - D'où tu vois qu'ils s'entendent bien, foutu accro du base-ball ?!

    - Bah, tant qu'ils ne détruisent rien, je n'ai rien à dire... Soupira Tsuna. Tiens, en parlant de destruction...

    Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que quelqu'un frappa à la porte. Il eut à peine le temps d'autoriser d'entrer que la porte s'ouvrit à volée et laissa découvrir un jeune homme aux cheveux rouges et des lunettes.

    - Tsunayoshi-kun ! Cria-t-il en se précipitant vers le jeune boss.

    - Shoichi-kun ! Salua Tsuna avec un grand sourire puis il avisa un jeune blond qui mâchouillait quelque chose et un homme de petite taille au visage rond. Spanner ! Gianini ! Je suis heureux de vous revoir !

    - C'est à nous de dire ça, jeune Vongola, sourit Spanner en lui offrant un de ses rares sourires pétillant. Ce n'est pas nous qui nous sommes éloignés...

    - Spanner ! réprimanda Irie, mais Tsuna rit à la remarque.

    - C'est vrai.

    Giotto sentit alors un énorme changement chez Tsuna. Le sourire de celui-ci semblait plus... Il ne savait pas comme le décrire... plus rempli de joie de vivre, plus lumineux que les autres sourires que Tsuna leur avait donné de voir. Il comprit alors ce que les gardiens de son petit-fils leur avait dit et il ne put qu'être d'accord. Les sourires paraissaient bien ternes comparé à ceux-ci. Il remarqua alors que l'ambiance dans la salle avait elle aussi changé. Ses gardiens regardaient bouche bée, Tsuna qui discutait gaiement avec les trois nouveaux venus. Puis il sentit un relâchement du coin de l'œil. Le sourire de Yamamoto s'était élargi. Les yeux de Ryohei pétillaient et il lançait ses poings en l'air tout en criant avant de commencer à boxer dans le vide. Lambo avait arrêter de pleurer et commençait à s'exciter sur les genoux de Chrome, qui avait un magnifique sourire et quelques larmes perlaient sur le coin de l'œil. Mukuro ne prêtait plus d'attention à Deamon, et souriait, les yeux fermés. Gokudera regardait son boss avec le seul sourire sincère que Giotto pensait avoir vu de lui jusque là. Puis il entendit un soupir imperceptible et sentit une présence dans le couloir. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que c'était Hibari. Giotto sourit : il n'avait vraiment aucun souci à se faire pour son petit-fils. Son regard se porta vers Gokudera. Un véritable gardien de la Tempête et bras droit... Il ne savait pas vraiment ce qui s'était passé, mais Tsuna avait l'air de se sentir mieux et plus confiant, après sa discussion avec son gardien de la Tempête. Un poids énorme se détacha de ses épaules.

    Il releva les yeux et vit que Tsuna semblait attendre quelque chose de sa part. Il remarqua ensuite que tous le regardaient. Il avait été tellement dans ses réflexions qu'il n'avait pas écouté la conversation. Vraiment pas bon pour son image de boss de la mafia...

    - Excuse-moi, j'étais ailleurs... Que voulais-tu, Tsuna ?

    - Il faut que nous discutions de votre retour chez vous... Ne vous méprenez pas : je ne vous chasse pas. Mais si vous mettez trop de temps à retourner à votre époque, il pourrait avoir de grandes conséquences.

    - Tu n'as pas à te justifier, Tsuna, sourit Giotto. Nous pensions à la même chose. Mais nous ne savons pas vraiment par quels moyens nous pourrions rentrer. Vous auriez une idée ?

    - Je vous demandais justement, si cela vous dérangerait qu'on en parle dans mon bureau ? Vu que les meilleurs spécialistes sont là... D'ailleurs je ne vous ais pas présenté. Voici mes amis : Irie Shouichi, notre stratège en chef, Spanner et Gianini, nos spécialistes en mécaniques et tout ce qui s'en approche. Les gars, je vous présente le Vongola Primo et ses gardiens

    - C'est un grand honneur de rencontrer celui qui a fondé les Vongolas, déclara Irie dit-il en se tenant le ventre, ses maux d'estomac refaisant des leurs.

    - Ça va aller, Shouichi, rassura de sa voix monotone Spanner en posant une main sur l'épaule de son ami, avant de se tourner vers Giotto. Enchanté.

    Gianini hocha vivement la tête la gorge trop serrée par l'émotion pour n'oser dire qu'un mot. Puis Tsuna reprit en tournant son regard vers un pot dans l'angle de la pièce :

    - D'ailleurs, Reborn, tu peux sortir de ta cachette, tu viens avec nous.

