• Keiyner : Et voilà chapitre 10 en ligne !

    Merci de m'encourager et de me supporter depuis un mois déjà ^^. J'ai l'impression que ça fait plus longtemps pour tout vous dire ^^' Je n'aurais jamais cru être aussi captivée par cette fic, j'en suis contente moi-même et le suis encore plus vu qu'elle semble vous plaire !

    Katekyo Hitman Reborn ne m'appartient pas, mais à Akira Amano, et je possède ma propre vision d'Hayato, ça me suffit amplement ^^

    Alors, pour le vote... je vous avez demandé de me dire si vous pensiez si c'est un homme ou une femme, connu(e) ou inconnu(e)... Beaucoup de personnes ont votés et je les remercie tous, mais seules deux d'entre vous ont trouvé la bonne réponse ^^ et je suis contente qu'il y en ait. La personne dans la fin du chapitre est

    Une femme. Inconnue ^^

    Bravo à Addaline et à Miki ^^. Comme quoi ta logique Addaline n'est pas si tordue que ça, ou alors nous possédons la même xD. Et je suis d'accord avec toi Miki, il n'y a pas assez de personnages féminins qui savent se battre. Pour ma part c'est la seule chose dont je suis un peu déçue dans Reborn. Mais vous méprenez pas j'adore ce manga ^^ !

    Merci à inukag9, laure59, Olympe2, Yuki-Jiji, DragonneYukkin, JuriiGothic, AliceGarden, viviane1993, mary, Ayone, Guest, Adaline, BlackCerise, x-manga-Bleach-x, Alycia Panther et Miki, pour avoir laissé une review aux dernier chapitre ^^ !

    Et voici les réponses aux visiteurs ^^ :

    Viviane1993 : Euh, m'étrangler ?... peut-être ^^ ça expliquerait beaucoup de chose en tout cas. Je viens de passer dans la catégorie sadomasochiste xD En tout cas, ta review me fais croire que tu as hâte de voir ce chapitre 10, alors vas-y, il est devant toi ^^

    mary : Merci d'avoir voté ^^ Ah mais ne te méprend pas, Hibari ne le respecte pas ^^ il y a trop de chose à penser pour l'instant et Hibari va lui faire payer un centuple tout d'un coup ne t'inquiète pas ^^ Pourquoi Hibari respecterait-il Gokudera ? La seule personne qu'il "respecte" (dans son vocabulaire) est Tsuna ^^. Mais même lui t'inquiète pas, va subir la colère du "mordre à mort" d'Hibari ^^. Profite de ce chapitre !

    Ayone : Merci d'avoir voté ^^ Désolée de te décevoir, mais Reborn on ne le verra pas tout de suite. On le verra peut-être à la fin du chapitre 11. Pas totalement sure, mais au chapitre 12, il sera là , sure et certaine ! En fait je mets tellement de suspense que tu ne même pas si ça pourrait être une femme ou un homme ? XD Allez profites de ce chapitre !

    Guest : merci d'avoir posté une review ^^ Oui je sais. Je m'amuse follement et vous ? XD Merci de suivre cette fic et si tu veux savoir la suite, elle est par là, je t'invite à continuer ^^

    Addaline : Merci beaucoup ^^ Oui je le conçois, c'est assez difficile de savoir si Hibari est soulagé ou non xD contente qu'il ne te paraisse pas OOC. Hey Giotto est quand même le premier boss des Vongola, il atout de même une légende à préserver ^^ ! Euh... ça va ? Oo... Je ne savais que mes chapitres pouvait faire ce genre d'effet là... Mais j'ai des reviewers potentiels qui pourraient se tuer comme ça ! Pourquoi vous me l'avez pas dit ! en tout cas bravo ^^ C'est bien une femme pas connue autrement dit un OC ^^ J'espère que vous l'aimerez ^^. Merci d'avoir suivi jusque ici ma fic et voici le dixième chapitre. Dis moi s'il valait l'attente ^^. Ah c'est vrai... tu n'as pas posté pour le chapitre 7... Je t'en veux à mort... Mais non ! je comprend parfaitement que qu'il y ait des fois des moments ou vous ne pourrez pas laisser de commentaires. Je ne vais pas vous rayer de la liste de ceux qui peuvent lire ma fic pour ça (Elle existe cette liste ?) Voici la suite ! Profites en bien !

    Miki : Haha ! Tu vas savoir ça tout de suite ^^ Je t'aime Hayato, tu sera à jamais dans mon cœur. Et oui, Hayato est mort... Tu crois vraiment que je vais faire du spoil alors que la réponse et juste à quelques lignes en dessous ? ^^ Contente que tu ais remarqué la relation avec le titre du chapitre et que tu pense la même chose. En tout cas bravo pour avoir compris que c'était une femme inconnue. Quand à savoir si elle est ennemie, neutre ou alliée... A toi de voir, tu me diras ça à la fin du chapitre. OK je vais te prendre au mot et tous vous surprendre. Rendez-vous à la fin ^^

    Keiyner : Bon le moment que vous attendez tous...

    Enjoy !

    OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

    Chapitre 10 : Les risques du futur.

    Avant qu'ils n'aient pu prévenir les gardiens de la dixième génération, la forme humaine leva sa main et la plaça sur la bouche de Gokudera. Celui-ci, bien qu'ayant remarqué les réactions des autres gardiens, n'agit pas assez vite et sentit la main lui imposer le silence.

    - Gokudera ! S'écria Yamamoto.

    D'un geste vif, Yamamoto ouvrit le sac à ses pieds et en sortit un sabre en bambou. Asari vit du coin de l'œil l'arme de son successeur et ne put s'empêcher de s'inquiéter : que comptait-il faire avec une telle arme ? Mais ses yeux s'écarquillèrent de surprise en voyant le sabre en bambou se transformer en un sabre d'acier Les autres membres de la première génération avaient eux aussi sorti leurs armes en une seconde et Giotto avait enflammé son front. A présent debout, il plaça son bras de façon à viser l'intrus et allait tirer quand il vit la jeune gardienne de la Brume se plaça entre la première génération et Gokudera et l'intrus. Avant que Giotto ne lui dise de s'écarter, la jeune fille s'écria :

    - Arrêtez ! C'est une amie !

    Le gardien du Nuage de la dixième génération poussa alors un grognement en reconnaissant l'intruse. Alaude glissa son regard vers lui et vit que Hibari rangeait ses tonfas et avait les sourcils froncés, épiant le moindre geste de la nouvelle venue. Alaude regarda à son tour l'"amie" en question. Il avait remarqué que le gamin du Nuage avait les mêmes réactions que lui pour certaines situations. Aussi pouvait-il sentir de la méfiance à l'égard de la nouvelle venue. Yamamoto desserra sa prise sur le sabre, le ramenant à sa forme de bambou, mais ne le rangea pas. Gokudera retira la main posée sur sa bouche. Il se leva et se trouva face à l'intrus. Il cria :

    - Bordel ! Tu ne peux pas t'annoncer comme tout le monde ? Même si tu passe par la fenêtre, frappe au carreau ! Ça éviterait ce genre de situation.

    Le bras de Giotto se détendit alors et il le baissa un peu, mais il n'éteignit pas les flammes sur son front. Il se décala légèrement pour pouvoir regarder l'intruse...

    Celle-ci avait des cheveux longs noirs qui lui descendaient jusqu'au niveau des omoplates. Des yeux oranges regardait intensément le gardien de la Tempête, ignorant les autres présents dans la pièce. Le boss des Vongola devait avouer qu'elle était belle, mais d'une beauté féline, avec ses yeux qui semblaient luire dans la pénombre à la manière de ceux des fauves. Elle dégageait une sorte animosité permanente peu importe qui elle avait devant elle. Et ses yeux glacial, encore plus qu'Alaude, semblait être capable de regarder un homme se faire torturer avant sourciller. Elle semblait avoir une vingtaine d'année. Elle n'avait pas dit un mot ni même cillé quand tous les gardiens avaient sorti leur arme et quand Gokudera s'était levé. Giotto remarqua alors le regard silencieux qu'elle adressa à Gokudera, ainsi que les traits tendus sur son visage. Celui-ci sembla perdre un peu contenance avant de rugir :

    - Tu veux quoi ?

    Mais la jeune fille ne répondit pas et continua à plonger son regard dans celui de Gokudera. Celui-ci ci remarqua alors les poings serrés et tremblants de la jeune femme. Il poussa un soupir et ferma les yeux, rompant le contact visuel.

    - Si tu cherche le Jyudaime, il est à l'infirmerie. Sasagawa s'occupe de ses blessures...

    Au mot "blessure", la main agrippa l'épaule du gardien de la Tempête le forçant à la regarda dans les yeux. Un silence s'installa avant que le jeune homme continua :

    - Il se trouve dans la salle 2...

    La jeune femme lâcha alors épaule et elle se précipita sur la porte. Giotto remarqua les gestes fluides qu'elle faisait pour contourner les fauteuils, donnant l'impression qu'elle ne faisait que glisser sur eux. Giotto remarqua alors qu'elle passa à côté une minuscule lueur dans les yeux de la jeune femme, qu'il ne pouvait déchiffrer car trop fugace. Quand elle atteignit la porte, Gokudera s'écria se tournant vers elle :

    - Le Judaime a besoin de repos alors tu le laisses tranquille !

    La femme le regarda par-dessus son épaule et lui répondit par un regard provoquant, essaie-de-m'en-empêcher, avant d'ouvrir la porte et de la refermer derrière elle.

    - Bordel... Ragea Gokudera, en se rasseyant lourdement.

    - Gokudera, s'enquit Yamamoto, pourquoi lui as-tu dit où se trouvait Tsuna ? Si elle...

    - Parce que sinon elle aurait démonté ce manoir pièce par pièce... Tu te souviens de la dernière fois que nous lui avons fait de la restriction d'information ? Ton dojo et la salle de repos en ont fait les frais... Et je ne veux pas donner de la paperasse au Jyudaime, alors qu'il est à peine arrivé... Et puis, le Jyudaime est avec la tête de gazon, il ne risque rien.