    Reborn sortit alors sa tête du pot, la terre et l'arbre étant à l'intérieur, toujours sur le sommet de son crâne.

    - En train de me donner des ordres, Dame-Tsuna ?

    - Je n'ai aucune remarque à recevoir de quelqu'un qui a un arbre sur la tête, répliqua Tsuna. Et si tu pouvais arrêter de m'appeler comme ça... Si je te demande de venir avec nous c'est que tu es le seul avec Shouichi-kun, Spanner et Gianini, qui pourrait trouver une explication à notre problème. Hayato ?

    - Oui, Jyudaime ?

    - Préviens-moi si jamais le Nono ou l'Alliance appelle, quel que soit le moyen. Je devrais leur expliquer officiellement la situation.

    - Très bien, Jyudaime.

    G lança un regard à son propre boss.

    - Giotto...

    - C'est bon, G, rassura Giotto. Je ne pense pas être en danger avec Tsuna. Il nous a, après tout, montré de quoi il était capable contre son tuteur, non ?

    Tsuna rougit quelque peu à la mention de ce qu'il s'était passé plus tôt mais ne dis rien de plus. Il était heureux que son ancêtre ne le voit pas comme quelqu'un de fragile.

    Giotto se leva et laissant ses gardiens avec la dixième génération, il sortit du salon. Il vit alors, comme il le supposait Hibari, adossé au mur. Reborn se percha sur l'épaule de Tsuna. Celui-ci allait fermer la porte quand il se souvint d'une chose :

    - Ah au fait... Yamamoto ?

    Yamamoto se raidit à l'entente de son nom de famille. Ce n'était pas bon...

    - Quand je recevrais la paperasse pour ton dojo, je te les donnerais. Je ne sais pas trop ce que tu as fait pour le mettre dans cet état mais étant donné que je n'ai vu ni sang ni corps, je suppose que tu t'es entraîné un peu trop... disons... vivement... Donc tu endosseras la responsabilité de sa destruction et des réparations.

    Yamamoto eut un sourire gêné, alors que sa main grattait l'arrière de son crâne :

    - Tu t'en es rendu compte ?

    - Hayato et moi sommes passés devant, en venant ici, conclut Tsuna avant de fermer la porte.

    Il se dirigea vers son bureau. Hibari le suivit tout comme les trois scientifiques et Giotto.

    - Hayato m'a tout dit, commença Tsuna à l'adresse d'Hibari.

    - Nh.

    - Le problème de l'espion est majeur, continua Tsuna. Même si je ne pense pas qu'il n'y en ait qu'un...

    - Plusieurs, alors...

    - Mmh, confirma Tsuna en pensant à la voix dans son rêve. C'est logique... Je ne pense pas qu'une guilde d'assassin aussi connue que les Scassinatore n'enverrait qu'un seul espion, qu'elle soit payée par une autre famille, ou que ce plan soit celui de la famille...

    - Omnivore, soupçonnes-tu quelqu'un ?

    - Non.

    Tsuna sentait le regard scrutateur de son gardien. Il savait parfaitement à qui Hibari pensait.

    - Kyoya, ne pense même pas à soupçonner Lanalia tant que tu n'auras pas de preuve concrète.

    Giotto tiqua à l'entente du prénom du gardien du nuage. Jusqu'ici, Tsuna l'avait toujours appelé par son nom de famille. Il se demanda quelle allait être la réaction du gardien mais celui-ci n'y prêtait pas attention.

    - Je la soupçonne si je veux. Cette fille est déjà sur la liste des suspect.

    - Très bien, tu fais ce que tu veux, Kyoya, soupira Tsuna alors qu'il arrivait devant les portes du bureau. De toutes façon, je te fais confiance pour les trouver le plus vite possible... Veux-tu de l'aide de l'un des gardiens ?

    Hibari lui lança un regard glacial avant de faire mine de rembourser chemin et de s'enfoncer dans le manoir. Puis il s'arrêta et regarda Tsuna droit dans les yeux.

    - Sawada Tsunayoshi...

    - Oui ?

    - Est-ce que tu l'as vue ?

    - Hein ? Lanalia ? Pas depuis que vous avez quitté la...

    - Pas cette fille.

    - Hein ? Mais alors de quoi tu parles, Kyoya ?

    - Dans ma chambre... Tu l'as vue ?

    Tsuna sembla ne pas comprendre avant que ses yeux ne s'écarquillèrent. Puis un petit sourire se plaça sur ses lèvres.

    - Ah tu veux parler de... Oui... oui je l'ai vue...