    - Qui est-elle ? Gronda G, qui n'avait pas apprécié l'attitude de la femme, tout en rangeant son arc.

    - Elle se nomme Lanalia, répondit Gokudera alors que la première génération s'asseyait de nouveau et que Giotto éteignait sa flamme. C'est... une amie du Jyudaime...

    - Vous n'avez pas l'air d'y croire, répliqua Deamon.

    - Cela ne fait pas longtemps qu'elle est ici... Déclara timidement Chrome.

    - Elle tourne autour du Jyudaime depuis huit mois maintenant. Et on la suspecte d'être une tueuse à gage.

    - A-t-elle démenti ? Demanda Alaude.

    - Elle risque pas de le faire, soupira Yamamoto avec une mine sérieuse, elle est muette.

    Un silence se fit dans la salle.

    - Muette ? Répéta Giotto.

    - Ça suffit, grogna alors alors la voix d'Hibari...

    Tous les regards convergèrent alors vers le gardien du Nuage. Celui-ci regardait intensément le gardien de la Tempête.

    - Cela ne sert à rien de tout leur dire à propos de cela. Ils ne sauront pas y faire face...

    - Pardon ?! Rugit G.

    Le yeux d'Alaude s'étrécir sous la provocation d'Hibari. Celui-ci ne faisait pas attention aux réaction de la première génération.

    - De plus... nous avons mieux à faire.

    Gokudera ferma les yeux, comprenant ce que voulait Hibari.

    - C'est vrai... Soupira-t-il avant de se tourner vers Giotto. Vous avez dit que vous êtes sorti de la planque où ces... enfoirés ont... fait ça au Jyudaime ?

    Giotto acquiesça.

    - En connaissez-vous les coordonnées exactes ?

    - Vous comptez allez leur donner une leçon, comprit le premier boss avec un sourire carnassier.

    - C'est exact, fit Gokudera avec le même sourire.

    Giotto se tourna vers son gardien de la Brume, une question dans ses yeux.

    - Évidemment, Primo, fit-il après un sourire. Je les ais avec moi.

    - Très bien, félicita Gokudera, dans ce cas, donnez-les nous. On va s'en occuper...

    - On viens avec vous, décida Giotto. Je veux qu'il paye plus que ça pour avoir fait ça à mon petit-fils.

    - Vous ne pouvez pas, refusa calmement Yamamoto, faisant sursauter tous les membres de la première génération.

    - Pour quelle raison ? S'étonna Asari. Nous sommes assez fort pour pouvoir leur faire face !

    - Nufufufu. Nous n'avons aucun ordre à recevoir de vous.

    - Nous en doutons pas ! Intervint alors Chrome en sentant l'animosité de la première génération grandir. Mais vous ne devriez pas...

    - Gamins, nous sommes plus vieux que vous alors, vous n'avez pas à nous dire quoi faire ! Rugit G.

    - Gamins ? Répéta alors Gokudera d'une voix sourde alors qu'une flamme de colère noire s'allumait dans ses yeux verts. Nous sommes pas des gamins !

    G resta figé devant cette colère à peu retenue et complètement dirigée contre eux. Alaude en sentant cette aura meurtrière sortit les menottes tandis que Demaon sortit sa faux de nul part.

    - Gokudera ! Cria Yamamoto en secouant l'épaule de son ami. Calme-toi ! Je suis sûr que G-san ne voulait pas...

    - Oya, oya, peut-être que tout le monde devrait se calmer et réfléchir un instant...

    Aussitôt un petit panache de fumée apparut derrière le canapé qu'utilisait la dixième génération et quand il se dissipa, Mukuro se trouvait derrière Chrome. Celui-ci avait le sourire aux lèvres, mais Giotto pouvait voir la même colère sourde que Gokudera dans son œil rouge, lui donnant un air menaçant.

    - Mukuro-sama ! S'exclama joyeusement Chrome.

    - Depuis quand t'es là ? Grogna Gokudera. Tu n'étais pas fatigué ?

    - Kufufu... Je suis ici depuis le début, ma chère Tempête. Quoi qu'il en soit...

    Il se tourna vers la première génération.

    - Je vous interdit de hausser le ton sur ma douce Chrome... sauf si vous tenez à voir l'Enfer...

    - Nous ne voulions pas... Commença Knuckle.

    - Kufufu... De plus, Yamamoto Takeshi a raison... Vous ne pouvez pas venir avec nous chez les Vanazione. Essayez de réfléchir un peu Primo Vongola, continua-t-il en voyant Giotto ouvrir la bouche pour protester. Vous êtes dans le futur. Les armes que la mafia possède sont cent fois plus dangereuses que dans votre temps. C'est même un miracle que rien ne vous soit arrivé jusqu'ici... Or si jamais il vous arriverait quelque chose, ne serait-ce qu'à l'un d'entre vous, c'est tout le futur qui en pâtira... et qui sera changé. Vous n'êtes pas censé être ici après tout.