    Giotto tiqua. Il y avait donc bien quelque chose dans la chambre du gardien du Nuage que celui-ci cachait à ses compagnons. Se pourrait-il que ce soit le même cas chez son gardien ? Hibari sortit alors ses tonfas.

    - Je vais te mordre à mort... Gronda-t-il

    - Quoooii ?! S'écria Tsuna. Mais... Mais... Tu l'as déjà fait, Hibari !

    Celui-ci sembla réfléchir un instant et, décidant que l'omnivore avait déjà eut sa punition, il se tourna vers Reborn.

    - Akambo, toi aussi tu es entré dans ma chambre... Je te mordrais à mort plus tard.

    Reborn eut un sourire carnassier avant qu'Hibari ne tourne cette fois définitivement les talons et ne disparaisse dans les couloirs. Tsuna soupira de soulagement. Ses trois amis scientifiques eurent un visage compatissant. Le jeune boss ouvrit la porte du bureau et invita ses amis et Giotto à entrer. Alors que chacun s'asseyait dans les fauteuils, Reborn remarqua :

    - Il faudra que tu nous expliques un jour pour cette fille, Dame-Tsuna. L'accepter du jour au lendemain...

    - Reborn ! Réprimanda Tsuna. Pas toi aussi... J'ai une entière confiance envers Lanalia, mais pour l'instant je ne peux rien dire, tant que je ne suis pas sûr... Alors attendez un peu et arrêtez de toujours revenir sur ce sujet.

    - Très bien... Alors ?

    Tsuna soupira et lança un regard à Giotto qui acquiesça. Il leur dit ce qui s'était passé lors de la fin de sa torture ainsi que du vœu qu'il avait fait avant que la première génération. De son côté, Giotto leur révéla ses inquiétudes qu'il avait eut sur le futur, sachant que cette fois il ne devait pas y couper, peu importe sa fierté en tant que boss. Si ces personnes pouvaient les aider à rejoindre leur époques, il ne devait omettre aucun détail.

    - Je vois... Finit par dire Reborn. Ce que vos deux vœux ont en commun c'est le fait que vous ayez utilisé votre flamme au moment où vous l'avez énoncé... On peut donc penser que ce sont vos flammes qui ont amenés à cette situation unique. Tsuna, tu te souviens de ce Uni avait dit dans le futur à propos du pouvoir des bagues Vongola ?

    "Futur ?" Se répéta Giotto, interloqué. Est-ce que son descendant avait-il déjà fait des voyages temporels ? Tsuna acquiesça, sans s'apercevoir du trouble de son ancêtre.

    - Comme quoi les traditions des Vongolas se transmettent au fil des différentes générations ? Ainsi que notre pouvoir et notre volonté ? Le pouvoir de l'Axe Vertical Spatio-Temporel. J'y ais pensé Reborn, mais je me suis déjà retrouvé dans plein de situations de ce genre où j'utilisais ma flamme et que j'avais un vœu... Et cela n'avait pas réagi de la même manière.

    - Sûrement parce vos vœux, ici, étaient d'un désir égal. Comme je l'ai dit cette situation est sans précédent : je ne peux que spéculer, Tsuna.

    - Avez-vous une solution à proposer ? Demanda Giotto. Peu importe que vous ne connaissiez pas précisément, au moins que nous ayons des pistes.

    - Euh, si je puis me permettre, tenta Irie avant déglutir en voyant les regards des deux boss et de Reborn se tourner vers lui. Euh... vous avez bien dit que vous êtes venu dans cette époque en faisant un vœu ? Ne serait-il pas logique de penser que ce vœu n'est pas encore été réalisé, si vous êtes toujours ici ?

    Reborn acquiesça.

    - Ce serait en effet logique. Tsuna avait fait le vœu que quelqu'un vienne l'aider et ce vœu a été correctement exaucé, puisque la première génération est venu l'aider et l'a ramené à ses gardiens. Cela voudrait dire que ce serait le votre qui ne l'est pas, Primo.

    Giotto ne sut que dire. Pourtant il ne se sentait plus inquiet pour l'avenir des Vongolas. Avoir vu Tsuna et ses gardiens l'avoir libéré d'un poids. De plus Tsuna l'avait rassuré sur sa décision de fonder les Vongolas. C'était les deux raisons pour lesquels il avait voulu rencontrer le Decimo Vongola. Alors, à moins qu'il y en ait eu d'autres et qu'il n'en avait pas conscience. Il leva les yeux vers Reborn :

    - Je ne vois pas ce que je pourrais faire pour réaliser mon vœu. Je suis certain de ne plus être en proie au doute comme je l'ai été, grâce à Tsuna... Alors je ne vois pas autre chose.