    Giotto écarquilla les yeux devant l'argument du gardien du Brouillard. Il avait raison... N'avaient-ils pas été surpris en voyant ces choses bizarres dans la salle où avait été Tsuna ? Ils ne connaissaient pas les armes du futur... et si jamais l'un de ses gardiens était blessé à cause de son impulsivité, il le regretterait.

    - Comprenez-nous, reprit Yamamoto. Nous vous sommes énormément reconnaissant d'avoir sauvé Tsuna... Mais on ne pourra pas vous protégez contre ce qu'il y aura là bas.

    - Qui plus est, intervint Gokudera, d'une voix calme bien que la colère flamboyait toujours dans son regard, si la famille Vanazione vous a vu là-bas, elle vous a peut-être reconnu. Vous deviendrez des cibles, si vous ne l'êtes pas déjà. Et les ennemis des Vongolas feront tout pour vous éliminer, afin de faire chuter la famille.

    Giotto baissa les yeux. Il se souvient que le chef des scientifiques, Disprezzo, comme l'avait appelé Tsuna, avait prononcé son prénom. Cela voudrait sûrement dire, qu'il les avait reconnus. Le fait que le Primo baisse les yeux n'échappa pas à Gokudera et le confirma dans ses paroles.

    - Nous sommes capable de nous défendre, renifla dédaigneusement Deamon, et ce quelle que soit les armes.

    - Nous n'en doutons pas... Sourit Mukuro. Mais votre défense risque d'être mise à mal si jamais vos adversaires ne décident de jouer la carte de la haute technologie contre vous...

    - Prétends-tu que je suis faible ? Gronda Deamon.

    - Je dis que vous l'êtes tous dans cette époque, oui, continua-t-il à sourire.

    - Mukuro, siffla Gokudera. Tu n'aides pas vraiment la situation.

    - Cela suffit.

    Tout le monde se tourna alors le gardien du Nuage de Tsuna.

    - Vous ne venez pas, un point c'est tout. Il n'y a pas besoin de parler plus.

    - Si je peux dire une dernière chose, déclara Mukuro alors que Hibari lui lança un regard assassin, c'est que Tsunayoshi ne risque pas d'être content si jamais il apprend, à son réveil, que vous êtes allés au devant du danger pour lui.

    - Ça m'ennuie de le dire, déclara Gokudera, mais la tête d'ananas a raison -Oya, la quoi ? Répliqua Mukuro, alors que Gokudera ne lui porta aucune attention- Laissez nous nous chargez de ceux qui ont osé toucher à notre boss.

    Cette dernière phrase ne trompa pas la première génération. Voilà ce qu'elle voulait dire : "C'est notre temps, notre boss et nos oignons !" Giotto finit par soupirer.

    - Très bien... vous avez entièrement raison... Je ne voudrais pas donner plus d'ennuis et d'inquiétude à mon petit-fils... Deamon, donne-leur les coordonnées.

    Mukuro eut un sourire triomphant et provocateur. Il se tourna vers l'aristocrate qui avait une grimace. Celui-ci hésita.

    - Deamon, répéta Giotto.

    Le gardien de la Brume fit alors apparaître un bout de papier et le donna avec réticence à son successeur... Celui-ci prit le papier. A peine avait-il lu les coordonnées inscrites que le papier s'enflamma disparaissant en poussière.

    - Oya, oya... comptes-tu m'immoler ?

    - Quoi ? Tu n'as pas eu assez de temps pour voir les données ? Répliqua moqueusement Deamon.

    - Malheureusement pour toi mon esprit semble plus vif que le tien, sourit Mukuro.

    - Quoi ?

    - Ça suffit, Deamon ! Ordonna Giotto.

    - Bon sang, ils s'adorent déjà, soupira G.

    - Avez-vous fini ? Demanda Hibari avec une voix menaçante, appuyée par la paire de tonfas prêtes à frapper n'importe qui.

    - Oya, alouette, je ne savais pas que tu serais ravi de faire un voyage avec moi...

    - C'est nécessaire, rétorqua seulement le préfet, avant de marcher vers la sortie de la salle. Nous devons y aller rapidement avant qu'ils n'aient l'idée de déménager les lieux.

    Gokudera acquiesça, puis il jeta un regard à Yamamoto.

    - Tu vas avec eux.

    - Tu es sûr, Gokudera ?

    - Si ces deux-là y vont ensemble, ils vont tout détruire. Or nous avons besoin de quelques données sur cette famille qui aurait aidé les Vanaziones. Ouvre l'œil.

    - Gokudera... ce n'est pas ce que je voulais dire.

    Il coula un regard inquiet sur Gokudera, dont la flamme de colère n'avait pas quitté ses yeux puis sur G. Gokudera ferma les yeux pendant un instant puis déclara :

    - Je vais bien... Je ne vais pas faire sauter le manoir... Après tout, le Jyudaime est à l'intérieur.