    - Tsunayoshi-kun, demanda Irie, pourquoi nous as-tu demandé de venir avec vous ? Aucun de nous trois ne connaissons comment marchent tes flammes... Nous ne sommes pas capable de trouver la moindre solution...

    Giotto et Reborn se tournèrent vers le Decimo, quand ils se rendirent compte que celui-ci ne répondait pas et virent qu'il était plongé dans une intense réflexion, comme l'attestait son regard viré sur la table basse qu'il ne voyait sûrement pas et ses sourcils froncés.

    - Tsunayoshi-kun ? Appela de nouveau Irie, avec le même résultat. Tsunayoshi-kun !

    - Dame-Tsuna, on te parle, fit le tuteur en envoyant un coup de pied au niveau du front du jeune boss.

    Celui-ci fut projeté en arrière avec un petit cri de douleur.

    - Aïe, aïe... Quoi ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Grimaça Tsuna en se relevant doucement.

    - A quoi pensais-tu, Tsuna ? Demanda Reborn.

    - Euh... A rien...

    - Ne me mens pas, Dame-Tsuna... Si tu penses à quelque chose dis le.

    - A vrai dire, je n'arrive pas à mettre le doigt dessus. Je n'ai pas de solutions concrète ni même de début de réponse... C'est encore trop flou... Ça ne sert à rien que j'en parle maintenant.

    - Tsuna... Est-ce que c'est ton Hyper-Intuition qui te fait dire ça ? Demanda Giotto.

    Tsuna acquiesça.

    - Vous aussi ?

    - Oui. Quelque chose m'échappe, mais je n'arrive pas à comprendre quoi.

    - Tss, siffla Reborn. Je suppose que si le Primo ressent la même chose, ça ne sert à rien d'essayer de te tirer les vers du nez, Tsuna. Dans ce cas, peux-tu nous dire pourquoi tu as également fait venir ces trois-là pour tout ça ?

    - Ah, oui... Si je ne me trompe pas, vous étudiez toujours le Bazooka de Lambo ?

    - Oui, répondit Spanner. Mais si tu penses pouvoir l'utiliser pour ramener la première génération à leur époque c'est impossible... Tu sais bien qu'il ne couvre qu'une période maximale de dix ans que ce soit dans le futur ou le passé.

    - Justement. Croyez-vous que si vous vous y mettiez à trois vous pourriez arranger ça ?

    - Jyudaime, vous voulez dire créer un portail qui déboucherait sur quatre cents ans dans le passé ? Déglutit Gianini.

    - Serait-ce faisable ? confirma Tsuna.

    Les trois inventeurs se jaugèrent avant que Irie ne reprenne la parole :

    - Eh bien, c'est assez difficile à dire... Cela prendrait beaucoup de temps à essayer de trouver une possibilité si jamais elle existe... Il faut que nous en discutions et et que nous étudions plus en avant le Bazooka des Dix ans.

    - Très bien. Je demanderais à Lambo de vous donner le bazooka, et vous avez carte blanche pour essayer de trouver une solution. Encore une chose. Vous irez dans la base souterraine qui est encore en construction. Je crois savoir, Gianini que tout ce qui concerne le département scientifique et mécanique est pratiquement en place ?

    - Oui Jyudaime, j'en avais fait la priorité absolu.

    - Très bien, je...

    Il se tut soudain, un long frisson lui traversant l'échine. Giotto le remarqua et sut que quelque chose allait se passer. Tsuna faisait la même expression que lui, quand un événement désagréable allait arriver.

    - Tsuna ? Appela Giotto, juste avant d'entendre des coups frappés à la porte.

    Tsuna prit une grande inspiration avant de dire d'une voix forte :

    - Entre.

    La porte s'ouvrit laissant apparaître le visage d'un Gokudera, désolé.

    - Jyudaime, je...

    - C'est bon j'ai compris, Hayato, soupira Tsuna. On avait fini de toute façon.

    Tsuna ferma les yeux. Il était temps de faire face à l'Alliance des Vongolas.

    OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

    Keiyner : Et la liste des ennuis s'allonge ! Pauvre Tsuna...

    Alors qu'est-ce que vous en avez pensé ? Un Tsuna en mode boss en confiance ^^

    Quant à l'objet que Hibari tient à cacher dans sa chambre... Vous ne saurez pas la réponse avant un bon bout de temps... la fin de la fic en fait ^^' Oui je sais je suis sadique !

    D'ailleurs la fin va arriver à grand pas. On va bientôt commencer les chapitres à grandes révélations ^^

    Allez Ciaossu et à samedi prochain !


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