    La première génération sursauta et G plus précisément se raidit. Il avait compris qu'il avait dit quelque chose qu'apparemment son successeur n'appréciait pas, mais de là à faire détruire un bâtiment... Le sourire de Yamamoto revint alors sur ses lèvres :

    - Hahaha, alors fais en sorte de limiter les dégâts... Ce ne serait pas sympa de donner du boulot à Tsuna alors qu'il vient juste de rentrer.

    - Hm, t'as raison, j'essaierais de m'en souvenir.

    Yamamoto rigola une nouvelle fois avant de se lever et de mettre son sabre en bambou dans le sac qu'il mit sur son épaule. Il salua la première génération en agitant la main :

    - Désolé, mais c'est un ordre de Gokudera. Demain, on pourra parler plus !

    Il allait emboîter le pas à Hibari et Mukuro qui étaient déjà sortit de la pièce quand il se tourna vers G.

    - Ne dîtes plus qu'on est des gamins devant Gokudera. On a... assez entendu ce mot... ces derniers temps...

    G fronça les sourcils d'un air interrogateur tandis que les yeux de Gokudera se plissèrent.

    - Que voulez-vous dire ? Demanda Giotto, avant que Gokudera ne réplique d'une voix rageuse.

    - Il a fallu que tu dises ça avant de partir, idiot de base-baller ! Va-t'en... Et je veux ton rapport dans deux voire trois heures...

    - OK ! S'exclama Yamamoto en sortant de la pièce, refermant la porte derrière lui.

    Un lourd silence s'installa dans la pièce. Giotto se tourna vers Gokudera et vit que la colère du jeune était toujours palpable, même s'il comprit qu'elle n'était pas totalement tournée contre G.

    - Peut-on savoir ce qu'il a voulu dire ? Demanda Asari.

    Le poing de Gokudera se serra et sa mâchoire se crispa. Chrome prit une grande inspiration avant de jeter un regard triste aux membres de la première génération.

    - Quand le Boss a disparu, on a tous voulu aider les équipes de recherches. Mais les familles alliées des Vongolas n'ont pas voulu...

    - Comment ça ? S'insurgea Knuckle. C'est extrêmement injuste !

    - Pour quelle raison ? Demanda Giotto, bien qu'il soupçonna la réponse.

    - Parce qu'à leur yeux, on était des gamins, gronda d'une voix sourde Gokudera.

    Il posa son regard durci sous la colère sur Giotto et ses gardiens.

    - Sans le Jyudaime, nous n'avions à leurs yeux plus aucune utilité, plus aucune autorité ni même de droit au vote... Ils nous ont relégués à la poursuite de petites tâches pour essayer de trouver des indices, mais cette mission s'est révélée inutile ! Nous n'avons dû faire qu'attendre ! Nous ne pouvions rien faire ! Tout cela parce qu'on était à leur yeux des gamins !

    Les paroles de Gokudera avaient finis en cris de rage. Il tapa du poing sur la petite table devant lui, faisant sursauter la première génération et faisant hausser les sourcils d'Alaude. Il continua :

    - Prendre part aux équipes de recherches auraient fait plus de mal. Les familles alliées auraient pris cela comme de la désobéissance. Le Nono n'aurait rien pu faire. C'est grâce à lui, si les familles alliées ne nous ont pas encore évincés des Vongolas.

    - A ce point ?

    - Bien sûr, quelques familles alliées comme les Cavallone, nous ont soutenus... Mais les familles alliées qui nous ont éloignés des recherches sont celles également qui ne veulent pas du Jyudaime en tant que Decimo, tout ça pour les mêmes raisons : il serait trop jeune.

    Un silence se fit de nouveau dans la salle. Puis Gokudera continua :

    - Mais... même si le Jyudaime et nous sommes jeunes nous avons fait face à des situations qui ont dépassés les boss des familles alliées ! Le Judaime a balayé tous ces obstacles et a gagné plus que n'importe qui le droit de succéder en tant que boss avec nous à ses côtés... Malgré ça, les familles alliées nous ont jugés comme étant des gamins sans prendre en compte tout ce que nous avons traversé !

    Gokudera se tut finalement. Il ne savait pas pourquoi il racontait tout cela, mais il se sentait un peu plus léger. Il n'avait pas remarqué que cela avait un tel poids. Il ferma les paupières et essaya de se calmer en inspirant profondément. Chrome en profita pour prendre la parole.

    - Il est vrai qu'il est injuste pour nous que nous avons pas été autorisé à participer aux recherches... Mais le faire aurait entraîné plus de mal que de bien... Et cela aurait été mis sur le dos de Boss à son retour...

    Gokudera rouvrit les yeux, enfin redevenu calme. Il prit une grande inspiration :

    - Je m'excuse pour mon comportement... C'est indigne d'un gardien. Je me suis emporté et...

    - Tu n'es pas le seul fautif, déclara Giotto en regardant du coin de l'œil G, tandis que celui-ci avait mordu sa lèvre supérieure pendant toute l'explication de Gokudera. G n'a pas réfléchi à ses mots et je m'excuse pour lui.

    G inclina la tête, en signe d'assentiment.

    - Excuses acceptées, fit Gokudera. Oublions cette histoire, voulez-vous ?

    - Cela me paraît bien, sourit Giotto, qui commençait à apprécier le coté enflammé et impétueux de Gokudera lui rappelant G pendant leur adolescence.

    - Vous aviez des questions à nous poser, il me semble, se souvint alors Gokudera.

    - Oui, déclara Giotto, mais les informations sur le futur...

    - Il me semble juste que vous ayez toutes les informations que vous demandiez... Après tout, vous nous avez donnés les vôtres. Il est normal que nous répondions à vos questions sans détour, mais si nous demanderions quelque chose avant.

    - Et qu'est-ce que c'est ? Demanda Lampo, qui avait jusque là gardé le silence et s'en était réjoui en voyant les différents qu'il y avait eut jusque là.

    - Juste une assurance. J'aimerais que vous jurez que vous ne parlerez ni même de consignez par écrit tout ce que vous verrez ou que vous entendrez dans notre temps. Et que même vous n'agiriez pas en fonction du futur une fois que vous serez ramenés chez vous.

    - Pour éviter un paradoxe temporel, n'est-ce pas ? Demanda Deamon.

    Gokudera acquiesça.

    - Ce qui est complètement normal, déclara alors Giotto. J'accepte de faire ce serment. Même si nous ne savons pas comment retourner dans notre époque.

    - Il faudra que nous réfléchissions à cela aussi, murmura Gokudera, pensif. Mais plus tard.

    Après que Giotto et ses autres gardiens n'ait fait le serment, des coups frappés à la porte se firent alors entendre. Gokudera se tourna vers l'entrée et aboya :

    - Entrez !

    La porte s'ouvrit et le vieil homme que la première génération avait rencontré dans les couloirs s'inclina devant toute la pièce.

    - Veuillez m'excusez, Gokudera-sama... Mais le dîner est servi, voulez-vous manger maintenant ou cette réunion doit-elle se poursuivre encore un moment ?

    - Le dîner ? Répéta Gokudera d'un air perdu. Mais on est que l'après-mid...

    Son regard regarda la baie vitré derrière lui et vit que le soleil commençait à se coucher. Il blêmit. Il n'avait pas remarqué qu'il était si tard !

    - Bordel... On... on va descendre, Tomaso.

    - Bien Gokudera-sama, dit l'homme en s'inclinant, sans se formaliser du juron du gardien, avant de fermer la porte.

    Gokudera se gratta la nuque, gêné.

    - La journée est passée à une vitesse...

    - A qui le dis-tu... S'exclama G, dont le regard ne quittait ne pas le ciel qui s'assombrissait de minute en minute, j'ai l'impression que ça ne fait que quelques heures que nous sommes arrivés dans le futur... Pourtant cela fait plus d'une journée !

    Giotto sourit et allait parler quand la porte de la salle s'ouvrit à la volée :

    - Ahodera !

    Tout les gardiens tournèrent de nouveau la tête vers la porte et purent voir un jeune garçon d'environ huit ans, une tignasse noire en afro sur le crâne et des yeux vert palpitant d'inquiétude et couvert de larmes. Il courut vers le gardien de la Tempête.

    - Aho ushi ! S'écria Gokudera. Combien de fois devrais te dire de frapper ! C'est une salle de réunion !

    - Où est Tsuna-nii ? Il est bien...

    - Ouais... Il est de retour.

    - Je veux le voir !

    - Tcht... Pas question, le Jyudaime se repose !

    - Mah Tête de poulpe, Lambo peut aller le voir A L’EXTRÊME s'il veut !

    Giotto releva les yeux vers la porte et vit alors deux autres enfants du même âge que le dénommé Lambo, une fille avec une couette et un garçon, un peu plus vieux aux cheveux châtains clairs et au yeux marrons. Le jeune homme aux cheveux blanc qu'ils avaient croisés devant l'infirmerie était là lui aussi.

    - Lambo, n'embête pas Gokudera-san ! Il est en réunion ! Gronda gentiment la jeune fille de sa voix fluette.

    - Désolé, Gokudera-nii, dit le jeune garçon. Nous n'avons pas su l'arrêter...

    - De toutes façons nous allions descendre... Soupira Gokudera. Tête de gazon ! Et le Judaime ? Tu l'as...

    - Sawada va bien A L’EXTRÊME ! Et ne t'inquiète pas, elle est déjà partie. Elle n'est resté que quelque minutes.

    - Comment va Tsuna ? S'enquit alors Giotto en se levant, tandis que les autres gardiens, ainsi que Gokudera et Chrome.

    - Sawada dort. Mais Lambo peut aller le voir je ne pense pas que cela dérangerait...

    Giotto comprit que le jeune gardien du Soleil voulait écarter le sujet devant les enfants. Une boule se forma dans son estomac : est-ce que l'état de Tsuna était pire que ce qu'ils imaginaient ? Gokudera lui aussi dût comprendre l'intention de son collègue car il abandonna.

    - Aho ushi, lâche mes jambes ! Cria-t-il à l'encontre du jeune à l'afro, avant de soupirer. Très bien, si tu le dis...

    Lambo poussa un cri de joie en lâchant Gokudera. Chrome le regarda avec une expression attendrie, contente qu'il ne se morfondre plus sur sa culpabilité. Ryohei eu un sourire en disant aux enfants :

    - Sawada est dans la salle 2. Ne faîtes pas trop d'extrêmes bruits, il a besoin de repos.

    - Hai ! Acquiescèrent ensemble les trois enfants avant de se précipiter hors de la pièce.

    - TSUNA-NII ! Entendirent-ils alors Lambo crier dans les couloirs.

    Gokudera se précipita devant l'entrée en jurant et cria dans le même couloir :

    - LA FERME, AHO USHI ! Tu vas réveiller le Jyudaime !

    - Là c'est toi qui vas le faire à l'extrême !

    - Tu ferais mieux de te taire aussi ! Qui criait dans la chambre du Jyudaime !?

    - C'est moi à l'extrême ! S'écria Ryohei en levant les bras en l'air après un silence où il sembla réfléchir.

    - Ce que tu peux être con... Soupira Gokudera en se tapant le front.

    Giotto sourit devant cette ambiance. Il avait l'impression de voir des adolescents... ce qu'ils étaient... Il était heureux de voir que la dixième génération puisse encore agir de cette manière après avoir enduré l'expérience de la mafia. Gokudera releva son regard vers le gardien du Soleil.
     

    - Alors ? Que vaut le fait que tu ais envoyé l'Ahoushi plus loin ?

    Ryohei baissa ses poings et son visage prit une expression sérieuse.

    - C'est à propos de Sawada... Son état était alarmant... Non, non, plus maintenant ! rajouta-t-il précipitamment en voyant l'expression de Gokudera devenir inquiète. J'ai soigné les dernières blessures qu'il avait encore... D'ailleurs, je me demande bien qui a soigné les autres... J'ai senti des traces d'autres flammes du Soleil, autre que les miennes...

    Gokudera désigna d'un signe de la tête Knuckle. Ryohei se tourna vers lui. Puis il regarda chaque membre de la première génération.

    - Pourquoi la première génération est EXTRÊMEMENT là ? Ça fait EXTRÊMEMENT plaisir !

    Giotto grimaça. Il ne les avait pas remarqués ? Mais il avait répondu à sa question il y a quelques minutes ! Était-ce possible d'oublier aussi vite ?

    - Crétin ! Tu les avais pas remarqués ? Rugit Gokudera en se retenant de se frapper une nouvelle fois le front.

    - Non... Pourquoi ils sont apparus ?

    - C'est encore un grand mystère, intervint Giotto, mais...

    - Laissez, grogna Gokudera. Vous n'arriverez pas à lui faire rentrer quelque chose dans le crâne. Il est trop stupide pour ça… Je t'expliquerais plus tard, tête de gazon ! Continues plutôt sur le Judaime...

    - Mmmh, d'accord. Je vous remercie d'avoir soigné Sawada, dit Ryohei en inclinant la tête devant Knuckle qui lui sourit. Sawada souffrait de malnutrition et je crois qu'il n'a pas dormi depuis un moment. Tout son corps était à bout...

    - Il a pourtant dormi pratiquement une journée entière hier, déglutit Lampo.

    - Je crois que ça n'a pas du rattraper son temps de repos en retard... J'espère que ceux qui ont fait ça à Sawada vont autant souffrir...

    - Hibari, Mukuro et l'idiot de base-baller y sont partis y remédier. Il y a-t-il autre chose ?

    - Mmh... pas que je sache... Sawada mettra sûrement du temps à se sentir mieux et il faudrait mieux qu'il ait un repos total, mais c'est tout.

    Gokudera eut envie de se cogner la tête contre la porte. Il vociféra :

    - Abruti ! Je pensais que tu allais me dire une nouvelle plus qu'alarmante ! Pas des trucs que je savais déjà !

    - Vraiment ? Demanda Ryohei en réfléchissant.

    - Ta tête était trop sérieuse pour un abruti comme toi !

    Gokudera soupira de consternation avant de se tourner vers Giotto.

    - Puisque le repas est servi, allons manger. Ne faisons pas attendre Tomaso... Et puis je pense que vous ne devez pas avoir manger depuis un moment.

    - Ce matin en fait, sourit Giotto.

    - Nous manquons à tous nos devoirs d'hôtes, soupira de nouveau Gokudera. Pendant le repas, vous pourrez poser toutes les questions que vous voudrez.

    Giotto guetta la réaction de ses gardiens qui acquiescèrent un sourire aux lèvres. Puis Giotto sourit à Gokudera.

    - Cela nous convint parfaitement.

    Gokudera acquiesça et les mena dans une salle où une table était dressée. Chose surprenante il y avait assez de couvert pour la première génération. En voyant l'air surprit de Giotto et de ses gardiens, Tomaso eut un sourire :

    - Ne me sous-estimez pas, Giotto-sama... Je prend soin de ce manoir depuis plus d'une vingtaine d'année. C'est un honneur inespéré de voir le Primo Vongola, de plus vous avez sauvé Decimo-sama, moi et tout le personnel du manoir ne pourra jamais assez vous remercier.

    Giotto accepta les remerciements du vieil homme un sourire aux lèvres. Son petit-fils était vraiment très apprécié du personnel et il s'en sentit fier. Il n'en attendais pas mieux de Tsuna. Un boss qui se faisait respecter et aimé de ses hommes ne pouvait être qu'un bon boss.

    Ils se mirent à table quand Lambo et les deux enfants revinrent et commencèrent tous manger. Ils avaient laissé la place en bout de table vide selon la demande silencieuse de Gokudera. Giotto comprit que ce devait être la place de Tsuna normalement. Il ne pouvait qu'imaginer combien les gardiens de Tsuna avaient dût se sentir mal en regardant jour après jour cette chaise vide. Mais l'heure n'était pas à la tristesse ni même aux remords...

    Au contraire, le repas fut très agité. Entre Knuckle et Ryohei qui ne crièrent plus que parlèrent, G qui vociféra contre Asari qui rigolait pour rien et Gokudera qui lui criait contre le gamin à la coupe afro qui s'était mis en tête d'embêter Lampo, aidant ainsi Deamon à la tâche. Alaude regardait tout ce monde bruyant et hésitait à tous les arrêter pour manque de silence ou sortir de la pièce pour avoir enfin du calme. Gokudera finit par se tourner vers Giotto, alors qu'un semblant de silence se mettait en place.

    - Il est vrai que nous vous avons pas présenté les deux derniers gardiens... Ohé Aho uhsi, Tête de gazon !

    - Bien entendu ! Mon nom est Ryohei Sasagawa et je suis à l'extrême le gardien du Soleil de Sawada !

    - Ore-sama est Lambo, le gardien de la foudre. Et vous pouvez tous devenir les serviteurs de Lambo-sama !

    - Il y a t-il quelqu'un de censé qui voudrait devenir ton serviteur !? Rugit Gokudera.

    - Je suis Futa, se présenta le jeune garçon châtain. Je ne suis pas un gardien mais je fais partie de la famille de Tsuna-nii ! Ravi de vous connaître !

    - Wo jiao I-pin... Enchantée de vous rencontrer. Je suis aussi une amie de Tsuna-san.

    Giotto allait répondre quand une musique se fit entendre.

    - Bordel... Jura Gokudera en cherchant dans es poches.

    Tomaso, qui était resté devant la porte pour palier aux envies des invités, toussota légèrement :

    - Gokudera-sama, dois-je vous rappeler qu'il y a ici des enfants ?

    Gokudera fit claquer sa langue et finit par sortir un appareil. Giotto comprit qu'il devait s'agir du même genre d'appareil que Hibari avait devant l'infirmerie quelque heures plus tôt. Il se tourna vers Chrome qui était en face de lui.

    - Qu'est-ce que c'est ?

    - Oh... Cela s'appelle un portable. Cela nous permet de communiquer entre nous quelque soit la distance... Tout le monde en a un... Il est vrai que cela puisse être étrange pour vous.

    Giotto hocha la tête et regarda Gokudera appuyer sur une touche avant de froncer les sourcils en regardant le minuscule écran, avant de se tourner vers Chrome alors que la sonnerie, qui provenait de l'appareil, continuait toujours à résonner.

    - Dis, Chrome... cela fait combien de temps que Yamamoto et les autres sont partis ?

    - Moins d'une heure...

    Gokudera reporta son attention à l'appareil.

    - Pourquoi cet abruti de base-baller appelle maintenant ? Maugréa-t-il dans une barbe qu'il n'avait pas. Ils n'auraient jamais eu le temps d'en finir avec eux...

    Il finit par appuyer sur une touche et amena l'appareil à son oreille avant de se lever et de s'éloigner vers la fenêtre pour éviter le bruit. Mais il n'en avait pas vraiment besoin, tout le monde s'était tu devant la méfiance du gardien de la Tempête.

    - Au rapport, accro de base-ball... Commença Gokudera.

    Ils ne purent entendre ce que disait Yamamoto. Ils décidèrent d'attendre une quelconque réaction de la part du gardien de la Tempête. Celui-ci se raidit alors et se précipita hors de la pièce. Malgré le fait que le gardien de tempête, passa à côté d'eux en coup de vent, Primo put alors entendre les derniers mots avant que la porte ne claqua :

    - Comment ça "tous morts" ?

    OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

    Keiyner : Voilà chapitre 10 terminé et oui vous avez bien entendu la famille Vanazione a enfin disparue de la surface de la Terre !... en tout cas leur esprit. Le prochain montrera le point de vue des nos trois gardiens qui sont partis faire la fête à la famille Vanazione.

    Un petit mot pour mon dixième chapitre ?

    Ce carré blanc vous tente, hein ? Ne dîtes rien, je le sais... Dépêchez-vous de le remplir, il n'est pas trop tard...

    AN :

    Wo jiao (chinois) : Je m'appelle.


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